Livrés à eux-mêmes en plein coeur de paris, des enfants plongent dans la toxicomanie et la violence

Ca fait 2 ans que ca dure... Et on n'en a pas fini.

comment se fait il que les autorités de 2 pays sont dépassées par une bande de gamins toxico ?

pourquoi faut il 2 ans pour que les premières mesurettes se mettent en place, deux ans durant lesquels ces gosses sont restés à la rue à se droguer et à voler les gens du quartier ?

il faut le demander aux assoc du quartier qui vivent très bien depuis l'arrivée de ces mineurs .... :D

D'aprés uen MRE qui vit à la Goutte d'Or, l'été dernier, els assoc ont demandées aux gamins de se cacher car des policiers Marocains étaient venus avec la police Française pour les recenser et préparer leur rapatriement ...

Resultat : ZERO gamin recensé ... et rapatrié dans leurs FAMILLES ... où est sensé vivre un gamin comme le dit l'ONU ..

Elle était dégouté car ses enfants se sont faits volés et battus par ces gamins ...
 
A

AncienMembre

Non connecté
mais quel est le but des associations ?

n'est il pas préférable comme tu le dis que ces gamins retrouvent leurs parents ?

Déjà 2 ans à trainer dans la rue et sniffer de la colle, c'est très dur de s'en remettre et de retourner à l'école après...
 
mais quel est le but des associations ?

n'est il pas préférable comme tu le dis que ces gamins retrouvent leurs parents ?

Déjà 2 ans à trainer dans la rue et sniffer de la colle, c'est très dur de s'en remettre et de retourner à l'école après...
Ils ne sont certainement jamais allés à l’ecole !
Leurs parents au Maroc sont dans la pauvreté absolue et sont clairement défaillants.
E qui est dramatique c’est que les gouvernements français et marocains ne soient pas capables ou n’aient pas l’envie de gérer ces cas là et laisse pourrir la situation...
 
A

AncienMembre

Non connecté
tu sais à PAris, il y a quantité de choses qu'on laisse pourrir:

-les migrants qui dorment dans la rue, sous des tentes, sans accès à l'eau, à l'hygiène,
-les gamins des rues
-la vente de drogue devant toutes les cités, personne n'arrête les dealers...

On laisse pourrir, mais qu'est ce qu'on attend ???
 
mais quel est le but des associations ?
n'est il pas préférable comme tu le dis que ces gamins retrouvent leurs parents ?
Déjà 2 ans à trainer dans la rue et sniffer de la colle, c'est très dur de s'en remettre et de retourner à l'école après...

le rôle des assoc est de faire du business ....et de toucher de l'argent....

la Mairie de Paris leur donne 1 million d'euros ... 1.000.000 euros pour donner de l'eau et parler avec ces gamins ... :D

donc si ces gamins ne sont plus là , le million d'euros disparait ...... :pleurs:

quant à leurs parents, ils ne sont pas d'une pauvreté , beaucoup de ces enfants ont fugué et étaient en échec scolaire au MAROC ..

et pour certains gamins, leurs familles les ont encouragé et attendent qu'ils leur renvoient des "papiers" pour venir aussi..
 

Korozif

C4H10FO2P
VIB
Les assoc sont un gouffre financier.
J'avais vu un reportage sur les dessous des associations anti-racistes. Concrètement, elles cherchaient la petite bête pour voir du racisme à tous les coins de rue. Pas de racisme, pas de pognon. Ils se médiatisent, tournent les têtes, changent l'opinion. Et ils se foutent de briser le dialogue entre les communautés et de créer de la frustration et la discorde, bien au contraire, c'est donner de l'eau à leur moulin. Et tant que ça paye.
Quand tu vois que la France a été construite par des flux d'immigrés à travers son histoire ( certes il y avait des préjugés, qui ont été balayés en une ou deux générations ). Pourquoi ça ne fonctionne pas aussi bien avec les derniers flux migratoires ? Ca part en brioche depuis la fin des années 80. Et qui a été créé en 1984 ? Pour lutter contre le racisme ? Il y avait des lois contre le racisme pourtant à cette époque.
Beaucoup de gens sont tombés dans le panneau et voient aujourd'hui des racistes partout. Alors que c'est un sentiment de racisme induit. Comme ceux qui se sentent en insécurité en France, alors qu'en fait ils ont un sentiment d'insécurité.
Bref, on vivait tranquille, mais c'était sans compter la prise de pouvoir de ces groupuscules anxiogènes.
 
A

AncienMembre

Non connecté
ce n'est pas la meme émigration et ce n'est pas la même france qu'avant..;

autrefois les immigrés venaient parce qu'on avait besoin de main d'oeuvre et trouvaient du travail et bossaient.

aujourd'hui je ne comprends pas ce qui se passe avec ces migrants: ils sont très pauvres, affamés, en haillons, mauvaise hygiène et maladies car pas d'accès à l'eau,
on ne fait rien pour eux, ils restent comme cela des années... aucun travail en perspective...

