L’ue discute en ce moment (08/2017) des modalités de saisie des comptes courants

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
info loupée....

L’agence de presse Reuters vient de révéler le plan de l’Union Européenne pour geler vos comptes courants en cas de crise bancaire. Début juillet l’UE, dont l’Estonie assure la présidence tournante, est revenue à la charge avec un projet incluant tous les dépôts, dès le premier euro.
Oui, on parle bien de votre compte courant.


L’agence de presse Reuters vient de révéler le plan de l’Union Européenne pour geler vos comptes courants en cas de crise bancaire
Il est plus urgent que jamais d’assurer vos arrières (plus à ce sujet ci-dessous).
Selon Reuters, le blocage total durerait jusqu’à 20 jours. C’est-à-dire trois semaines sans pouvoir accéder à votre compte en banque… et sans savoir ce que vous y retrouverez par la suite.

En novembre dernier, la Commission Européenne s’opposa à ce que l’on puisse geler les dépôts garantis, c’est-à-dire à hauteur de 100 000€ par compte.
Cela devrait être une évidence : puisque le dépôt est garanti, il n’y pas besoin de le geler.

Et voici que début juillet l’Union Européenne, dont l’Estonie assure la présidence tournante, est revenue à la charge avec un projet incluant tous les dépôts, dès le premier euro.
Oui, on parle bien de votre compte courant.
La raison de ce revirement : la faillite de la banque espagnole Banco Popular est passée par là.
Et ce qui s’est passé avec Banco Popular n’est rien d’autre qu’un bank run, une panique bancaire : le cauchemar des banquiers, le mot interdit. La seule différence est que tout cela s’est passé en ligne sans les scènes de paniques aux comptoirs et distributeurs : la douleur moins le sang.
Ce sont plus de 2 milliards d’euros qui s’échappaient des coffres de la banque chaque jour au moment de l’intervention de la BCE.
Ce bank run fatal est arrivé après tous les recours possibles par ses actionnaires, par la BCE. Il est le résultat d’une longue série d’échecs et de discours rassurants et mielleux.
Mais les raisons de la faillite de la banque, les créances pourries qui ont miné ses comptes et ont fini par déclencher la panique datent de 2008. Cela faisait 10 ans que les banquiers mettaient la poussière sous le tapis.
Force est de constater : le temps ne fait pas l’affaire.
Les créances pourries en euros ont été multipliées par 3 depuis la crise et partout en Europe elles gonflent comme de véritables bombes à retardement dont chaque jour augmente la puissance de déflagration.
Banco Popular était la 3e banque privée espagnole avec 1 700 agences en Espagne. Pas une petite banquette régionale mal ficelée. Et nous ne sommes plus à Chypre mais dans la 4e économie de la zone Euro.
Banco Popular avait passé les stress tests hauts la main. Cela n’a pas empêché la faillite.
La banque a été rachetée pour un euro symbolique par Santander, la première banque du pays.
Encore une fois, aucun problème n’a été réglé. Les créances ont été transférées à une autre banque finalement pas tellement plus solide que Banco Popular.
Les créances pourries sont toujours-là, elles continuent d’enfler. Elles sont simplement plus concentrées… Et la crise bancaire revient plus forte et plus dure que jamais. Et si demain c’est Santander qui est en difficulté, il n’y aura personne au-dessus pour la sauver…
Il ne reste qu’une solution, prévue d’ailleurs depuis plus de 5 ans par des organismes privés et publics comme le FMI et le Boston Consulting Group : à la fin, ce sont vos comptes que l’on bloque. Ce sont vos comptes que l’on prélève.
C’est ce que l’Europe se prépare à faire aujourd’hui.
Avez-vous seulement assez d’argent liquide pour tenir 3 semaines ?
Votre patrimoine est-il diversifié pour survivre à la Grande Crise Bancaire européenne ?

le petit économiste

mam
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
info loupée....

