L’université de New York refuse de diplômer cet élève après son discours viral sur Gaza

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C'est la secte crapuleuse qui est derrière et ça date pas d'aujourd'hui . aipac etc ...une minorité qui veut imposer sa loi à tout le pays
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INTERNATIONAL - « Le génocide en cours est soutenu politiquement et militairement par les États-Unis, et financé par nos impôts », explique Logan Rozos devant une salle pleine à craquer, le regard déterminé. Ce mercredi 14 mai, cet étudiant de l’université de New York (NYU) a profité du discours qu’il devait donner lors de sa remise de diplômes pour parler de Gaza - une décision qui va lui coûter cher.

Comme l’explique AP News, l’étudiant en arts libéraux a été choisi par ses camarades pour prendre la parole lors de la cérémonie. Une fois monté sur scène, Logan Rozos a annoncé que ses « engagements moraux et politiques » le poussaient à parler au public « des atrocités qui se déroulent actuellement en Palestine ». Depuis le 2 mars, Isra ël impose un blocus humanitaire aux habitants de la bande de Gaza, blocus qualifié d’« outil d’extermination » par l’ONG Human Rights Watch.



Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo ci-dessus, sa courte prise de parole a été interrompue à plusieurs reprises par un tonnerre d’applaudissements, et est rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux. Postée à plusieurs reprises sur X, elle a été visionnée plus de 4 millions de fois. Dans les commentaires, de nombreux internautes l’ont félicité, saluant son courage et sa compassion.

Du côté de NYU, le retour du bâton ne s’est pas fait attendre. Dans un communiqué, le porte-parole de l’université a affirmé que l’étudiant avait « menti sur le discours qu’il allait prononcer » en exprimant « son point de vue politique personnel et unilatéral ». En conséquence, « l’école lui refuse son diplôme pendant que nous poursuivons des actions disciplinaires ».

« Moi-même et beaucoup de mes collègues sommes consternés face à cette décision de nier à cet étudiant son diplôme », a dénoncé Andrew Ross, professeur d’analyse socioculturelle à NYU auprès d’AP News. « Ils sont en train de se plier en quatre pour réprimer un discours qui est contraire aux positions de l’administration actuelle à Washington ».

Le HuffPost :
 
Ils n'ont pas créé les universités ni les facs ni les lycées mais l'aipac avec leurs collabos puants(es) lâches veulent imposer leur loi
contre la liberté d'expression . L'argent public ne leur appartient pas non plus .


L'université de Columbia aux Etats-Unis.
L'université de Columbia aux Etats-Unis. - J. Lamparski/Sipa USA/SIPA

20 Minutes avec AFP

Publié le 02/08/2025 à 16h39 • Mis à jour le 02/08/2025 à 16h39


Un accord financier entre l’université new-yorkaise Columbia et le gouvernement américain vient de mettre fin à des mois de conflit, mais des experts dénoncent un « précédent dévastateur » dans l’offensive inédite menée par l’administration de Donald Trump contre l’enseignement supérieur aux Etats-Unis.

« Ce qui s’est passé à Columbia s’inscrit dans une attaque autoritaire plus large contre la société civile », fustige David Pozen, professeur de droit au sein de cette grande université située dans le nord de Manhattan, dénonçant les mêmes pressions contre la presse ou les avocats.

« Un précédent dévastateur »​

Columbia a annoncé fin juillet un règlement à hauteur de 221 millions de dollars « pour mettre fin aux enquêtes menées » par l’administration Trump en guerre contre de nombreux campus, accusés d’antisémitisme pour avoir toléré en 2024 des manifestations pro-palestiniennes contre la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza.

Depuis son retour au pouvoir le 20 janvier, le président américain, allié indéfectible d’Isr aël, ne cesse d’accentuer les pressions sur les universités en gelant, dans le cas de Columbia, des centaines de millions de dollars de subventions versées par l’Etat fédéral pour la recherche.

Mais nombre d’experts, à l’instar du président de l’organisation American Council on Education, Ted Mitchell, dénoncent l’accord financier que Columbia a dû sceller avec le gouvernement conservateur américain.

« Extorsion » déguisée​

David Pozen estime aussi que ce dernier « a été bâti dès le début de manière illégale et contraignante » et s’apparente à de « l’extorsion » déguisée « sous forme juridique ».

Columbia, mais aussi Harvard, la plus ancienne des universités américaines de la prestigieuse Ivy League dans l’agglomération de Boston, ont toujours nié avoir fermé les yeux sur toute forme d’antisémitisme et assuré avoir pris des mesures pour que leurs étudiants et membres du personnel juifs se sentent protégés.enseignement•Selon plusieurs experts américains, le président des Etats-Unis a lancé une attaque autoritaire sur le monde universitaire
L'université de Columbia aux Etats-Unis. - J. Lamparski/Sipa USA/SIP
 
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