Le racisme il n'est pas si présent car il y a des organisations qui les aident, mais trop peu et pas efficacement.

le problème est un problème social (chomage, vagabondage, logés par le 115)... et un problème de moyens qui ne sont pas là.
L'etat est en déficit chronique, on ne trouve pas d'argent pour cela...
 
Les assoc sont un gouffre financier.
J'avais vu un reportage sur les dessous des associations anti-racistes. Concrètement, elles cherchaient la petite bête pour voir du racisme à tous les coins de rue. Pas de racisme, pas de pognon. Ils se médiatisent, tournent les têtes, changent l'opinion. Et ils se foutent de briser le dialogue entre les communautés et de créer de la frustration et la discorde, bien au contraire, c'est donner de l'eau à leur moulin. Et tant que ça paye.
Quand tu vois que la France a été construite par des flux d'immigrés à travers son histoire ( certes il y avait des préjugés, qui ont été balayés en une ou deux générations ). Pourquoi ça ne fonctionne pas aussi bien avec les derniers flux migratoires ? Ca part en brioche depuis la fin des années 80. Et qui a été créé en 1984 ? Pour lutter contre le racisme ? Il y avait des lois contre le racisme pourtant à cette époque.
Beaucoup de gens sont tombés dans le panneau et voient aujourd'hui des racistes partout. Alors que c'est un sentiment de racisme induit. Comme ceux qui se sentent en insécurité en France, alors qu'en fait ils ont un sentiment d'insécurité.
Bref, on vivait tranquille, mais c'était sans compter la prise de pouvoir de ces groupuscules anxiogènes.

Il ne faut pas non plus généraliser, mais c'est assez juste ce que tu dis.

Je n'ai jamais vu autant de racailles que dans le monde social, pire que la politique.

Certaines pensent avant tout à pérenniser leur salaire et leur carrière. Donc plus il y a de problèmes, plus le champ des possibles concernant leurs petits intérêts est large.
 
Ils ne sont certainement jamais allés à l’ecole !
Leurs parents au Maroc sont dans la pauvreté absolue et sont clairement défaillants.
E qui est dramatique c’est que les gouvernements français et marocains ne soient pas capables ou n’aient pas l’envie de gérer ces cas là et laisse pourrir la situation...

Je pense qu'ils n'ont surtout pas envie de gérer la situation. Le souci, c'est que ces jeunes enfants laissés dans de telles conditions vont devenir des adultes certainement marginaux et peut-être dangereux pour la société à cause de ces drogues de fortune.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
up pour ce sujet car le robot était pas au courant que ça fait un moment que nous avons des soucis avec les mineurs marocains ou autres....livrés à eux meme en plein PARIS mais aussi à ROUEN ou à NICE....
 
le rôle des assoc est de faire du business ....et de toucher de l'argent....

la Mairie de Paris leur donne 1 million d'euros ... 1.000.000 euros pour donner de l'eau et parler avec ces gamins ... :D

donc si ces gamins ne sont plus là , le million d'euros disparait ...... :pleurs:

quant à leurs parents, ils ne sont pas d'une pauvreté , beaucoup de ces enfants ont fugué et étaient en échec scolaire au MAROC ..

et pour certains gamins, leurs familles les ont encouragé et attendent qu'ils leur renvoient des "papiers" pour venir aussi..
La même mairie de Paris qui vient de décorer la capitaine du Sea Watch pour son excellent job de Passeur d'humains désœuvrés ? Elle le mérite !
 
Les assoc sont un gouffre financier.
J'avais vu un reportage sur les dessous des associations anti-racistes. Concrètement, elles cherchaient la petite bête pour voir du racisme à tous les coins de rue. Pas de racisme, pas de pognon. Ils se médiatisent, tournent les têtes, changent l'opinion. Et ils se foutent de briser le dialogue entre les communautés et de créer de la frustration et la discorde, bien au contraire, c'est donner de l'eau à leur moulin. Et tant que ça paye.
Quand tu vois que la France a été construite par des flux d'immigrés à travers son histoire ( certes il y avait des préjugés, qui ont été balayés en une ou deux générations ). Pourquoi ça ne fonctionne pas aussi bien avec les derniers flux migratoires ? Ca part en brioche depuis la fin des années 80. Et qui a été créé en 1984 ? Pour lutter contre le racisme ? Il y avait des lois contre le racisme pourtant à cette époque.
Beaucoup de gens sont tombés dans le panneau et voient aujourd'hui des racistes partout. Alors que c'est un sentiment de racisme induit. Comme ceux qui se sentent en insécurité en France, alors qu'en fait ils ont un sentiment d'insécurité.
Bref, on vivait tranquille, mais c'était sans compter la prise de pouvoir de ces groupuscules anxiogènes.
Oui mais avant il y avait des frontières,maintenant grâce à la modernité on a frontex
 

Drianke

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Contributeur
France : Des élus déplorent le manque de moyens pour accueillir les mineurs étrangers

Sur le millier de migrants qui devraient bientôt être évacués du gymnase communal de Grande-Synthe (Nord) et de ses alentours, environ quatre-vingts «mineurs non accompagnés» ont été comptabilisés par l’association spécialisée Refugee Youth Service, indique Le Monde.

