Maroc:les femmes et l'héritage en islam

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Au Maroc, une certaine élite friquée, laïciste et sionisée essaie, de temps en temps, de déstabiliser le pays en introduisant des thèmes polémiques susceptibles de diviser la population.

C’est ainsi que cette élite, soumise aux riches et puissants lobbies, essaie de corrompre la société marocaine en exploitant des thèmes laïcistes qui n’ont rien à voir avec la culture arabo-musulmane de la population.
Et un des chevaux de bataille de cette élite corrompue et soumise aux réformistes de l’islam, c’est la modification des règles d’héritage qui ont été clairement définies dans le Saint Coran.
Pourtant, l’aveuglement de cette élite l’empêche de voir qu’en essayant de modifier les règles d’héritage, elle conteste purement et simplement des règles coraniques et de ce fait, elle conteste les lois d’Allah.
Que Dieu nous en préserve!

Les règles d’héritage selon le coran


Les règles d’héritage sont décrites dans le verset 12 de la sourate 4, « les femmes », avec un maximum de détails:


« Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles; s’il n’y a que des filles, et qu’elles soient plus que deux, elles auront les deux tiers de la succession; s’il n’y a qu’une fille, elle recevra la moitié. Les père et mère du défunt auront chacun le sixième de la succession, s’il a laissé un enfant; s’il n’en laisse aucun et que ses ascendants lui succèdent, la mère aura le tiers; s’il laisse des frères, la mère aura un sixième, après que les legs et les dettes du testeur auront été acquittés. Vous ne savez pas qui de vos parents ou de vos enfants vous sont plus utiles. Telle est la loi de Dieu. Il est savant et sage. »

Comme on peut le constater à la lecture de ce verset, le coran fait effectivement une différence entre l’homme et la femme concernant l’héritage.
Mais pour atténuer l’importance des différences entre la femme et l’homme concernant l’héritage, il faut préciser le contexte de l’époque de la révélation.
En effet, dans l’Arabie du VIIème siècle, l’homme devait travailler pour
Faire vivre la famille tandis que la femme restait au foyer.

« Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l’inobéissance; vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »
(Sourate « les femmes », verset 38).
 
Plus généralement, le Coran a apporté de grandes innovations au statut de la femme comme le rappelle Abderrahim Lamchichi, dans l’ouvrage « Les femmes et l’islam, entre modernité et intégrisme », éditions L’Harmattan,2004

« Au regard des mœurs et de la condition féminine d’avant la prédication, il n’est pas exagéré d’affirmer que le message coranique et l’éthique prophétique ont incontestablement représenté un formidable élan de libération. Ne perdons pas de vue le contexte d’un tel bouleversement : avant l’islam, les femmes étaient considérées comme un bien tribal et familial; elles avaient pour principale fonction d’élever les enfants, ferment de la famille patriarcale où seule la filiation agnatique était reconnue; il n’était pas rare de tuer les filles à la naissance et même de les enterrer vivantes.

En Arabie, comme dans la plupart des autres sociétés patriarcales du pourtour méditerranéen, qui marqueront profondément les trois monothéismes, le contrôle de la sexualité des femmes s’inscrivait dans des stratégies tribales de domination; la primauté des garçons sur les filles ou le mariage précoce des fillettes étaient des pratiques courantes dans des sociétés « holistiques », inégalitaires et fortement hiérarchisées; le code de l’honneur du clan en vigueur encore aujourd’hui exigeait la virginité des filles et la chasteté des épouses; les unions étaient d’ailleurs souvent arrangées pour sceller les alliances tribales … à l’encontre de ces pratiques, globalement, l’éthique islamique a donc tenté de diffuser une conception novatrice, à beaucoup d’égards porteuse d’émancipation. La femme y apparait comme une personne douée de raison, nantie de droits, qui, non seulement doit être respectée, mais dont le point de vue doit absolument être pris en compte.

