On construit 3 grands barrages et plusieurs dizaines de structures collinaires par an. D'ici 2030, il est prévu de construire 50 nouveaux barrages. La capacité de stockage actuelle est de 17 milliards de m3.
La sécurisation des ressources en eau reste une priorité pour le Maroc. Preuve en est que depuis quelques années, de plus en plus de barrages sont construits un peu partout dans le pays. Aujourdhui, quatorze grands et moyens ouvrages sont en chantier dans différentes régions. Le plus gros, MDez, dans la province de Sefrou, devrait coûter 850 MDH pour une capacité de retenue prévue de 700 millions de m3, soit le huitième du pays, en taille.
La stratégie nationale de leau retient une moyenne de trois grands barrages et 50 petits ouvrages par an. A titre dillustration, le budget alloué à la seule construction est passé de 500 à 600 MDH par an en 2003/ 2004 à 2, 2 milliards de DH pour lannée 2012, à moins que le gouvernement actuel ne revoit ces crédits à la baisse. A lheure actuelle, le Maroc dispose de 130 barrages dune capacité allant de un à quelques millions de m3 ou, pour cinq dentre eux, dépassant le milliard de m3 de retenue potentielle comme Idriss 1er ou Bine El Ouidane, par exemple. Mais assurément les plus importants sont Al Wahda dans la province de Sidi Kacem (3,8 milliards de m3) et Al Massira dans celle de Settat (2,7 milliards de m3). Au total, la capacité de mobilisation en eau (en clair la capacité de stockage) du Maroc est de plus de 17 milliards de m3 alors quelle ne dépassait pas 2 milliards, il y a un peu plus de quatre décennies. Mais ce qui retient lattention aussi est quen 1971 le pays ne comptait guère plus de 18 grands ouvrages dart et seulement 11 en 1955. De gros efforts et des investissements colossaux ont donc été entrepris pour aboutir à la situation actuelle. Comme lexplique Abdelkader Benomar, directeur de la planification et des études au ministère de lénergie, des mines, de leau et de lenvironnement : «La construction dun barrage ne commence nullement au premier coup de pioche car les seules études peuvent durer une dizaine dannées, surtout aujourdhui où les sites naturels sont de plus en plus rares, vu quon en a exploité la plus grande majorité».
http://www.lavieeco.com/news/econom...14-autres-en-cours-de-construction-21256.html
La sécurisation des ressources en eau reste une priorité pour le Maroc. Preuve en est que depuis quelques années, de plus en plus de barrages sont construits un peu partout dans le pays. Aujourdhui, quatorze grands et moyens ouvrages sont en chantier dans différentes régions. Le plus gros, MDez, dans la province de Sefrou, devrait coûter 850 MDH pour une capacité de retenue prévue de 700 millions de m3, soit le huitième du pays, en taille.
La stratégie nationale de leau retient une moyenne de trois grands barrages et 50 petits ouvrages par an. A titre dillustration, le budget alloué à la seule construction est passé de 500 à 600 MDH par an en 2003/ 2004 à 2, 2 milliards de DH pour lannée 2012, à moins que le gouvernement actuel ne revoit ces crédits à la baisse. A lheure actuelle, le Maroc dispose de 130 barrages dune capacité allant de un à quelques millions de m3 ou, pour cinq dentre eux, dépassant le milliard de m3 de retenue potentielle comme Idriss 1er ou Bine El Ouidane, par exemple. Mais assurément les plus importants sont Al Wahda dans la province de Sidi Kacem (3,8 milliards de m3) et Al Massira dans celle de Settat (2,7 milliards de m3). Au total, la capacité de mobilisation en eau (en clair la capacité de stockage) du Maroc est de plus de 17 milliards de m3 alors quelle ne dépassait pas 2 milliards, il y a un peu plus de quatre décennies. Mais ce qui retient lattention aussi est quen 1971 le pays ne comptait guère plus de 18 grands ouvrages dart et seulement 11 en 1955. De gros efforts et des investissements colossaux ont donc été entrepris pour aboutir à la situation actuelle. Comme lexplique Abdelkader Benomar, directeur de la planification et des études au ministère de lénergie, des mines, de leau et de lenvironnement : «La construction dun barrage ne commence nullement au premier coup de pioche car les seules études peuvent durer une dizaine dannées, surtout aujourdhui où les sites naturels sont de plus en plus rares, vu quon en a exploité la plus grande majorité».
http://www.lavieeco.com/news/econom...14-autres-en-cours-de-construction-21256.html