L’Islam et la liberté par cheikh Qaradawi

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Question : quelle est la position de l’islam sur la liberté ? Quelles en sont les limites ?


Réponse :
L’islam a confirmé le principe de la liberté. Le chef des croyants, Umar ibn al khattâb a lancé son mot célèbre : « Depuis quand asservissez-vous les gens, alors que leurs mères les ont mis au monde libres ! » ‘Ali a dit dans un testament : « ne sois pas l’esclave d’un autre. Dieu t’a créé libre. »Le principe est que les hommes, par la sagesse de Dieu,sont libres et ont droit à la liberté. Ils ne sont point des esclaves.

A une période où les gens étaient asservis intellectuellement, politiquement, socialement, religieusement et économiquement, l’islam vint confirmer la liberté de penser, de parler, de critiquer et surtout, la liberté religieuse et la liberté de croyance. Il n’a jamais contraint qui que ce soit à se convertir. Ce principe est clairement représenté par le verset:{dois-tu contraindre les gens afin qu’ils soient croyants ? Si ton seigneur le voulait,ensemble, tous ceux qui se trouvent sur terre,auraient cru} (X,99).Ce fut un des versets de la période mecquoise. Quant à la période médinoise, nous trouvons dans la sourate 2 : {Pas de contrainte en religion. Certes, le chemin droit s’est distingué du chemin de la perdition} (II, 99).

Voici la raison occasionnelle de la révélation de ce verset : Avant l’islam, quand une femme des tribus de médine, les Aws et les Khazraj, tardait à avoir un garçon, elle faisait un serment solennel que si elle en mettait un au monde, elle en ferait un juif. Lorsque l’islam entra à médine et que ses habitants se furent convertis, quelques pères voulurent faire abjurer leur fils pour en faire des musulmans. Malgré les conflits qui éclataient entre les musulmans et les juifs et la manière avec laquelle ils étaient élevés dans le judaïsme, Dieu refusa la contrainte. Il dit : {Pas de contrainte en religion}. Dans le même temps, l’empire byzantin proclamait le christianisme ou la mort, les réformateurs religieux perses étaient accusés des pires atrocités.

Le principe de la liberté ne fut point le résultat d’une évolution de la société depuis les origines ou la conséquence d’une révolution mais il vint du ciel pour élever sa condition et magnifier sa déstinée. Certes, l’islam a confirmé ce principe, mais il l’a soumis à certaines conditions pour que la religion ne devienne pas un jouet entre les mains des hommes. Certains n’ont-ils pas dit:{Croyez en ce que reçurent ceux qui ont cru la matinée et rejetez-le, le soir. Peut-être reviendraient-ils sur leur religion} (III, 72) ? Croyez tôt dans la matinée et abjurez en fin de matinée ! Ou encore : Nous connaissons bien la religion de Muhammad et nous l’avons abondonnée ! Ou encore : croyez aujourdui et revenez à votre religion demain, ou après une semaine, ou honnissez cette nouvelle religion ! L’islam, qui ne contraint personne à l’adopter, refuse l’apostasie.

L’islam invite à observer l’univers et à méditer. {Je vous donne un conseil : que vous vous leviez pour dieu par deux ou seuls et que vous méditiez!} (XXXIV, 46) ; {Dis : observez ce qu’il y a dans les cieux et la terre} (X, 101) ; {Pourquoi ne parcourent-ils pas la terre, avec des coeurs pour méditer et des oreilles pour entendre ? Certes, ce ne sont pas les yeux qui s’aveuglent mais les coeurs, lesquels se trouvent dans les poitrines} (XXII, 46).Dans chaque signe que dieu a placé sur le chemin de l’homme, celui-ci trouve un éloge de la liberté.

L’islam mène une campagne contre ceux qui s’appuient sur le doute et les chimères.

