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L'invasion is raélienne en patagonie
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[QUOTE="remake, post: 15479754, member: 285471"] La disparition mystérieuse du sous-marin argentin San Juan, le 21 novembre 2017, a relancé l’animosité nationale traditionnelle contre les Britanniques. Mais si les visées impériales britanniques sur les Iles Malouines et au détriment de l’Argentine sont bien connues, il y a lieu de rappeler que les Anglais ont toujours utilisé les juifs comme avant-garde pour leurs projets coloniaux, en particulier en Palestine. Or la colonisation israélienne de l’Argentine et du Chili est fort avancée, quoique jamais reconnue comme telle, en particulier dans sa dimension militaire. Randonneurs sur la piste des trésors cachés Les Argentins comme les Chiliens sont alarmés : ils estiment à 8000 ou 10 000 par an les militaires israéliens qui viennent « faire du tourisme» en Patagonie, et ce depuis 40 ans, à 10 000 km du Moyen Orient. [1] Combien cela peut-il coûter au gouvernement israélien ? Dans les années 1980 à 2000, ils faisaient de la randonnée et campaient dans des tentes consolidées où les groupes de jeunes fraîchement issus du service militaire se relayaient, pour deux semaines de vacances. Mais ils faisaient aussi des relevés topographiques, du repérage. Le drapeau israélien flottait triomphalement sur des plateaux inaccessibles. Maintenant, ils sont passés à une étape supérieure : 72 hôtels à San Carlos de Bariloche (station de ski), une colonie de peuplement à Lago Puelo, dont le centre est l’Hostal Onda Azul, et où 90% des hôtes de passage sont israéliens. Cet hôtel a sa page facebook en yiddisch ; les publicités et les claviers d’ordinateur, dans la région, sont en hébreu. Les implantations israéliennes se trouvent dans les provinces de Chubut, Río Negro, Neuquén, Santa Cruz. Sur ces immenses étendues, il est difficile d’approcher les propriétés terriennes israéliennes, reconnaissables en ce qu’elles sont fortifiées avec des barbelés, et que l’entrée y est impossible pour le commun des mortels : les chemins d’accès sont bouchés, les voies d’eau également. [2] L’appropriation des terres La nouveauté, cette année, c’est qu’un rapport a été adressé au Sénat le 16 février 2017, par un avocat prestigieux, Juan Gabriel Labaké, et l’Institut de politique internationale « La hora de los pueblos ». Ce rapport retrace certains projets israéliens qui n’ont pas encore abouti, depuis le retour de la démocratie en Argentine en 1982. Lors de la Guerre des Malouines, Israël s’était abstenu au vote de l’Assemblée générale de l’ONU pour des négociations avec le Royaume Uni, tout comme plusieurs pays arabes, en novembre 1982. Puis des tractations furent entreprises, sous le gouvernement du premier président élu, le radical Raúl Alfonsín, en vue d’importer d’URSS 25 000 juifs. L’URSS refusa finalement de les livrer, mais douze familles juives avaient demandé à s’installer dans la région de Calafate. Déjà, des randonneurs inquiétants et des touristes particulièrement mal embouchés suscitaient l’hostilité de la population. Lors d’un accident de montagne, on découvrit trois sous-officiers israéliens, dont l’un ne survécut pas, et ils furent rapatriés au Chili, sans qu’un rapport soit rédigé. Percevant le danger d’une implantation israélienne, le gouverneur de la province de Santa Cruz fonda le bourg de El Chaltén. Mais les gouvernements suivants ne tentèrent nullement de peupler la Patagonie, et les Argentins se plaignent même que la Patagonie, qui fait plus d’un million de km2, soit en train de se dépeupler. L’explication de l’inertie gouvernementale se trouve peut-être dans le fait que la Patagonie a peu ou prou déjà été donnée par des agents dans les gouvernements Kirchner successifs (famille basée à Santa Cruz) en échange de l’annulation de la dette envers la Banque mondiale et le FMI, négociation menée à bien par le milliardaire argentin Eduardo Elztain, numéro 2 du Congrès juif mondial, et membre éminent de la communauté Loubavitch. C’est ensuite lui qui aurait financé la campagne de l’actuel président Macri. Un autre magnat influent est le Britannique Joe Lewis, qui a bâti un aéroport international privé, sur ses terres, avec une piste d’atterrissage de 2 km. Google en a effacé toute trace sur les images satellitaires, mais on sait que des Falcon 900 de Dassault y atterrissent, avec des carlingues repeintes et des immatriculations maquillées, sans parler des grands et moyens Boeing commerciaux. Les radars ne peuvent détecter ce qui transite, derrière les barbelés et les rangées de gardes armés jusqu’aux dents. Cette base est près de la mer, et on repère de nombreux allers et retour en direction des îles Malouines, tenues par les Britanniques, mais toujours revendiquées par l’Argentine. C’est seulement en 2011 qu’a été votée une loi sur les terres, limitant (en théorie, car elle laisse le champ libre aux hommes de paille) l’acquisition de propriétés par les étrangers à 1000 ha. [/QUOTE]
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