L’agence de presse Reuters vient de révéler le plan de l’Union Européenne pour geler vos comptes courants en cas de crise bancaire. Début juillet l’UE, dont l’Estonie assure la présidence tournante, est revenue à la charge avec un projet incluant tous les dépôts, dès le premier euro.
Oui, on parle bien de votre compte courant.


L’agence de presse Reuters vient de révéler le plan de l’Union Européenne pour geler vos comptes courants en cas de crise bancaire
Il est plus urgent que jamais d’assurer vos arrières (plus à ce sujet ci-dessous).
Selon Reuters, le blocage total durerait jusqu’à 20 jours. C’est-à-dire trois semaines sans pouvoir accéder à votre compte en banque… et sans savoir ce que vous y retrouverez par la suite.

En novembre dernier, la Commission Européenne s’opposa à ce que l’on puisse geler les dépôts garantis, c’est-à-dire à hauteur de 100 000€ par compte.
Cela devrait être une évidence : puisque le dépôt est garanti, il n’y pas besoin de le geler.

Et voici que début juillet l’Union Européenne, dont l’Estonie assure la présidence tournante, est revenue à la charge avec un projet incluant tous les dépôts, dès le premier euro.
Oui, on parle bien de votre compte courant.
La raison de ce revirement : la faillite de la banque espagnole Banco Popular est passée par là.
Et ce qui s’est passé avec Banco Popular n’est rien d’autre qu’un bank run, une panique bancaire : le cauchemar des banquiers, le mot interdit. La seule différence est que tout cela s’est passé en ligne sans les scènes de paniques aux comptoirs et distributeurs : la douleur moins le sang.
Ce sont plus de 2 milliards d’euros qui s’échappaient des coffres de la banque chaque jour au moment de l’intervention de la BCE.
Ce bank run fatal est arrivé après tous les recours possibles par ses actionnaires, par la BCE. Il est le résultat d’une longue série d’échecs et de discours rassurants et mielleux.
Mais les raisons de la faillite de la banque, les créances pourries qui ont miné ses comptes et ont fini par déclencher la panique datent de 2008. Cela faisait 10 ans que les banquiers mettaient la poussière sous le tapis.
Force est de constater : le temps ne fait pas l’affaire.
Les créances pourries en euros ont été multipliées par 3 depuis la crise et partout en Europe elles gonflent comme de véritables bombes à retardement dont chaque jour augmente la puissance de déflagration.
Banco Popular était la 3e banque privée espagnole avec 1 700 agences en Espagne. Pas une petite banquette régionale mal ficelée. Et nous ne sommes plus à Chypre mais dans la 4e économie de la zone Euro.
Banco Popular avait passé les stress tests hauts la main. Cela n’a pas empêché la faillite.
La banque a été rachetée pour un euro symbolique par Santander, la première banque du pays.
Encore une fois, aucun problème n’a été réglé. Les créances ont été transférées à une autre banque finalement pas tellement plus solide que Banco Popular.
Les créances pourries sont toujours-là, elles continuent d’enfler. Elles sont simplement plus concentrées… Et la crise bancaire revient plus forte et plus dure que jamais. Et si demain c’est Santander qui est en difficulté, il n’y aura personne au-dessus pour la sauver…
Il ne reste qu’une solution, prévue d’ailleurs depuis plus de 5 ans par des organismes privés et publics comme le FMI et le Boston Consulting Group : à la fin, ce sont vos comptes que l’on bloque. Ce sont vos comptes que l’on prélève.
C’est ce que l’Europe se prépare à faire aujourd’hui.
Avez-vous seulement assez d’argent liquide pour tenir 3 semaines ?
Votre patrimoine est-il diversifié pour survivre à la Grande Crise Bancaire européenne ?

le petit économiste

mam
Salam mam'zelle,
l'UE c'est l'instrument des multinationales, banques, et autres castes, pour piller les plus faibles en toute légalité.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Salam mam'zelle,
l'UE c'est l'instrument des multinationales, banques, et autres castes, pour piller les plus faibles en toute légalité.