Les innovations du Coran dans ce domaine n’étaient pas négligeables : obligation pour le mari de subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants, parfois autonomie financière de l’épouse, droits d divorce, droit à l’héritage ou au douaire, libre disposition et gestion de ses biens dans certains cas, etc. En outre, certains théologiens musulmans n’avaient guère hésité à interpréter les limitations et la règlementation extrêmement sévère de la polygamie – pratique largement répandue depuis la nuit des temps – par le coran comme une prescription de la monogamie … Enfin, les conditions draconiennes mises à la répudiation étaient de nature à dissuader le mari de recourir à cette pratique exécrable. »

http://maroc-quebec.com/content/marocles-femmes-et-lhéritage-en-islam#sthash.965MOfS8.dpuf
 
Quand l'homme hérite plus que la femme, c'est uniquement dans UN cas (entre un frère et une soeur héritant des parents).
Dans tous les autres cas, la femme hérite plus ou autant que l'homme.
Surtout que même dans le seul cas où elle hérite moins, c'est elle qui est gagnante puisque c'est l'homme qui est obligé de lui payer ce dont elle a besoin. L'argent de la femme lui appartient alors que l'argent de l'homme ne lui appartient : il peut être obligé de le dépenser pour sa femme, mais aussi le cas échéant pour sa mère, sa soeur, voire même sa nièce.
 
Au Maroc, une certaine élite friquée, laïciste et sionisée essaie, de temps en temps, de déstabiliser le pays en introduisant des thèmes polémiques susceptibles de diviser la population.

C’est ainsi que cette élite, soumise aux riches et puissants lobbies, essaie de corrompre la société marocaine en exploitant des thèmes laïcistes qui n’ont rien à voir avec la culture arabo-musulmane de la population.
Et un des chevaux de bataille de cette élite corrompue et soumise aux réformistes de l’islam, c’est la modification des règles d’héritage qui ont été clairement définies dans le Saint Coran.
Pourtant, l’aveuglement de cette élite l’empêche de voir qu’en essayant de modifier les règles d’héritage, elle conteste purement et simplement des règles coraniques et de ce fait, elle conteste les lois d’Allah.
Que Dieu nous en préserve!


« Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l’inobéissance; vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »
(Sourate « les femmes », verset 38).

Attention la traduction est très mauvaise, ce n'est pas "supérieur" mais " "assumateurs" de leurs dépenses", ce qui explique d'ailleurs le morceau après : "et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes", ce n'est pas non plus "a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci", mais un truc qui explique qu'ils ont chacun leurs caractéristiques. C'est traduit ainsi (comme je l'ai mis) dans plusieurs traductions du Coran, mais souvent sur Internet ils reprennent les plus mauvaises traductions.
 
Quand l'homme hérite plus que la femme, c'est uniquement dans UN cas (entre un frère et une soeur héritant des parents).
Dans tous les autres cas, la femme hérite plus ou autant que l'homme.
Surtout que même dans le seul cas où elle hérite moins, c'est elle qui est gagnante puisque c'est l'homme qui est obligé de lui payer ce dont elle a besoin. L'argent de la femme lui appartient alors que l'argent de l'homme ne lui appartient : il peut être obligé de le dépenser pour sa femme, mais aussi le cas échéant pour sa mère, sa soeur, voire même sa nièce.


On vie plus au moyens age la situation réelle et totalement différente .....certains femmes se trouvent dans une précarité absolut attendre que le mari paye ces caprices nous somme esclave de la consommation les femmes ne peuvent plus se permettent se délire
 
« Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles; s’il n’y a que des filles, et qu’elles soient plus que deux, elles auront les deux tiers de la succession; s’il n’y a qu’une fille, elle recevra la moitié. Les père et mère du défunt auront chacun le sixième de la succession, s’il a laissé un enfant; s’il n’en laisse aucun et que ses ascendants lui succèdent, la mère aura le tiers; s’il laisse des frères, la mère aura un sixième, après que les legs et les dettes du testeur auront été acquittés. Vous ne savez pas qui de vos parents ou de vos enfants vous sont plus utiles. Telle est la loi de Dieu. Il est savant et sage. »


« Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l’inobéissance; vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. »
(Sourate « les femmes », verset 38).[/QUOTE]


l'héritage est une injustice donner deux part au garçon et délaisser les filles pour des excuses abracadabrant franchement autant ne rien donner c'est comme si on demander au parent de choisir son préféré en plus elle met le garçon dans une situations désastreuse il devrait prendre non seulement ces responsabilités envers sa famille mais celle des ces sœurs on voit bien que se verset n'est pas claire ou alors détourné

alors le verset 38 sans commentaire une vrai injustice dieu à doter au hommes et les femmes elles sont doté de quoi? sans oublier le droit de frapper quand l’épouse n'obéir pas et bien-sur se sont des femmes qui défend cette ignominie :claque:
 
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