Dieu dit:{Les suppositions ne remplacent aucunement la vérité} (LIII,28) . Il s’en prend à ceux qui obéissent à leurs passions et imitent les grands et les chefs et qui,le jour du jugement dernier, diront:{Nous avons obéi aux grands d’entre nous et à nos maîtres qui nous ont égaré du chemin droit} (XXXIII,67)et contre ceux qui disent:{Nous avons trouvé nos pères attachés à une croyance. Nous suivons leur trace} (XLIII,22). Il les compare aux animaux et les place à un nivau plus bas encore que ceux-ci. L’islam conseille de faire appel à la raison et à la reflexion et lance un défi aux gens:{Apportez votre preuve si vous êtes véridiques} (II,111). Il s’appuie sur la raison pour atteindre la raison. Les savants n’ont-ils pas énoncé : « La raison pure (‘aql sarih) est la base de la transmission authentique (naql sahih). » Parler de l’existence de dieu et de la prophétie de muhammad(sbdl), c’est faire appel à la raison.C’est elle encore qui déclare : « C’est un envoyé ! ». Les preuves l’ont montré et les miracles l’ont confirmé. Elle déclare aussi à propos du faux prophète : « C’est un menteur qui ne possède aucune preuve et qui n’est soutenu par aucun miracle ».
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
C’est grâce à cette liberté de penser qu’on rencontre, à travers l’histoire de l’islam, des savants qui s’opposent, qui dénoncent les erreurs d’autres savants, ou leur répondent, sans qu ‘aucun d’eux ne soit gagné par la gêne. On trouve dans le même livre le rationaliste et le sunnite. l’exemple du livre « al-Kashshâf » est éloquent. son auteur, un mu’tazilite, s’appelle az-Zamakhsharî. L’imam qui l’a commenté est le sunnite Ibn al-Munîr. Un autre imam,sunnite,Ibn Hajar, en a fait la correction dans son livre « al-Kâfî ash-Shâfî fî takhrîj ahâdîth al-Kashshâf » . Les savants utilisaient les livres de leur semblables et y puisaient des connaissances et des arguments, d’autant plus qu’il y eut parmi ces spécialistes du kalâm des océans de connaissance. Nous avons vu avec quelle largesse d’esprit les jurisconsultes menaient les controverses. C’est une preuve manifeste de la liberté de penser propre à l’islam et répandue au sein de la communauté musulmane.

L’islam a aussi affirmé la liberté de parole et de critique, surtout quand elle est nécessaire à la communauté et concerne la morale et les bons comportements. Dire ce qui est vrai sans tenir compte des reproches,conseiller ce qui est bien et déconseiller ce qui ne l’est pas, appeler au bien, dire à celui qui accompli une bonne action : « Tu as bien fait », et à celui qui a accompli une mauvaise action : « Tu as mal fait », devient alors une obligation pour le musulman, s’il ne se trouve personne d’autre pour le faire, ou si son silence a des conséquences fâcheuses pour la communauté. {Ordonne le bien, déconseille le mal et supporte patiemment ce qui t’arrive. Telle est la résolution à prendre et dont tu ne devras jamais te départir} (XXXI, 17). Tel est le but de l’islam.

Contrôler les faits et gestes des gens, les brider jusqu’à ce qu’ils ne puissent parler qu’après avoir demandé la permission et ne croient plus que les déclarations officielles, tout cela ne fait pas partie de l’islam. Ce qu’a dit Pharaon à ses sorciers : {Vous l’avez cru avant que je ne vous y autorise} (XX, 71) ne fait pas partie de l’islam.

L’islam est venu, non seulement pour autoriser les gens à penser, mais pour leur ordonner de le faire. Il leur a permis de choisir librement leur croyance et de la défendre,même avec les armes. Il a exigé des musulmans de protéger, avec l’épée, la liberté de croire, pour qu’il n’y ait pas d’injustice et de troubles. Dieu dit dans le premier verset révélé pour légitimer l’usage de la force : { Il a été permis de se battre à ceux qui sont injustement combattus} (XXII, 39) Il dit encore:{ Si Dieu n’avais pas arrêté l’agression des uns par les autres,des ermitages,des églises,des synagogues et des mosquées où le nom de Dieu est longuement évoqué,auraient été détruits} (XXII, 40). Si le tout- puissant n’avait pas permis l’intervention de ces croyants pour défendre la liberté avec leurs épées, aucun homme sur terre n’aurait pu adorer dieu ni aucun lieu, réservé à son adoration, n’aurait été élevé.

Si dépraver son âme, sa morale, sa conscience, son adoration, sa famille, relève de la liberté, alors l’islam ne la reconnaît pas. Mais il maintient sur leurs bases, étaie et protège les libertés nécessaires à la vie paisible en société,la liberté de penser, de croire et de pratiquer sa religion, de disposer de soi sans que cela nuise aux autres, la liberté de propriété selon les conditions légales, sans dommage causé ni subi…

« Ni préjudice causé aux autres pour en tirer un profit, ni dommage gratuit », telle est la rêgle en islam. Tout ce qui peut causer du tort à autrui est formellement rejeté. Par conséquent, il ne doit pas être entrepris. La liberté de chacun s’arrête la où commence celle des autres. Tu est libre de marcher dans la rue mais sans bousculer les autres, sans percuter les voitures et sans transgresser les règles du code de la route. Tu dois t’arrêter quand le feu est rouge et passer quand il est vert. Tu dois marcher du côté droit et ainsi de suite.