coucou Zami
ça nous promet des jours heureux
d'autant que les % d'emprunt ne sont toujours pas véritablement à la hausse
on prendra ça en "pleine figure" pour rester polie

mamz'elle
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
coucou Zami
ça nous promet des jours heureux
d'autant que les % d'emprunt ne sont toujours pas véritablement à la hausse
on prendra ça en "pleine figure" pour rester polie

mamz'elle
J'ai pas lu l'article, j'ai juste réagit au titre :indigne:
Il faut absolument que les peuples se prennent en main. Après avoir combattu les dictatures, il faut maintenant combattre le capitalisme sauvage. C'est la prochaine révolution.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Salam mam'zelle,
l'UE c'est l'instrument des multinationales, banques, et autres castes, pour piller les plus faibles en toute légalité.
Les réactions de paniques aggravent la situation, c’est pour limiter les dégâts. C’est comme les mouvement de foule où presque tout le monde piétine tout le monde. Ce n’est pas en laissant les gens se laisser à leurs réactions de panique qu’on résous la situation, ça se saurait.

Ce n’est pas l’argent qu’il faut stocker en cas de crise, parce qu’il ne vaut potentiellement plus rien, il faut plutôt s’assurer de disposer du nécessaire en choses concrètes, pas en argent.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Les réactions de paniques aggravent la situation, c’est pour limiter les dégâts. C’est comme les mouvement de foule où presque tout le monde piétine tout le monde. Ce n’est pas en laissant les gens se laisser à leurs réactions de panique qu’on résous la situation, ça se saurait.

Ce n’est pas l’argent qu’il faut stocker en cas de crise, parce qu’il ne vaut potentiellement plus rien, il faut plutôt s’assurer de disposer du nécessaire en choses concrètes, pas en argent.
Salam Hibou,
j'allais te citer ^^
Il ne te viendrait pas à l'esprit qu'il faille séparer les banques de dépôt et les banques d'affaires!
Et accessoirement mettre les banquiers véreux (ceux qui spéculent avec notre argent) derrière les barreaux!
Non toi, tu préfères défendre les pauvres banques victimes des clients!
Encore une fois, tu es du mauvais coté de la barricade.

L'UE sont une mafia à la solde des multinationales. Wake up :mignon:
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Nous – simples citoyens – sommes entrés, sans avoir été consultés, dans des configurations économiques et politiques qui nous asservissent individuellement, nous privent de nos libertés politiques collectives, ruinent nos nations, enrichissent de façon exponentielle une caste, désespèrent notre jeunesse, peuplent nos rues de retraités obligés de faire des « petits boulots », et nos trottoirs d’humains détruits.

Nous n’avons été appelés à voter ni pour l’OMC et le mondialisme commercial, ni pour l’Union européenne de Lisbonne, ni pour la financiarisation, ni pour l’ubérisation… En réalité, selon le mot d’un Nobel d’économie (Joseph Stiglitz), nous avons assisté, impuissants, au
« triomphe de la cupidité », corrélatif de l’effondrement de notre niveau de vie.


2018 verra deux événements ignorés de nos médias main stream, qui omettent de les placer en perspective l’un de l’autre.

Deux révolutions inimaginables il y a un an, qui vont bouleverser le système installé malgré nous et contre nous.

La première révolution aura lieu aux États-Unis : il s’agit de dispositions fiscales et douanières qui vont protéger l’industrie nationale américaine.

La deuxième révolution viendra de Suisse, qui soumettra au contrôle de la nation l’émission monétaire par les banques.

Ces deux révolutions ne vont-elles pas en procréer une troisième dans les peuples d’Europe ?

L’Union européenne, sa soumission à la mondialisation et ses dogmes monétaires, pourraient alors en trépasser. Euro compris.

Les intellectuels indépendants (il en reste dans les maquis de la pensée), les peuples demanderont des comptes à ceux qui ont laissé (ou aidé à) s’installer ces modèles pervers de l’économie en manipulant les outils politiques de la République.
D’autant plus que les deux révolutions économiques ne produiront pas tout de suite leurs conséquences fastes. L’ablation chirurgicale est toujours douloureuse et la convalescence longue. Il faudra reconstruire les filières industrielles moribondes au moyen de politiques économiques de type colbertiste ou sud-coréen.
La caste politicienne qui sévit en est incapable ; des universitaires et chercheurs indépendants de premier rang devront apporter (comme aux États-Unis ou en Suisse) leur compétence et leur créativité.