Ces jeunes étrangers qui n’ont pas encore 18 ans, isolés et sans protection familiale, relèvent de l’aide sociale à l’enfance (ASE) et devraient donc être pris en charge par les services des départements. Or ces derniers ploient sous l’afflux de ces adolescents. Selon les données du ministère de la Justice, citées par le journal français, le nombre de personnes reconnues mineures non accompagnées est en effet passé de 8 054 en 2016 à 17 022 en 2018.

En Gironde, la vice-présidente chargée de la protection de l’enfance, Emmanuelle Ajon, constate l’arrivée de nouveaux migrants. Il s’agit souvent de jeunes hommes venus d’Afrique subsaharienne. Elle est, dit-elle, en «perpétuelle recherche de places». Dans ce département, le nombre de jeunes étrangers accueillis est passé de 449 fin 2016 à près de 1 200 aujourd’hui, submergeant totalement le dispositif d’accueil girondin.

Pour pallier l’absence de disponibilités dans des centres adaptés, certaines collectivités hébergent les jeunes mineurs non accompagnés dans des hôtels, ou créent des dispositifs d’accueil dans des familles bénévoles, précise Le Monde. Une situation qui a d’importantes répercussions financières : la prise en charge des mineurs non accompagnés est estimée à 50 000 euros par an et par personne.

Pour rappel, la loi asile et immigration n’a pas facilité l’accueil des migrants mineurs. Pour plusieurs responsables associatifs, contactés par notre rédaction en juillet, cette loi encourage les violations de leurs droits. «Les droits des mineurs étrangers ne sont pas optionnels : ils sont indivisibles de ceux des mineurs français», avait rappelé Myriam Laïdouni-Denis, conseillère régionale d’Auvergne-Rhône-Alpes et membre de l’Association nationale des villes et territoires accueillants (ANVITA).

yabiladi
 

Drianke

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Contributeur
Sud Oise : recrudescence des cambriolages commis par les mineurs isolés

Ces derniers mois, une quinzaine d’interpellations a eu lieu autour de Chantilly et Orry-la-Ville. Une situation qui rappelle celle que le secteur avait connue il y a moins de deux ans.

Le Sud Oise est en proie à la délinquance des mineurs isolés. La demaine dernière, à Chantilly, deux hommes ont été interpellés après avoir tenté de cambrioler une maison de l'avenue du Maréchal-Joffre. L'un d'eux s'est présenté comme un mineur marocain.


Quelques jours avant, c'est à Orry-la-Ville que trois jeunes mineurs, là encore sans que leur identité ne puisse être vérifiée, s'étaient fait arrêter après avoir dérobé la caisse d'un magasin en pleine nuit.

Des situations qui sont de plus en plus courantes selon les autorités, qui ont constaté une recrudescence des cas de cambriolages commis par des personnes mineures, étrangères et sans domicile fixe, souvent en provenance de la région parisienne. Une quinzaine d'arrestations pour des faits similaires a eu lieu au cours de ces quatre derniers mois dans le sud de l'Oise.

Surveillance renforcée dans les gares

« Ça se passe principalement sur les communes de l'Aire cantilienne, à proximité des gares », indique le commandant de la compagnie de Chantilly, Nicolas Blot. C'est pourquoi, les militaires organisent une surveillance accrue à ces endroits, en partenariat avec les agents de la sûreté ferroviaire. Une présence qui est avant tout dissuasive. « Généralement, quand ils nous voient, ils remontent dans le train et font demi-tour », glisse le gradé.

