Les « femmes-mulets », désormais délestées de leurs fardeaux, se tournent les pouces, en attendant de trouver une autre alternative à leur situation sociale précaire, impactée par la fermeture du poste-frontière dédié aux porteurs entre le Maroc et l'enclave de Sebta.
Quatre mois après la fermeture de ce poste-frontière, ces « femmes-mulets » se retrouvent subitement au chômage. Fatima, porteuse depuis plus d'une trentaine d'années, estime que, ce faisant, le gouvernement veut les réduire à la mendicité. (...)
- Société / Sebta, Chômage, Emploi, Contrebande, Fnideq
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