L’énorme bulle de la dette mondiale, les flux démentiels de capitaux seront remis en question.
Comment les résorber ? De même que la mondialisation aveugle.

Ce seront désormais les peuples qui dirigeront la monnaie et la finance, le commerce international ; et non plus l’inverse.

L’ONU sera probablement appelée à remplacer le FMI et la Banque mondiale, compromis, opaques, qui ont failli à leur tâche.

Et, surtout, les Français voudront rejeter de leur République le régime dégénéré qui les détruit civiquement et socialement et leur répugne, pour pouvoir, comme tous les peuples civilisés, chasser ou juger un mauvais Président, se prononcer sur les grands sujets qui concernent leur vie, l’avenir de la nation, par référendum d’initiative populaire, par la proportionnelle, sanction de toutes les fraudes sociales et des évasions fiscales.

Les orages qui vont se lever des Amériques et de Suisse seront soudains et violents ; mais ils apporteront la pluie aux terres assoiffées de vérité et de justice : les espaces d’une autre vie pour la planète. Les Français pourront alors semer et rêver.

Henri Temple
Avocat, universitaire

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Tout va très bien ! Il n’y a pas de crise en vue ou de souci à se faire !

La sempiternelle croissance retrouvée est bien là devant nous, en personne, et elle nous sourit à tous ! Dormez bien sur vos deux oreilles, braves gens, et imprégnez-vous de ce qu’écrivent vos quotidiens économiques ou de ce que vient de déclarer le professeur Olivier Blanchard, l’ancien chef économiste du FMI, actuellement au MIT à Boston, au-delà de quelques doutes très formels de principe, lors d’un entretien récent avec Le Figaro.
Malheureusement, si les hommes de gauche, du Système et de la pensée unique voient ce qu’ils croient, certains hommes de droite croient ce qu’ils voient.

De nombreux indices et différentes réflexions économiques laissent penser qu’un krach est probable dans un proche avenir, d’autant plus que de nombreux organismes officiels nationaux et internationaux laissent parfois transparaître, au-delà des déclarations officielles lénifiantes systématiques, des raisons de douter.


C’est ainsi que les travaux de réflexion et d’analyse de la BCE de Francfort dans un document de 58 pages publié le 8 novembre 2017 ne peuvent que conforter ceux qui voient se profiler un très grave krach financier à l’horizon.

La BCE accepterait, suite à l’impécuniosité des banques et des gouvernements, qu’une partie des dépôts bancaires soit confisquée pour éviter la faillite et la banqueroute de certaines banques.

Il est écrit noir sur blanc, dans ce document de travail : « Les déposants pourront avoir accès à une partie seulement de leurs avoirs en banque, afin de leur permettre d’assumer leurs dépenses quotidiennes, dans les cinq jours qui suivront leur demande. »

Et tous les comptes seraient concernés, pas seulement ceux des déposants disposant de plus de 100.000 euros, contrairement à ce qui est affirmé, cru et répété urbi et orbi dans les médias.

Ce fut déjà le cas à Chypre en mars 2013 ; les comptes de dépôt des particuliers furent bloqués afin d’éviter la panique et la course aux guichets, le retrait de leurs avoirs par des déposants et, donc, l’écroulement des établissements bancaires.

Lorsque l’on sait qu’il y a déjà eu une directive européenne DRRB (directive sur le redressement et la résolution des banques) autorisant à « chypriser » les comptes au-dessus de 100.000 euros, que la loi Sapin 2 autorise déjà très officiellement le gouvernement français à pouvoir bloquer les comptes de l’assurance-vie en cas de crise, il est alors possible de pouvoir douter et s’interroger sérieusement sur une probable crise à venir, compte tenu des dernières réflexions en cours à la BCE.

Il n’y a pas de fumée sans feu.