Ces règles sont indispensables à l’intérêt général, c’est-à-dire à l’intérêt de la société. Dans toutes les religions, il ya ces règles.
Source : « Fatwâ Contemporaines » de Yusuf Al-Qaradawi – Edition Maison d’Ennour – Page 697.
 

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On n'a rien sans rien
Bladinaute averti
En plus, ce même Qardawi avait avoué que l'islam aurait disparu aujourd'hui s'il n'y avait pas eu de peine de mort pour l'apostat. Pour lui, c'était une loi d'une grande sagesse.
Alors, sérieusement, on peut largement se passer de ses leçons sur la liberté.
 
L’islam a confirmé le principe de la liberté. Le chef des croyants, Umar ibn al khattâb a lancé son mot célèbre : « Depuis quand asservissez-vous les gens, alors que leurs mères les ont mis au monde libres ! » ‘Ali a dit dans un testament : « ne sois pas l’esclave d’un autre. Dieu t’a créé libre. »Le principe est que les hommes, par la sagesse de Dieu,sont libres et ont droit à la liberté. Ils ne sont point des esclaves.

Pourtant à l'époque du Prophète il y avait l'esclavage et les musulmans possedaient des esclaves.
 

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
Question : quelle est la position de l’islam sur la liberté ? Quelles en sont les limites ?


Réponse :
L’islam a confirmé le principe de la liberté. Le chef des croyants, Umar ibn al khattâb a lancé son mot célèbre : « Depuis quand asservissez-vous les gens, alors que leurs mères les ont mis au monde libres ! » ‘Ali a dit dans un testament : « ne sois pas l’esclave d’un autre. Dieu t’a créé libre. »Le principe est que les hommes, par la sagesse de Dieu,sont libres et ont droit à la liberté. Ils ne sont point des esclaves.

A une période où les gens étaient asservis intellectuellement, politiquement, socialement, religieusement et économiquement, l’islam vint confirmer la liberté de penser, de parler, de critiquer et surtout, la liberté religieuse et la liberté de croyance. Il n’a jamais contraint qui que ce soit à se convertir. Ce principe est clairement représenté par le verset:{dois-tu contraindre les gens afin qu’ils soient croyants ? Si ton seigneur le voulait,ensemble, tous ceux qui se trouvent sur terre,auraient cru} (X,99).Ce fut un des versets de la période mecquoise. Quant à la période médinoise, nous trouvons dans la sourate 2 : {Pas de contrainte en religion. Certes, le chemin droit s’est distingué du chemin de la perdition} (II, 99).



L’islam mène une campagne contre ceux qui s’appuient sur le doute et les chimères.

Dieu dit:{Les suppositions ne remplacent aucunement la vérité} (LIII,28) . Il s’en prend à ceux qui obéissent à leurs passions et imitent les grands et les chefs et qui,le jour du jugement dernier, diront:{Nous avons obéi aux grands d’entre nous et à nos maîtres qui nous ont égaré du chemin droit} (XXXIII,67).... Parler de l’existence de dieu et de la prophétie de muhammad(sbdl), c’est faire appel à la raison.C’est elle encore qui déclare : « C’est un envoyé ! ». Les preuves l’ont montré et les miracles l’ont confirmé. Elle déclare aussi à propos du faux prophète : « C’est un menteur qui ne possède aucune preuve et qui n’est soutenu par aucun miracle ».

le mot islam ne veut pas dire liberté mais soumission
et le mot ibada veut dire servitude et pas liberté
et que disent les ecoles sur l'apostasie les musulmans sont il libre de quitter l'islam et de changer de religion

j'ai horreur de ce genre de texte qui joue avec les mots en montrant une parti du livre et en cachant une autre
l'islam ne permet pas la liberté de pensé ni religieuse faut arreté de mentir et de tromper les gens
en islam les polytheiste ne peuvent pas pratiquer leur culte il doivent etre soi converti choix chassé ou executer par la force

la liberté de pensé aussi n'est pas admise umar que tu cite chatier ceux qui ne se conformé pas a l'islam
le hommes ne peuvent pas agir comme bon leur semble il doit se soumettre au loi islamique


les musulmans aussi imitent (taqlid) leur grand et leur chef (emir et savant) et leur pere leur salaf quel difference ?
les gens ont apporté de nombreuse preuve pourtant les musulmans n'en tiennent pas compte car il ne sont pas au niveau scientifique pour les refuté et il ne comprenne meme pas leur propre leur livre et se mettre d'accord il diverge sur quasi tout verset

quel preuve et quel miracle on montré la veracité de l'islam ?