« Les Gavroches des temps modernes »

Pour autant, difficile de donner une suite judiciaire à ces affaires concernant ces mineurs qui — faute de papiers d'identité ou d'adresse — sont généralement relâchés à l'issue de leur garde à vue. « Ce sont un peu les Gavroches des temps modernes », soupire un gendarme. Un vagabondage qui a mené quelques jours plus tard les trois mineurs d'Orry à Luzarches (Val-d'Oise), où ils se sont fait interpeller de nouveau, pour des faits similaires.
Un retour des mineurs isolés sur le terrain des cambriolages qui fait écho à la période de la fin 2017, au cours de laquelle les autorités observaient une montée des délits. « Ça s'était calmé, commente un militaire. Mais c'est peut-être dû à la pression que ces jeunes reçoivent dans certains camps de migrants aux portes de Paris. »

Du côté des élus, on s'inquiète du phénomène. « Ils sont très organisés. Il y en a un qui a déplacé la caméra pendant qu'un autre forçait l'entrée avec un pied-de-biche », raconte Henri Herry maire (SE) d'Orry-la-Ville qui incite ses concitoyens à redoubler de vigilance en cette période et à ne pas hésiter à regarder « ce qui se passe chez les voisins » en leur absence.

Leparisien
 

Drianke

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Contributeur
La police ne peut pas être partout et c'est surtout les associations qui se démènent pour les encadrer tout du moins dans mon agglo à Rouen....



La France est incapable de gérer des mineurs entrés illégalement sur le territoire car à force de laisser faire ils sont maintenant 17.000
on va bientôt rajouter un zéro à ce nombre, ca sera encore plus difficile

La france n'arrive pas à gérer le trafic de stupéfiants sur le territoire. A force de laisser faire, les vendeurs de came se multiplient ainsi que les zones de non droit.

J'en ai une à côté de chez moi: des HLM à moitié désaffectés, squattés, avec des jeunes en perditions qui se rassemblent en grappes devant les immeubles, je n'ose même plus passer pourtant je dois pour accéder à mon jardin collectif... il y a eu déjà un meurtre là bas, sans parler des bagarres et autres réglements de compte...

que fait la police ? ????
 

Drianke

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Contributeur
La prise en charge des mineurs isolés étrangers en chiffres

La prise en charge des "mineurs non accompagnés" (MNA) --à 95% de jeunes hommes étrangers qui se trouvent en France sans adulte responsable-- concerne 41.000 jeunes et coûte 2 milliards d'euros par an, selon les départements qui en assument la charge.
Voici les principaux chiffres liés aux mineurs isolés étrangers, ancienne dénomination des MNA:

- 41.000

Plus de 41.000 mineurs non accompagnés sont pris en charge au titre de l'aide sociale à l'enfance (ASE), indique l'Assemblée des départements de France (ADF).

La prise en charge "a considérablement augmenté depuis 2015", notamment avec une "forte accélération" de 74% entre 2016 et 2017, dans "des proportions très hétérogènes" selon les départements.

Il s’agit à 95%, de garçons, principalement originaires d'Afrique subsaharienne.

Ils représentent entre 15 à 20% de l'ensemble des mineurs qui bénéficient de l'aide sociale à l'enfance.

- 2 milliards
En moyenne, on estime à 50.000 euros par mineur et par an le coût d'un MNA. Cette somme couvre le logement, la nourriture, les frais d'éducation et de formation. L'Etat rembourse aux départements une part modique de cette somme, affirme l'ADF.

Fin 2018, la prise en charge représentait un coût de 2 milliards d'euros à la charge des départements, selon cette source.

L'Etat a récemment augmenté sa contribution financière à la première phase de l'accueil, portant sur la période où les jeunes étrangers demandent à être reconnus comme MNA. Cette contribution comprend désormais un forfait de "500 euros par personne" pour l'évaluation proprement dite et, pour la mise à l'abri, une aide de "90 euros par personne et par jour dans la limite de 14 jours", rappelait un arrêté de juin.

Selon un arrêté publié dimanche, un financement exceptionnel de 33,6 millions d'euros de l'Etat va en outre être réparti entre les départements pour contribuer à l'accueil pour 2018.

- 5 jours
Lorsqu'un mineur arrive, il est évalué par le département, qui a cinq jours pour mener des entretiens. En cas de doute sur l'âge, le département peut depuis le 31 janvier demander un réexamen à la préfecture, qui peut s'appuyer sur le fichier biométrique en interrogeant les bases de données des visas et des ressortissants étrangers, en comparant notamment les empreintes. Plusieurs départements refusent d'appliquer ce décret, dont Paris.

Le juge peut aussi être saisi pour effectuer des tests osseux, procédé controversé dont le recours a été limité par une loi de 2016.
Après évaluation, explique l'ADF, "la moitié d'entre eux s'avèrent en réalité majeurs".