Marc Rousset
Économiste
Ancien haut dirigeant d'entreprise

..............mam
 
J'ai pas lu l'article, j'ai juste réagit au titre :indigne:
Il faut absolument que les peuples se prennent en main. Après avoir combattu les dictatures, il faut maintenant combattre le capitalisme sauvage. C'est la prochaine révolution.
On ne sait rien faire on a ete trop loin si on decide quoi ce soit on perds tout, tout nos avoirs
sont sur des serveurs
les banques tiennent tout le monde prisonnier c est trop tard meme les etats son prisonnier
 
voila notre ami qui nous averti du futur qui va nous toucher
tout ou tard ces banques vont toutes nous ruiner et se trouver excusez moi du
terme en calecon
 
Les réactions de paniques aggravent la situation, c’est pour limiter les dégâts. C’est comme les mouvement de foule où presque tout le monde piétine tout le monde. Ce n’est pas en laissant les gens se laisser à leurs réactions de panique qu’on résous la situation, ça se saurait.

Ce n’est pas l’argent qu’il faut stocker en cas de crise, parce qu’il ne vaut potentiellement plus rien, il faut plutôt s’assurer de disposer du nécessaire en choses concrètes, pas en argent.
exact
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
(...)
Selon l’équipe de State Street, la solidité de la croissance et la faiblesse de l’inflation favorisent les actifs risqués. La croissance mondiale accélère, au plus haut depuis 2014 et aucun grand pays ne tire les autres vers le bas.

L’inflation reste faible mais la plupart des banques centrales ont commencé à réduire leur création monétaire. Le mouvement de renchérissement du crédit est toutefois très progressif, en raison du stock de la dette qui freine les décisions.

Attention au risque géopolitique

Les experts de State Street pensent qu’il ne faut pas sous-estimer les risques géopolitiques, mais ils privilégient les actions dans leur allocation d’actifs, au détriment des obligations.

L’Europe est légèrement «sur-pondérée», en attendant les publications du premier trimestre 2018.
La société de gestion est davantage exposée sur les actions asiatiques (avec une préférence pour le Japon et la Chine) et les actions américaines (en privilégiant les cycliques et la croissance des bénéfices).

L’établissement est en revanche très prudent sur les emprunts d’État et a réduit la voilure sur la dette à haut rendement. Il privilégie la partie longue de la courbe des taux, la partie courte étant soumise à de plus fortes tensions

http://www.lerevenu.com/bourse/coulisses/les-experts-de-state-street-nont-dyeux-que-pour-les-actions

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Assurance vie en euros : l'ACPR renouvelle son message de prudence

La période de taux bas, voire de taux négatifs, pèse sur l’activité des assureurs vie.

Quelques semaines avant l'annonce des rendements des fonds en euros, l'Autorité de contrôle prudentielle et de résolution (ACPR) renouvelle son message de prudence.

Un mouton à cinq pattes. Tel est le qualificatif qui convient à merveille au fonds en euros d’un contrat d’assurance vie.

Ses caractéristiques sont hors normes : il permet de bénéficier d'une sur rémunération par rapport au niveau actuel des marchés de taux (moins de 0,7% à 10 ans pour l'OAT de la France) tout en profitant à ce jour d’une garantie en capital, d’une excellente liquidité et d’un effet cliquet pour sécuriser annuellement les intérêts qu’il génère.

Malheureusement, les avantages comparatifs du fonds en euros sont aujourd’hui menacés. L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), l’organe de supervision des banques et des assurances vient, par la voix de son vice président Bernard Delas, d'alerter à nouveau les compagnies d’assurance vie sur la nécessité d'une modération dans la revalorisation des fonds en euros.


Cela fait plusieurs années maintenant que ce message est envoyé aux acteurs de l'assurance vie afin de «mieux préparer l’avenir» et de faire ainsi face à la faiblesse actuelle des taux d’intérêt.
Les assureurs incités à faire plus de réserves

Dit autrement, il préconise aux assureurs de constituer davantage de réserves de rendement, la fameuse provision pour participation aux bénéfices (PPB).