encore une fois c un texte rempli d'affirmation sans la moindre preuve si ce n'est des verset du coran qui ne constitu pas une preuve en soi
on ne peut dire le coran est une verité puisqu'il dit etre une verité ce n'est pas suffisant encore faut il pouvoir le prouver

le preuve des que je me met a poser des question qui remettent en doute l'islam les musulmans du forum eux meme
m'empeche par tout moyen de le faire si les musulmans aurai eté eduqué pour la liberté de pensé il aurai trouver mes question naturel
et on aurai assisté a plus de debat intra musulmans qui interogerai les textes du coran et leur veracité
donc arreté de prendre les valeur occidental et boudhiste pour les appliquer à l'islam la liberté de pensé et religieuse sont etrangere a l'islam et au musulmans

33v36 Il n'appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu'Allah et Son messager ont décidé d'une chose d'avoir encore le choix dans leur façon d'agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager, s'est égaré certes, d'un égarement évident.
 
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le mot islam ne veut pas dire liberté mais soumission
et le mot ibada veut dire servitude et pas liberté
et que disent les ecoles sur l'apostasie les musulmans sont il libre de quitter l'islam et de changer de religion

j'ai horreur de ce genre de texte qui joue avec les mots en montrant une parti du livre et en cachant une autre
l'islam ne permet pas la liberté de pensé ni religieuse faut arreté de mentir et de tromper les gens
en islam les polytheiste ne peuvent pas pratiquer leur culte il doivent etre soi converti choix chassé ou executer par la force

la liberté de pensé aussi n'est pas admise umar que tu cite chatier ceux qui ne se conformé pas a l'islam
le hommes ne peuvent pas agir comme bon leur semble il doit se soumettre au loi islamique


les musulmans aussi imitent (taqlid) leur grand et leur chef (emir et savant) et leur pere leur salaf quel difference ?
les gens ont apporté de nombreuse preuve pourtant les musulmans n'en tiennent pas compte car il ne sont pas au niveau scientifique pour les refuté et il ne comprenne meme pas leur propre leur livre et se mettre d'accord il diverge sur quasi tout verset

quel preuve et quel miracle on montré la veracité de l'islam ?

encore une fois c un texte rempli d'affirmation sans la moindre preuve si ce n'est des verset du coran qui ne constitu pas une preuve en soi
on ne peut dire le coran est une verité puisqu'il dit etre une verité ce n'est pas suffisant encore faut il pouvoir le prouver

le preuve des que je me met a poser des question qui remettent en doute l'islam les musulmans du forum eux meme
m'empeche par tout moyen de le faire si les musulmans aurai eté eduqué pour la liberté de pensé il aurai trouver mes question naturel
et on aurai assisté a plus de debat intra musulmans qui interogerai les textes du coran et leur veracité
donc arreté de prendre les valeur occidental et boudhiste pour les appliquer à l'islam la liberté de pensé et religieuse sont etrangere a l'islam et au musulmans

33v36 Il n'appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu'Allah et Son messager ont décidé d'une chose d'avoir encore le choix dans leur façon d'agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager, s'est égaré certes, d'un égarement évident.

Met le contexte aussi de ce verset. En Islam il y a la liberté de croire ou de ne pas croire.

10-99-Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants?

Et dis : “La vérité émane de votre Seigneur”. Quiconque le veut, qu’il croit, et quiconque le veut qu’il mécroie”. 18/29


Si tu as un problème avec la véracité du Coran c'est ton problème. Si tu as un doute sur l'origine du Coran c'est aussi ton problème et non pas de celui qui y croit.
 
En plus, ce même Qardawi avait avoué que l'islam aurait disparu aujourd'hui s'il n'y avait pas eu de peine de mort pour l'apostat. Pour lui, c'était une loi d'une grande sagesse.
Alors, sérieusement, on peut largement se passer de ses leçons sur la liberté.

L'apostasie en Islam est le rejet de la religion islamique par un musulman, par le fait de renier sa foi publiquement, d'insulter Allah ou les prophètes de l'islam.