- Clé de répartition
Si le jeune est reconnu mineur, le juge va décider de son placement. Depuis 2016, une "clé de répartition" entre départements, révisée chaque année, est définie par le ministère de la Justice sur la base de critères démographiques et d'efforts déjà consentis.
Selon les données du ministère, les MNA renvoyés vers d'autres départements doivent être en 2019 0,20% à atterrir en Ariège, 0,79% dans le Rhône ou 2,61% à Paris.

https://www.boursedirect.fr/fr/actu...afp-db1eb08008ad2211399da0e80af5ef093c0f8d72#
 

Drianke

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Contributeur
Poitiers : un concert pour soutenir les mineurs isolés

Si la rentrée des classes s’est faite sans heurts pour la plupart des élèves de la Vienne, elle a parfois été plus délicate pour les nombreux jeunes migrants suivis par le pôle Rémiv (Ressources et réseau pour les mineurs isolés étrangers en Vienne) de la Maison des Trois-Quartiers de Poitiers. « On a de plus en plus de besoins pour la scolarisation de ces jeunes, explique la responsable du pôle, Yasmina Brunet. Notamment pour pouvoir envoyer en stage les jeunes de la formation fibre optique du lycée Raoul-Mortier de Montmorillon. Ces stages en entreprise sont souvent éloignés : à Royan, Bordeaux ou Mont-de-Marsan» Si une cagnotte en ligne a été ouverte (lire notre édition du 30 août dernier), la M3Q, la Blaiserie et l’association Min’de Rien ont décidé de s’associer en organisant un concert pour soutenir la scolarisation des jeunes isolés.

Avec Nicolas Jules« On connaît beaucoup d’artistes engagés, souligne Christelle Bertoni, responsable des actions culturelles de la M3Q. Tous ceux qu’on a contactés ont tout de suite été d’accord pour jouer gratuitement. » Ce concert solidaire aura lieu ce jeudi 12 septembre, dans la salle de La Blaiserie, et rassemblera les musiciennes et chanteuses Marion Berthier, Manue Bouriaud et Julie Thoreau, ainsi que Patrick Ingueneau, Nicolas Jules et Nicolas Moro.

Outre la mise à disposition de la salle, les artistes et techniciens seront bénévoles, tout comme les nombreuses associations impliquées (comme le Toit du Monde pour la restauration). Pensez à réserver : il n’y aura que 400 places assises pour ce concert solidaire exceptionnel.
Jeudi 12 septembre, à 20 h 30, à La Blaiserie, rue des Frères-Montgolfier, à Poitiers. Tarifs : de 3,50 à 12 euros. Réservations auprès de la M3Q, tél. 05.49.41.40.40.33. www.m3q.centres-sociaux.fr

https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/poitiers-un-concert-pour-soutenir-les-mineurs-isoles
 

Drianke

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Contributeur
Accompagnement des mineurs isolés. Une soirée de soutien ...
https://www.letelegramme.fr › ... › Quimper - Le Moulin-Vert[/URL]

QUIMPER
Il y a 2 jours - Elle organisera, samedi, à partir de 16 h dans la grande salle de la Maison de quartier au ... Une soirée de soutien samedi au Moulin Vert.
 
au maroc c est la loi du plus fort.la dictature l analphabetisme et l archaisme religieuse ont produit un peuple paumé aucun sens de responsabilité ni de devoirs ni de la dignité comment ça fait il qu il n y a pas d association d aide à l enfance.pour quoi on laisse les mendiants utiliser les enfants et ça devant les autorités il paraît qu il y a 20 milles enfants dans la rue au maroc jamais tu verra quelqu un les aider non on préfère aller donner 70 mille dirhams au saoudien pour tourner autour d une pierre à 50 degré
 
A

AncienMembre

Non connecté
La prise en charge des mineurs isolés étrangers en chiffres

41.000 en France...
ou 2,61% à Paris.
:D

ah 41.000 ? ce matin j'avais trouvé le chiffre de 27.000 et je prédisais qu'on allait bientôt rajouter un zéro à ce nombre.

2,61% à PAris ??? ils veulent dire 26,1% je suppose ha ha
 
On ferait bien mieux d'êtres droit dans ses bottes ,réalistes, pragmatique.
On retourne tous ces jeunes dans les pays d'origine avec un chèque de 50 000 euros pour un suivi de 5 ans par des associations locales.
Cela rendrai le système plus clair.
Car 50000 pour un an en France cela correspond à 5 ans de suivi en Afrique.
Et les pays qui n'accepte pas le deal et bien très simple on coupe les aides .
Et pour les excités du mondialisme plus de défiscalisation pour les dons à leurs assoc' .enfin toutes celles qui triche avec la règle de base.
Une assoc' humanitaire n'a aucun droit de faire du loobing politique .c'est aux elus de le faire
 

Drianke

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Contributeur
Médecins sans frontières dresse un constat accablant sur le sort des migrants mineurs en France
Traumatismes, violences et maltraitance font partie du quotidien des mineurs non-accompagnés.