Pour rappel les assureurs peuvent alimenter une réserve, la PPB, qui doit être utilisée dans les huit ans.
Très souple d’utilisation, la PPB illustre la capacité de la compagnie d’assurance à lisser dans le temps le rendement de des fonds en euros de ses contrats.

Actuellement elle représenterait en moyenne, selon différents experts, l’équivalent de 3 à 3,5 points de rendement.

suite sur
http://www.lerevenu.com/placements/...uros-lacpr-renouvelle-son-message-de-prudence

mam
 
Assurance vie en euros : l'ACPR renouvelle son message de prudence

La période de taux bas, voire de taux négatifs, pèse sur l’activité des assureurs vie.

Quelques semaines avant l'annonce des rendements des fonds en euros, l'Autorité de contrôle prudentielle et de résolution (ACPR) renouvelle son message de prudence.

Un mouton à cinq pattes. Tel est le qualificatif qui convient à merveille au fonds en euros d’un contrat d’assurance vie.

Ses caractéristiques sont hors normes : il permet de bénéficier d'une sur rémunération par rapport au niveau actuel des marchés de taux (moins de 0,7% à 10 ans pour l'OAT de la France) tout en profitant à ce jour d’une garantie en capital, d’une excellente liquidité et d’un effet cliquet pour sécuriser annuellement les intérêts qu’il génère.

Malheureusement, les avantages comparatifs du fonds en euros sont aujourd’hui menacés. L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), l’organe de supervision des banques et des assurances vient, par la voix de son vice président Bernard Delas, d'alerter à nouveau les compagnies d’assurance vie sur la nécessité d'une modération dans la revalorisation des fonds en euros.


Cela fait plusieurs années maintenant que ce message est envoyé aux acteurs de l'assurance vie afin de «mieux préparer l’avenir» et de faire ainsi face à la faiblesse actuelle des taux d’intérêt.
Les assureurs incités à faire plus de réserves

Dit autrement, il préconise aux assureurs de constituer davantage de réserves de rendement, la fameuse provision pour participation aux bénéfices (PPB).

Pour rappel les assureurs peuvent alimenter une réserve, la PPB, qui doit être utilisée dans les huit ans.
Très souple d’utilisation, la PPB illustre la capacité de la compagnie d’assurance à lisser dans le temps le rendement de des fonds en euros de ses contrats.

Actuellement elle représenterait en moyenne, selon différents experts, l’équivalent de 3 à 3,5 points de rendement.

suite sur
http://www.lerevenu.com/placements/...uros-lacpr-renouvelle-son-message-de-prudence

mam
les banques ne se sont jamais remit de 2008 et qui dit banque dit assurance
les taux negatifs dans toute l europe en sont la preuve, ces taux negatifs
bouffent le capital des gens
 

LIDEALISTE

Free Kabylie
Bladinaute averti
C'est une très belle erreur de la part de l'oligarchie européenne en effet elle sous estime et méprise la population, avant de vouloir saigner le peuple à blanc elle doit prendre en compte l'histoire de la révolution française (s'ils n'ont pas de pain, qu'ils mangent de la brioche) ben là ça sera (s'ils n'ont pas l'euro, qu'ils prennent le francs)
En gros ça sera l’éclatement de l’Europe dès l'application de cette loi.
 
C'est une très belle erreur de la part de l'oligarchie européenne en effet elle sous estime et méprise la population, avant de vouloir saigner le peuple à blanc elle doit prendre en compte l'histoire de la révolution française (s'ils n'ont pas de pain, qu'ils mangent de la brioche) ben là ça sera (s'ils n'ont pas l'euro, qu'ils prennent le francs)
En gros ça sera l’éclatement de l’Europe dès l'application de cette loi.
l erreure qu on fait tous c est que l europe n a jamais ete creer pour durer
c est simplement une transition vers le nouvelle ordre mondiale c est
pour ca qu ils fait rentrer n importe quoi comme pays,
pour ce qui est de la revolution francaise franchement pour ce
que ca a donner par la suite un semblant de liberter,
 
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