Il y a apostat et apostat. Celui qui change de religion pour une autre ou pour autre chose, est libre de le faire, et son compte sera reglé au Jour de la Résurrection et non pas dans une société musulmane.

Par contre, celui qui quitte sa religion et la combat par la suite, dans ce cas il sera considéré comme un ennemi par ses actes et combattu.

« En vérité, ceux qui ne croient plus après avoir eu la foi, et laissent augmenter encore leur mécréance, leur repentir ne sera jamais accepté. Ceux-là sont vraiment les égarés"

« Ceux qui ont cru, puis sont devenus mécréants, puis ont cru de nouveau, ensuite sont redevenus mécréants, et n'ont fait que croître en mécréance, Allah ne leur pardonnera pas, ni ne les guidera vers un chemin ".


Dans le Coran il n'y a aucun condamnation à mort pour les apostats.
 
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Réponse : L’islam a confirmé le principe de la liberté. Le chef des croyants, Umar ibn al khattâb a lancé son mot célèbre : « Depuis quand asservissez-vous les gens, alors que leurs mères les ont mis au monde libres ! » ‘Ali a dit dans un testament : « ne sois pas l’esclave d’un autre. Dieu t’a créé libre. »Le principe est que les hommes, par la sagesse de Dieu,sont libres et ont droit à la liberté. Ils ne sont point des esclaves.

L'Islam a conservé l'esclavage qui était pratiqué par la société arabe et par d'autres pays, tout en améliorant les conditions.

« Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. Ensuite, vous les mettrez en liberté, ou les rendrez moyennant une rançon, lorsque la guerre aura cessé. » Muhammad (47:4)

Ce verset est le prélude à l'abolition de l'esclavage.

De tous, c’est certainement celui qui fournit les instructions les plus détaillées. Une seule possibilité y est envisagée : la libération en échange ou non d’une rançon. Une fois les hostilités terminées, tous les prisonniers devaient être libérés sans condition.

Narré par Nafi : Umar bin Khatab dit : “Ô Apôtre de Dieu ! J’ai fait vœu d’effectuer le Itikaf pour un jour complet pendant la période préislamique.” Le Prophète lui ordonna alors de remplir son vœu. Umar acquis deux captives des prisonniers de guerre de Hunain et les laissa dans une des maisons à la Mecque. Quand l’Apôtre de Dieu libéra les captifs de Hunain sans rançon, ils sortirent marcher dans les rues. Umar dit (à son fils) : “Ô Abdullah ! Va voir ce qui se passe.” Abdullah répondit : “L’Apôtre de Dieu a libéré les esclaves sans rançon.” Il lui dit : “Va et libère les deux femmes esclaves. Bukhary Volume 4, livre 53, Nombre 372

Narré par le père de Salim : le Prophète envoya Khalid bin al-Walid vers la tribu de Jadhima et Khalid les invita à l’Islam, mais ils ne pouvaient dire “Aslamna” (nous avons embrassé l’islam), mais ils commencèrent à dire “Saba’na ! Saba’na” (nous sortons d’une religion vers une autre). Khalid en tua quelques-uns et prit comme captifs certains, et nous donna à chacun un captif. Au lever du jour, Khalid ordonna que chaque homme (soldat musulman) tue son captif. J’ai dit : “Par Dieu, je ne tuerais pas mon captif et aucun de mes compagnons ne tuera son captif.”

Le Prophète apprit la nouvelle et nous lui avons raconté toute l’histoire. Sur ce, il leva les bras et dit deux fois : “Ô Dieu ! Je ne suis pas responsable de ce que Khalid a fait. Bukhary Nombre 628

Malgré la relative limpidité de ce commandement, son intégration dans les premiers ensembles de lois fut loin de faire l’unanimité parmi les juristes. Ainsi, l’école Maliki interdisait la libération sans condition, tandis que les Hanbalis s’opposaient à toute forme d’affranchissement !

Il y a une belle différence entre l'Islam d'Allah et l'islam des hommes.
 
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BloodySunday

Bladinaute averti
L'Islam a conservé l'esclavage qui était pratiqué par la société arabe et par d'autres pays, tout en améliorant les conditions.

« Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits. Ensuite, vous les mettrez en liberté, ou les rendrez moyennant une rançon, lorsque la guerre aura cessé. » Muhammad (47:4)

Ce verset est le prélude à l'abolition de l'esclavage.
Moi, j'aime bien "tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage,".