MIGRANTS - Dans un récent rapport, l’ONG Médecins sans frontières (MSF) dresse un constat accablant sur les conditions de vie de ceux qu’on appelle “mineurs non-accompagnés” ou “mineurs étrangers isolés” et retrace, à travers divers témoignages, les parcours parfois extrêmement violents de certains. Après les obstacles encourus sur leur route migratoire, ils sont toujours nombreux à être victimes de maltraitance et d’exclusion en France, où les lois censées les protéger ne sont pas toujours appliquées, déplore l’ONG.
Dans son rapport, MSF joint le témoignage d’Ismaël (le prénom a été changé pour préserver son anonymat), un jeune de 16 ans originaire de Conakry, en Guinée, arrivé en France après un long périple au Maroc, dans la forêt de Bolingo, vers Nador, peuplée de migrants subsahariens. “On est restés dans la forêt. La nuit, il y a toutes sortes de cris. Il n’y avait rien à manger. Les gens se nourrissaient dans les poubelles. (...) La forêt est contrôlée par le président, un Ivoirien dont on ne connaît pas le nom et qu’on appelle ‘Prési’. Quand tu arrives, tu dois lui déposer de l’argent. Beaucoup de gens l’entourent. Il a des amis marocains, il travaille avec un réseau. (...) La nuit, à 4 heures du matin, il faut parfois partir se réfugier dans la montagne car les policiers marocains viennent au camp, cassent tout et brûlent nos affaires. On a peur des policiers. Un jour, j’ai vu un policier casser le pied d’un Noir et il l’a laissé là. J’ai vu des gens mourir de faim, de maladie (...)” raconte-t-il dans son témoignage.

Après une première tentative de migration vers l’Europe depuis Nador, il est rapidement rattrapé par la police et envoyé en prison. “Dans ma cellule il n’y avait que des prisonniers marocains qui étaient là car ils avaient volé, vendu du haschich… Les gardiens entrent et te frappent. La nourriture c’est du pain et de la soupe. Je n’avais plus rien, aucun habit, ils m’avaient tout pris. J’avais juste un slip et je dormais par terre sur le sol. Je suis tombé malade mais je n’ai jamais eu le droit d’aller voir un médecin alors que les Marocains eux y allaient” poursuit-il. La seconde tentative, quelques temps après, est la bonne: Ismaël arrive sur les côtes espagnoles puis en France. S’il pensait avoir vécu un calvaire lors de son trajet, la réalité sur le territoire français est tout aussi violente. Car ils sont des dizaines de milliers de mineurs comme lui, laissés pour compte et non pris en charge par l’Etat français.

Une loi pas toujours respectée.......................

https://www.huffpostmaghreb.com/ent..._5d79044de4b0a938a42bb94b?utm_hp_ref=mg-maroc
 
A

AncienMembre

Non connecté
c'est vraiment à pleurer...

en même temps les services sociaux sont complètement débordés et leurs ressources largement insuffisantes pour prendre en charge un tel flux de migrants mineurs.

Je ne comprends pas. Ces enfants doivent retourner dans leur famille.
 
c'est vraiment à pleurer...

en même temps les services sociaux sont complètement débordés et leurs ressources largement insuffisantes pour prendre en charge un tel flux de migrants mineurs.

Je ne comprends pas. Ces enfants doivent retourner dans leur famille.

oui sauf que les assocs ne le veulent pas car c'est leur poule d'or à 1 million d'euros (budget donné par la Mairie de Paris) :D
 
A

AncienMembre

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Les dépenses liées à l’immigration en France ressemblent à un puits sans fond
  • Par Jean-Marc Leclerc
  • Publié le 17/09/2019 à 19:07

ANALYSE - Le poids de l’immigration pour les finances du pays atteint un tel niveau qu’il obère l’efficacité de bien des réformes visant à assainir les comptes publics

La perspective des élections municipales réveille l’exigence de réponses intelligibles sur la question de l’immigration irrégulière. Emmanuel Macron avait déjà affiché sa fermeté il y a deux ans tout juste, se voulant «intraitable» sur les reconduites. Mais, avec à peine plus de 15 % de taux de retour effectif dans leur pays d’origine des quelque 100.000 clandestins soumis à une obligation de quitter le territoire, il n’a pas fait mieux que ses prédécesseurs. Implacable réalité internationale qui veut qu’un migrant ne puisse être renvoyé sans l’accord de son pays d’origine.

Le flux migratoire prend désormais en France la forme d’une immigration de rebond depuis l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, l’Espagne. Ce qui nourrit les peurs et favorise les extrêmes.

Si la France échoue à renvoyer les étrangers qu’elle juge indésirables, peut-être doit-elle s’évertuer à devenir moins attractive, se demandent nos élites. Bercy, pour sa part, regarde les comptes.;...
 

Drianke

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Contributeur
Le robot relance le sujet ...

