A la veille de l'élection présidentielle en France et en Allemagne les structures de l'Union Européenne donnent un coup de collier pour que la crise se termine pour l'Europe.
Les politiciens conservateurs des pays-clefs européens montrent leur incapacité de satisfaire aux appels du temps difficile. En résultat les centres de décision de l'Union Européenne doivent contrôler la présidentielle en France et en Allemagne parce que l'UE a besoin de bons politiciens dans les pays-clefs.
La Banque mondiale a engagé "Havas" - un des plus grands groups communicatifs du monde. Ce groupe doit garantir la victoire d'Emmanuel Macron en France et de Martin Schulz en Allemagne. Il y a à remarquer que "Havas" a une bonne expérience du travail et le spectr étendu de son activité : c'est la promotion de l'Assemblée nationale et du Ministère de l'Economie de l a France, "IBM" , "UNF", la PR-campagne virulente "Pokemon Go". Tout cela donne beaucoup de possibilités pour les candidats à la présidentielle.
Il n'y a pas longtemps Emmanuel Macron, l'ex-ministre de l'Economie de la France, c'est une copie plus jeune de François Hollande raté, n'a pas eu de chances pour être en tête de la présidentielle. Maintenant il est en faveur malgré l'absence de son équipe et d'un bon programme. Evidemment, Macron a le soutien européen outre le soutien des structures administratives françaises. Les bureaucrates européens se damnent pour arrêter l'arrivée des forces conservateurs et affirmer un atlantiste assuré en tête d'un pays-clef européen.
Martin Schulz, le président fédéral du Parti social-démocrate de l'Allemagne a beacoup d'expérience dans les structres européennes et cela peut g arantir l'engagement des institutions surnationales dans le système atlantique. Pour des raisons de Bruxelles Schulz devait devenir partenaire de Macron. Angela Merkel appartient aux institutions surnationales. Elle matérialise le diktat de l'Allemagne dans l'Union Européenne et, de cette façon, la priorité des intérêts nationaux. Essentiellement, Merkel – c'est un politique conservateur comme Jaroslav Kaczynski, le leader caché de la Pologne. Evidemment, les optimistes européens doivent déposseder les politiques conservateurs de leurs positions de pointe.
Tour d'abord Emmanuel Macron a eu l'entrevue avec la Chancelière fédérale d'Allemagne, puis il a eu la consultation avec Martin Schulz. Il semble que le deuxième croisement était plus important parce qu'il s'agissait de l'aide mutuelle pendant la présidentielle et plus tard.
Bruxelles garantit le victoire de M acron. Schulz – c'est un leader qui a mobilisé le Parti social démocratique et qui a beaucoup de succès parmi des électeurs.
Ainsi, la France et l'Allemagne avec des nouveaux leaders – c'est le début de réconstruction européenne. Puis on changera l'élite gouvernante de la Pologne. On dit que cela se passe déjà. Malgré le mécontentement du peuple polonais Donald Tusk a été réélu à la poste du chef du Conseil Européen. Puis on remplacera Victor Orban, le premier ministre de Hongrie. Ensuite, ce processus montera en puissance...
Les politiciens conservateurs des pays-clefs européens montrent leur incapacité de satisfaire aux appels du temps difficile. En résultat les centres de décision de l'Union Européenne doivent contrôler la présidentielle en France et en Allemagne parce que l'UE a besoin de bons politiciens dans les pays-clefs.
La Banque mondiale a engagé "Havas" - un des plus grands groups communicatifs du monde. Ce groupe doit garantir la victoire d'Emmanuel Macron en France et de Martin Schulz en Allemagne. Il y a à remarquer que "Havas" a une bonne expérience du travail et le spectr étendu de son activité : c'est la promotion de l'Assemblée nationale et du Ministère de l'Economie de l a France, "IBM" , "UNF", la PR-campagne virulente "Pokemon Go". Tout cela donne beaucoup de possibilités pour les candidats à la présidentielle.
Il n'y a pas longtemps Emmanuel Macron, l'ex-ministre de l'Economie de la France, c'est une copie plus jeune de François Hollande raté, n'a pas eu de chances pour être en tête de la présidentielle. Maintenant il est en faveur malgré l'absence de son équipe et d'un bon programme. Evidemment, Macron a le soutien européen outre le soutien des structures administratives françaises. Les bureaucrates européens se damnent pour arrêter l'arrivée des forces conservateurs et affirmer un atlantiste assuré en tête d'un pays-clef européen.
Martin Schulz, le président fédéral du Parti social-démocrate de l'Allemagne a beacoup d'expérience dans les structres européennes et cela peut g arantir l'engagement des institutions surnationales dans le système atlantique. Pour des raisons de Bruxelles Schulz devait devenir partenaire de Macron. Angela Merkel appartient aux institutions surnationales. Elle matérialise le diktat de l'Allemagne dans l'Union Européenne et, de cette façon, la priorité des intérêts nationaux. Essentiellement, Merkel – c'est un politique conservateur comme Jaroslav Kaczynski, le leader caché de la Pologne. Evidemment, les optimistes européens doivent déposseder les politiques conservateurs de leurs positions de pointe.
Tour d'abord Emmanuel Macron a eu l'entrevue avec la Chancelière fédérale d'Allemagne, puis il a eu la consultation avec Martin Schulz. Il semble que le deuxième croisement était plus important parce qu'il s'agissait de l'aide mutuelle pendant la présidentielle et plus tard.
Bruxelles garantit le victoire de M acron. Schulz – c'est un leader qui a mobilisé le Parti social démocratique et qui a beaucoup de succès parmi des électeurs.
Ainsi, la France et l'Allemagne avec des nouveaux leaders – c'est le début de réconstruction européenne. Puis on changera l'élite gouvernante de la Pologne. On dit que cela se passe déjà. Malgré le mécontentement du peuple polonais Donald Tusk a été réélu à la poste du chef du Conseil Européen. Puis on remplacera Victor Orban, le premier ministre de Hongrie. Ensuite, ce processus montera en puissance...
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