Dans l'histoire, il faut toujours des ******* et des gentils. Les blancs sont des méchants et les autres, les gentils.
 
Réponse : L’islam a confirmé le principe de la liberté. Le chef des croyants, Umar ibn al khattâb a lancé son mot célèbre : « Depuis quand asservissez-vous les gens, alors que leurs mères les ont mis au monde libres ! » ‘Ali a dit dans un testament : « ne sois pas l’esclave d’un autre. Dieu t’a créé libre. »Le principe est que les hommes, par la sagesse de Dieu,sont libres et ont droit à la liberté. Ils ne sont point des esclaves.

La suite :

Il est historiquement reconnu que la captivité, lors des guerres religieuses, était l’origine de la servilité. Allah, grand et miséricordieux, dit, concernant le droit des prisonniers de guerre : « ou bien l’élargissement, ou bien le payement d’une rançon » (Sourate de Mohamed, versets 4). Ce verset est sans équivoque ; il y a deux possibilités quant au traitement appliqué aux prisonniers de guerre : ou bien leur libération sans condition ou alors leur libération contre le payement d’une rançon à l’exclusion de tout troisième choix. Cette interprétation a été étayée par Cheikh Rachid Ridha dans « Tavsir El Menar, 5/9 ».

Mais le Cheikh Rachid explique que si ce verset était nécessaire pour mettre hors la loi la pratique de l’esclavage dans l’Islam, il semble qu’il ne fut pas suffisant en soit. En effet le « troisième choix » sous entendu ici était la mise en esclavage des prisonniers de guerre. Or c’était là un choix très rependu parmi toutes les nations en ces temps là. « Il est déraisonnable de les laisser réduire nos prisonniers de guerre en esclavage au moment où nous élargissons les leurs alors que nous les traitions beaucoup mieux qu’ils ne traitaient les nôtres. ». L’interdiction du « troisième choix » ne fut donc pas absolue.

Le caractère relatif de cette interdiction de la mise en esclavage rejoint la nature pratique et pragmatique de la méthodologie suivie en Islam. L’Islam est apparu dans un monde dominé par les empires et où faisait rage la « guerre de tous contre tous ». A l’issue de ces guerres des milliers de femmes et d’enfants se retrouvaient abandonnés à leur triste sort. Ces victimes collatérales sont souvent confrontées à l’une des trois situations suivantes:

1- L’extermination pure et simple par l’armée des vainqueurs ;

2- La mort par épuisement et par la faim sur le chemin de l’errance ;

3- L’entrée en esclavage et l’intégration en tant que tels dans la société musulmane ;

Suite...
 
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@Drianke

La suite :

L’Islam a choisi le troisième cas malgré ses inconvénients. Il est en effet difficile pour un ex-prisonnier de guerre de démarrer une nouvelle vie dans une société qui lui est inconnue. Il est encore plus difficile pour une veuve errante dans un pays que combattait son mari de refaire sa vie et à plus forte raison de préserver sa dignité. La solution pour ces deux catégories était de s’intégrer et de se fondre dans leur nouvelle société.

La législation musulmane ne s’est pas arrêtée à ce point. Elle a fait de sorte que la mis en esclavage de ces personnes soit juste une étape provisoire en confiant à l’esclave les clés de sa liberté et cela en instaurant le « contrat d’affranchissement », la « Moukataba ». Il s’agit d’un contrat établi entre l’esclave et son maître selon lequel le premier verse une sorte de compensation au second. Ce versement peut être échelonné. A la signature de ce contrat, l’esclave devient automatiquement libre. Il devient un homme libre ayant contracté une dette envers un autre. En cas d’insolvabilité, l’ancien esclave ne retombe pas pour autant en servilité. Il est simplement déclaré insolvable et a droit au mécanisme de prise en charge des cas de faillite personnelle. Les Autorité et la société ont le devoir de l’aider jusqu’à acquittement de sa dette. C’est le sens de la Sourat de la « Lumière » dans son verset n° 33. Ce verset instaure sans ambigüité deux obligations importantes : la premier est celle faite au maître d’accepter de signer le « contrat d’affranchissement » et la seconde est celle faite à la société, représentée par l’Etat, de contribuer financièrement à la démarche de libération de l’esclave.