Les mineurs marocains errant à Paris représentent un vrai défi pour les services de sécurité français et une réelle menace à l'ordre public. Plus de 2.000 enfants ont été interpellés en 2019, mais l'absence d'un système judiciaire dissuasif rend la tâche beaucoup plus difficile.
Selon les autorités françaises, les mineurs marocains ont été impliqués dans plusieirs actes criminels de vandalisme et de cambriolage de magasins commerciaux et de sièges de sociétés. En imposant leur loi au sein des quartiers (...)
 

Drianke

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Contributeur
La Seine-Saint-Denis saisit l'ONU sur les mineurs étrangers non accompagnés
En ne contribuant pas suffisamment au budget du département consacré à ces mineurs, l'Etat "méconnaît" les obligations de la convention de l'ONU sur les droits de l'enfant, selon la Seine-Saint-Denis.

La Seine-Saint-Denis va intenter auprès de l'ONU une action juridique contre l'Etat français, accusé de mal "protéger" les mineurs étrangers non accompagnés (MNA), très nombreux dans le département, a annoncé la collectivité mardi 19 novembre à l'AFP. En ne contribuant pas suffisamment au budget du département consacré à ces mineurs, l'Etat "méconnaît" les obligations de la convention de l'ONU sur les droits de l'enfant, que la France a pourtant signée, estime la collectivité dans sa saisine.

L'annonce du recours intervient à la veille de la célébration du 30e anniversaire de la convention, ratifiée par la quasi-totalité des pays du globe. "Au moment de célébrer cet anniversaire, je refuse que la situation des MNA soit mise sous le tapis", explique à l'AFP le président PS du conseil départemental, Stéphane Troussel. "Ce sont des enfants à protéger comme les autres, l'Etat ne peut pas s'en dédouaner."

La Seine-Saint-Denis en première ligne

La Seine-Saint-Denis est, avec Paris, en première ligne dans l'accueil des MNA. En juin, ils étaient 1 429 dans le département. Un nombre "en constante augmentation" : en 2015, ils étaient "trois fois moins nombreux", assure la collectivité. Elle dit avoir mobilisé en 2019 "près de 59 millions d'euros", soit "17 millions de plus qu'en 2018" et créé "900 places dédiées" pour permettre leur prise en charge. Or, l'Etat ne participe qu'à hauteur de "8%" des dépenses engagées, selon le département.

La saisine, déposée "dans les prochains jours" devant le comité des droits de l'enfant de l'ONU, doit déboucher sur une enquête sur les atteintes présumées au traité. Le comité est ensuite censé faire des recommandations à l'Etat visé. La Seine-Saint-Denis dit notamment attendre de l'ONU qu'elle recommande à la France de "consentir des fonds supplémentaires au profit du département" pour la prise en charge des MNA et de "réformer en profondeur le système d'accueil, de prise en charge, de mise à l'abri et d'hébergement" de ces mineurs.

https://www.francetvinfo.fr/societe...ineurs-etrangers-non-accompagnes_3710377.html
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
sujet assez complet ici et suivi .....

oui beaucoup de légèreté concernant ses enfants qui je le rappelle ne sont pas dangereux que pour eux mais pour aussi autrui je généralise pas mais beaucoup sont drogué et armés
ensuite pour débloqué des sommes faramineuse pour les logés et les instruire n'est pas une solution surtout quand on voit le nombre qui s'en évade!
mais aussi que ça incite d'autres à venir!
le mieux est de les raccompagnés gentiments d'ou ils sont venus surtout ceux qui respectent pas la loi!
 

Drianke

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Contributeur
@boublil92 thanks pour le complement d'infos

c'est incroyable, cela tombe justement maintenant:

9 septembre 2020 - 20h30 - Monde

Une trentaine de mineurs marocains arrivés en France en octobre 2016 vivent dans le quartier de la Goutte d’Or où ils sont connus pour être impliqués dans des vols et agressions violentes. Olivier Peyroux, sociologue au sein de l’association Trajectoires parle de ces mineurs isolés.

"Leur nombre est relativement stable depuis quatre ans. Ils sont toujours une trentaine dans le quartier de la Goutte d’Or, certains sont de très jeunes mineurs de 13 ou 14 ans, d’autres tout juste majeurs. Contrairement à ce qui avait été envisagé à leur arrivée, il ne s’agit ni d’orphelins ni d’enfants de rue. Beaucoup ont une famille avec laquelle ils restent en contact, certains savent lire et écrire. Il n’y a pas vraiment de profil type, certains ont immigré pour trouver du travail, d’autres après avoir été marginalisés à cause du remariage d’un de leurs parents, certains ont imité des amis…", déclare le sociologue dans une interview accordée à 20 minutes.

