Le cannabis était reconnu jusqu’à présent comme une substance favorisant fortement l’abus et ayant un très faible intérêt médical.
« C’est la première fois depuis 1916 que l’on reconnaît […] l’intérêt thérapeutique » de la plante, a expliqué un universitaire spécialiste du droit de la drogue au quotidien Le Monde.
Une reclassification du cannabis a été approuvée par la Commission des stupéfiants des Nations unies (CND), mercredi 2 décembre, afin de reconnaître son utilité thérapeutique, rapporte Le Monde.
La plante, ainsi que sa résine, étaient jusqu’à présent considérées des substances favorisant fortement l’abus et ayant un très faible intérêt médical.
Ce changement de classification a été suivi en
fonction des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
En janvier 2019, cette dernière s’était appuyée sur des études scientifiques pour émettre son avis.
Le cannabis pourra dorénavant être utilisé dans la conception de médicaments, tout comme l’opium ou la morphine, relate le quotidien.
Une première depuis 1916
Lors de la 63e session de CND, les votes ont été très serrés pour statuer l’avenir juridique de cette drogue. 27 membres se sont prononcés en faveur de sa reclassification, 25 autres se sont exprimés contre et une personne s’est abstenue.
« C’est la première fois depuis 1916 que l’on reconnaît […] l’intérêt thérapeutique du cannabis.
Depuis plus d’un siècle, les conventions internationales sur les drogues maintenaient que ce produit était dangereux et sans intérêt médical », a déclaré un universitaire spécialiste du droit de la drogue, et dont les propos sont relayés par Le Monde.
La plante – ainsi que ses dérivés – reste cependant classée comme un stupéfiant au niveau du Droit International
« C’est la première fois depuis 1916 que l’on reconnaît […] l’intérêt thérapeutique » de la plante, a expliqué un universitaire spécialiste du droit de la drogue au quotidien Le Monde.
Une reclassification du cannabis a été approuvée par la Commission des stupéfiants des Nations unies (CND), mercredi 2 décembre, afin de reconnaître son utilité thérapeutique, rapporte Le Monde.
La plante, ainsi que sa résine, étaient jusqu’à présent considérées des substances favorisant fortement l’abus et ayant un très faible intérêt médical.
Ce changement de classification a été suivi en
fonction des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
En janvier 2019, cette dernière s’était appuyée sur des études scientifiques pour émettre son avis.
Le cannabis pourra dorénavant être utilisé dans la conception de médicaments, tout comme l’opium ou la morphine, relate le quotidien.
Une première depuis 1916
Lors de la 63e session de CND, les votes ont été très serrés pour statuer l’avenir juridique de cette drogue. 27 membres se sont prononcés en faveur de sa reclassification, 25 autres se sont exprimés contre et une personne s’est abstenue.
« C’est la première fois depuis 1916 que l’on reconnaît […] l’intérêt thérapeutique du cannabis.
Depuis plus d’un siècle, les conventions internationales sur les drogues maintenaient que ce produit était dangereux et sans intérêt médical », a déclaré un universitaire spécialiste du droit de la drogue, et dont les propos sont relayés par Le Monde.
La plante – ainsi que ses dérivés – reste cependant classée comme un stupéfiant au niveau du Droit International