L’opinion la plus rependue prétend que l’Islam a encouragé moralement la libération des esclaves en en faisant l’une des bonnes actions recommandées mais qu’il n’avait pas édictée des dispositions juridiques et pratiques pour atteindre ce but. Cette opinion est complètement erronée parce que basée sur une jurisprudence contraire à l’esprit et à la lettre du Coran. Le Coran a, clairement, mis la clé de la liberté de l’esclave entre ses mains en obligeant son maître d’accepter de signer avec lui son « contrat d’affranchissement ». Ce mécanisme permet à l’esclave de racheter sa liberté s’il est solvable et s’il ne l’est pas fait obligation à l’Etat de l’aider à y arriver. Cela veut aussi dire que l’Islam n’a pas décrété l’abolition brutale et totale de l’esclavage. Cette méthodologie progressive était celle qui convenait le mieux aux siècles concernés. Il s’agit du temps où l’individu n’était pas indépendant de son groupe social. Mais cette méthodologie peut tout aussi bien convenir à nos temps modernes car il suffit à l’Etat, qui représente la société, de décréter que l’esclavage était aboli.

Mais l’une des catastrophes juridiques que connut l’histoire de l’Islam fut le contournement, de la part des Ulema, du mécanisme du « contrat d’affranchissement » instauré par le Coran comme étant la voie ouverte vers la libération des esclaves. Le Commandeur des Croyants, Omar Ibn Elkhattab avait fouetté des maîtres qui rechignaient à affranchir leurs esclaves par cette voie. Regardez donc comment le Calife Omar avait-il levé son fouet sur un homme du calibre d’Eness Ibn Malik pour l’obliger à signer la « Moukataba » avec son esclave Sirine et regardez comment les jurisconsultes étaient repassés après lui pour décréter que cette « Moukataba » n’était pas obligatoire mais seulement conseillée. Ce fut là l’avis de la majorité des Uléma et ce fut ainsi qu’on ferma l’une des voies les plus fécondes pour éradiquer l’esclavage. Mais l’histoire de l’Islam n’est pas exempte de ces voix qui s’élèvent pour dire la vérité et porter la contradiction à la pensée unique. Ce fut le cas d’Ibn Hazm. Il tint tête à la majorité de ses pairs et leur fit entendre la voix qui appelle à l’application du texte explicite du saint Coran concernant la « Moukataba »

Cela montre encore une fois que l'Islam d'Allah et transmis par Son Prophète n'a pas été suivi comme il se doit après sa mort et les écoles et les oulémas en portent une grande responsabilité.
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
Met le contexte aussi de ce verset. En Islam il y a la liberté de croire ou de ne pas croire.

10-99-Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants?

Et dis : “La vérité émane de votre Seigneur”. Quiconque le veut, qu’il croit, et quiconque le veut qu’il mécroie”. 18/29


Si tu as un problème avec la véracité du Coran c'est ton problème. Si tu as un doute sur l'origine du Coran c'est aussi ton problème et non pas de celui qui y croit.

justement le contexte on ne l'a pas le coran ne le cite pas ....

on en a discuté et ce sujet meme les savants musulmans se sont casser les dent dessu
telement le coran semble affirmer une chose et son contraire

28 لِمَن شَاءَ مِنكُمْ أَن يَسْتَقِيمَ
pour celui d'entre vous qui veut suivre le chemin droit.
29 وَمَا تَشَاءُونَ إِلَّا أَن يَشَاءَ اللَّهُ رَبُّ الْعَالَمِينَ
Mais vous ne pouvez vouloir, que si Allah veut, [Lui], le Seigneur de l'Univers ;



non c pas mon probleme le message n'a pas eté exposé de facon clair la preuve les savant musulmans eux meme diverge
et son incapable de se mettre d'accord sur le sens correct du coran ...
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
@Drianke même les musulmans les plus controversé s’insurgent devant cette ânerie de liberté de choix et tout le blabla mensongère
la religion tu obéis ou tu la quitte il y n'a pas de demi mesure certain l'ont fait et sont ce vue se faire maltraité juger pas d'autre considéré comme sectaire
je commence avoir de l'estime aux intégristes qui assument de montré le vrai visage de l'islam sans de faux maquillage
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
@Drianke même les musulmans les plus controversé s’insurgent devant cette ânerie de liberté de choix et tout le blabla mensongère
la religion tu obéis ou tu la quitte il y n'a pas de demi mesure certain l'ont fait et sont ce vue se faire maltraité juger pas d'autre considéré comme sectaire
je commence avoir de l'estime aux intégristes qui assument de montré le vrai visage de l'islam sans de faux maquillage

oui tu as tout dit le fond du probleme ce trouve dans ce que tu ecris
et c cette schyzophrenie que je ne supporte plus

les musulmans ne cherchent plus a comprendre ce que dit le coran il cherche a confirmer leur propre ideal souvent calquer sur le model occidental

le concordisme ne touche pas juste les miracle scientifique mais aussi les valeur et la moral
les musulmans sont telement charmé par les valeur occidental qu'il changent la religion musulmane pour quel soit en accord avec leur ideal occidental

je suis d'accord avec toi sur les integristes au moin il sont clair meme si il se trompe il disent ce qu'il pense sans se soucié de ne pas plair contrairement a brajafil et ses confrere ...