Selon M. Peyroux, la principale évolution, c’est que depuis deux ans, on voit arriver des mineurs venus d’Algérie ou de Tunisie alors qu’auparavant ils étaient tous originaires du Maroc. Il explique que les situations de ces jeunes sont variables d’un cas sur l’autre mais certains sont effectivement exploités par des réseaux de traite des êtres humains. "Ces derniers ne sont pas forcément très structurés, mais ils exploitent et entretiennent la toxicomanie de ces jeunes pour les pousser à voler pour eux", fait savoir le sociologue.

À l’en croire, de nombreuses enquêtes ont été ouvertes pour tenter de remonter et identifier ces réseaux mais l’extrême mobilité de ces jeunes complique le travail d’investigation. Quatre ans après leur arrivée en France, "la situation de ces mineurs est non seulement à la croisée de plusieurs problématiques – la protection de la jeunesse, la justice, la police, la toxicomanie – mais est également relativement nouvelle", fait-il remarquer. Pour régler ces problématiques, M. Peyroux suggère : "il faudrait des services de police spécialisés et une protection adaptée, car la prise en charge classique ne fonctionne pas.
 

Drianke

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Contributeur
Paris : Les mineurs marocains de la Goutte-d'Or ne sont « ni des orphelins ni des enfants des rues »
INTERVIEW Depuis quatre ans, une trentaine d’adolescents marocains toxicomanes et violents vivent livrés à eux-mêmes au cœur de la Goutte-d'Or, à Paris

Ils sont arrivés presque du jour au lendemain. En octobre 2016, une trentaine d’enfants et d’adolescents marocains ont élu « domicile » dans un square de la Goutte-d’Or, au cœur du 18e arrondissement de Paris. Les plus jeunes avaient une dizaine d’années, les plus âgés disent avoir 17 ans. Livrés à eux-mêmes, ne parlant souvent pas un mot de français, accros à la « colle », ils multiplient les vols et les agressions de plus en plus violentes. Malgré une prise en charge de plus en plus conséquente au fil des années, le phénomène persiste.

Sociologue au sein de l’association Trajectoires, Olivier Peyroux a participé en 2018 à un rapport commandé par la Mairie de Paris sur la situation de ces mineurs isolés. Il revient pour 20 Minutes sur le sort de ces gamins des rues.

Quatre ans après l’arrivée de ces enfants et adolescents, la situation a-t-elle évolué ?
Leur nombre est relativement stable depuis quatre ans. Ils sont toujours une trentaine dans le quartier de la Goutte d’Or, certains sont de très jeunes mineurs de 13 ou 14 ans, d’autres tout juste majeurs. Contrairement à ce qui avait été envisagé à leur arrivée, il ne s’agit ni d'orphelins ni d’enfants de rue. Beaucoup ont une famille avec laquelle ils restent en contact, certains savent lire et écrire. Il n’y a pas vraiment de profil type, certains ont immigré pour trouver du travail, d’autres après avoir été marginalisés à cause du remariage d’un de leurs parents, certains ont imité des amis… La principale évolution, c’est que, depuis deux ans, on voit arriver des mineurs venus d’Algérie ou de Tunisie alors qu’auparavant ils étaient tous originaires du Maroc.

Comment expliquer leur présence en France ? Appartiennent-ils à des réseaux ?.....

 
A

AncienMembre

Non connecté
oui tu as raison @Drianke, les informations sont contradictoires. De quels réseaux s'agit il ? Sont ils poussés à voler pour financer leur consommation... ?

que fait la police, cela fait 4 ans que cela dure et que les riverains sont attaqués...
(voir le post de @VeraBien très informatif

et que font ces "associations" dont la raison d'être semble de faire perdurer leur situation, c'est aberrant...
 
La police ne peut rien faire, ils sont mineurs.


Après certains s'en sortent et d'autres sont tellement drogués qu'il faudrait les faire rentrer dans des centres de désintoxication avant de commencer toute tentative de formation ou autre pour qu'il puisse vivre tranquillement et avoir un avenir meilleur du pays d'où ils sont partis...

Ils ne viennent pas direct du Maroc ou d'Algérie. Ce sont svt des jeunes qui ont d'abord vécu dans d'autres grande villes européennes (Barcelone, etc,...)

Le problème c'est que ce "problème" est nouveau donc la France ne sait pas comment faire pour les "aider" (la bonne blague...).
 
Dernière édition:
Si les procédures d'adoption étaient moins lourdes et compliquées ces enfants auraient été pris en charge des leur plus jeune âge par des familles prêtes à leur offrir un foyer :(
Offrir un foyer maintenant à des gosses comme ça , c'est de la folie pour qui cherche a adopter un enfant .( trop tard ) . Il leur faut un système avec une une éducation spécialisée. Ces enfants sont rétifs à toute contrainte, et a la limite , dangereux pour eux mêmes et pour autrui. Inamendables a mon avis. Quoi en faire a part les renvoyer dans leur pays .....qui ne les acceptent pas !
 
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