A part ça le Flamby nous promet une inversion de la courbe sauf que la Normandie est une région qui déguste fort ces dernières années, c'est son fief au Flamby mais il ne vient pas nous titiller après pétro +...on l'attend lui et sa bande de bras cassés...faut vraiment que le PS dégage de la Normandie...
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Émotion, au tribunal de commerce de Rouen, jeudi 17 octobre 2013. Le groupe Huis Clos, dont le siège social est à Mont-Saint-Aignan, dans la banlieue de Rouen, est liquidé. Purement et simplement. C’est Me Pascale Rouville, l’avocate du comité d’entreprise de cette société – qui comptait encore plus de 1 300 salariés en France avant une première vague de licenciements, qui a commencé en juillet, et qui n’en compte plus que 713 salariés selon les derniers chiffres communiqués par la direction jeudi 17 octobre 2013 (dont 153 en Normandie) -, qui annonce la décision des juges à la cinquantaine d’employés présents, dès 13h30.
Le tribunal rejette les offres de reprise, prononce la liquidation judiciaire, nomme en qualité de liquidateur Me Marc Sénéchal, à Neuilly, et autorise la poursuite de l’activité jusqu’au 24 octobre 2013 dernier délai. » L’avocate poursuit la lecture du délibéré mais les futurs chômeurs ne l’écoutent déjà plus…
Pessimisme, chez les Isoplast, près du Havre
Le sort des Huis Clos est par conséquent « plié ». Celui des 174 salariés de la filiale Isoplast Pro, implantée à Harfleur, près du Havre, ne l’est pas encore, lui. « Sauf qu’il est lié à celui de Huis Clos. Nous allons subir la même chose : on va nous placer en redressement judiciaire, on ne nous trouvera pas de repreneur, on va nous liquider. D’après ce que nous avons compris, il faudrait trouver 10 millions d’euros pour relancer les machie cette décision du tribunal m’attriste profondément, et que je partage l’émotion qui est la vôtre.
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Émotion, au tribunal de commerce de Rouen, jeudi 17 octobre 2013. Le groupe Huis Clos, dont le siège social est à Mont-Saint-Aignan, dans la banlieue de Rouen, est liquidé. Purement et simplement. C’est Me Pascale Rouville, l’avocate du comité d’entreprise de cette société – qui comptait encore plus de 1 300 salariés en France avant une première vague de licenciements, qui a commencé en juillet, et qui n’en compte plus que 713 salariés selon les derniers chiffres communiqués par la direction jeudi 17 octobre 2013 (dont 153 en Normandie) -, qui annonce la décision des juges à la cinquantaine d’employés présents, dès 13h30.
Le tribunal rejette les offres de reprise, prononce la liquidation judiciaire, nomme en qualité de liquidateur Me Marc Sénéchal, à Neuilly, et autorise la poursuite de l’activité jusqu’au 24 octobre 2013 dernier délai. » L’avocate poursuit la lecture du délibéré mais les futurs chômeurs ne l’écoutent déjà plus…
Pessimisme, chez les Isoplast, près du Havre
Le sort des Huis Clos est par conséquent « plié ». Celui des 174 salariés de la filiale Isoplast Pro, implantée à Harfleur, près du Havre, ne l’est pas encore, lui. « Sauf qu’il est lié à celui de Huis Clos. Nous allons subir la même chose : on va nous placer en redressement judiciaire, on ne nous trouvera pas de repreneur, on va nous liquider. D’après ce que nous avons compris, il faudrait trouver 10 millions d’euros pour relancer les machie cette décision du tribunal m’attriste profondément, et que je partage l’émotion qui est la vôtre.