j'avoue une chose je suis impressioné non pas par les valeur occidental mais par la facon dont leur valeur ont seduit et conquis les esprit de tout les peuples
malgrés qu'il ne se sont appuyer sur une autorité divine ...
 

Shadowmaster

On n'a rien sans rien
Bladinaute averti
je suis d'accord avec toi sur les integristes au moin il sont clair meme si il se trompe il disent ce qu'il pense sans se soucié de ne pas plair contrairement a brajafil et ses confrere ...
En parlant de Bajrafil, je suis tombé sur une de ses vidéos sur YouTube. Elle faisait partie des séries de vidéos où il était entrain de répondre à des jeunes musulmans dans une mosquée. L'un d'eux l'avait interpellé sur le voile en lui posant une question très pertinente.
Bajrafil répète souvent qu'il faut s'intéresser à l'esprit (son souffle) d'une loi et pas seulement à la forme qu'elle prend. Exemple, dans le coran, on interdit le vin parce que les gens ne contrôlaient plus ce qu'ils disaient dans les mosquées. Si on s'intéresse à l'esprit derrière cette interdiction, on comprend que ça ne se limitera pas qu'au vin, mais aussi toutes les substances alcoolisées, les drogues, etc. Bref, tout ce qui inhibe le self control.
Allah demande à la femme de se couvrir pour qu'on ne l'embête pas. La raison de se couvrir était pour échapper aux regards des hommes et au fait que ces derniers se permettaient de les déranger. Aujourd'hui, l'inverse se produit dans la société française. Les musulmanes voilée se plaignent qu'elles qu'on les regarde méchamment, qu'on les attaque, qu'elles ne passent pas inaperçues. Si on applique l'esprit de la loi dans ce contexte, on devrait alors ordonner aux femmes de retirer leur voile pour que les hommes arrêtent de les embêter. C'était la remarque du jeune musulman pertinent.
Bajrafil lui a répondu avec sa voix de castré : "mais, non, il ne faut pas accepter. Il faut se qu'elle se batte pour garder son voile".
Tandis que son prophète, lui, a préconisé l'inverse à l'époque.....
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
En parlant de Bajrafil, je suis tombé sur une de ses vidéos sur YouTube. Elle faisait partie des séries de vidéos où il était entrain de répondre à des jeunes musulmans dans une mosquée. L'un d'eux l'avait interpellé sur le voile en lui posant une question très pertinente.
Bajrafil répète souvent qu'il faut s'intéresser à l'esprit (son souffle) d'une loi et pas seulement à la forme qu'elle prend. Exemple, dans le coran, on interdit le vin parce que les gens ne contrôlaient plus ce qu'ils disaient dans les mosquées. Si on s'intéresse à l'esprit derrière cette interdiction, on comprend que ça ne se limitera pas qu'au vin, mais aussi toutes les substances alcoolisées, les drogues, etc. Bref, tout ce qui inhibe le self control.
Allah demande à la femme de se couvrir pour qu'on ne l'embête pas. La raison de se couvrir était pour échapper aux regards des hommes et au fait que ces derniers se permettaient de les déranger. Aujourd'hui, l'inverse se produit dans la société française. Les musulmanes voilée se plaignent qu'elles qu'on les regarde méchamment, qu'on les attaque, qu'elles ne passent pas inaperçues. Si on applique l'esprit de la loi dans ce contexte, on devrait alors ordonner aux femmes de retirer leur voile pour que les hommes arrêtent de les embêter. C'était la remarque du jeune musulman pertinent.
Bajrafil lui a répondu avec sa voix de castré : "mais, non, il ne faut pas accepter. Il faut se qu'elle se batte pour garder son voile".
Tandis que son prophète, lui, a préconisé l'inverse à l'époque.....
Et apres, comme en espagne, on chantera tikchbila tiwliwla....
 
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