Maroc : un projet d'envergure pour révolutionner l'industrie navale

Après s'être imposé dans l'automobile et l'aéronautique, le Maroc veut révolutionner l'industrie navale, civile et militaire. Dans ce sens, il met en œuvre un projet d'envergure.
D'un coût global d'environ 4,5 milliards de dirhams, ce programme vise à doter le Maroc d'une industrie navale de pointe à l'horizon 2030, à maintenir la flotte nationale civile et militaire, ainsi qu'à développer l'activité de démantèlement des navires et à en faire une source importante d'approvisionnement de l'industrie (...)

- Economie / Industrie, Aéronautique, Automobile

Maroc : un projet d'envergure pour révolutionner l'industrie navale
 
Après s'être imposé dans l'automobile et l'aéronautique, le Maroc veut révolutionner l'industrie navale, civile et militaire. Dans ce sens, il met en œuvre un projet
S'imposer dans l'aéronautique !
Boeing ou Airbus, je ne me souviens plus lequel est marocain.

Révolutionner l'industrie navale!
Bientôt des cargos en boîte de sardines ?
 
S'imposer dans l'aéronautique !
Boeing ou Airbus, je ne me souviens plus lequel est marocain.

Révolutionner l'industrie navale!
Bientôt des cargos en boîte de sardines ?
le maroc a surtout besoin des réformes en profondeur des services administratives et judiciaires et former les personnels et les citoyens à connaître les droits et devoirs.il faut avec la politique spectacle et de ces sois disant projets
 

funambule1

Sur la corde vitale
Avec une façade méditerranéenne et atlantique s'étendant sur plusieurs km et les besoins marocains et africains, ce projet répond aux objectifs de développement et est réalisable à court terme. Les compétences existent, localement et expatriées, par exemple en France, le master infrastructures portuaires (post ingénierie génie civil) est replet de marocains, une libanaise et trois ou quatre français.
Les ingénieurs s'expatrient à las Palmas, à Lisbonne et prennent même pour certains la nationalité espagnole faute d'emplois suffisants.
Les navires hauturiers relâchent à l'étranger pour la maintenance.
Le secteur de la pêche et de la marine marchande est potentiellement créateur d'emploi, compte tenu de ses besoins et de la diversité des équipements embarqués (électronique : radars, balises, sonars, radio, mécanique, électromécanique, frigorifique et congélation, armement etc)
 
Dernière édition:
Avec une façade méditerranéenne et atlantique s'étendant sur plusieurs km et les besoins marocains et africains, ce projet répond aux objectifs de développement et est réalisable à court terme. Les compétences existent, localement et expatriées, par exemple en France, le master infrastructures portuaires (post ingénierie génie civil) est replet de marocains, une libanaise et trois ou quatre français.
Les ingénieurs s'expatrient à las Palmas, à Lisbonne et prennent même pour certains la nationalité espagnole faute d'emplois suffisants.
Les navires hauturiers relâchent à l'étranger pour la maintenance.
Le secteur de la pêche et de la marine marchande est potentiellement créateur d'emploi, compte tenu de ses besoins et de la diversité des équipements embarqués (électronique : radars, balises, sonars, radio, mécanique, électromécanique, frigorifique et congélation, armement etc)
En soi c'est beau projet... ce que je critque ce sont les "mots" de la presse " revolution navale" comme dans "l'automobile" ou l"aeronautque"....
Le Maroc est juste un "monteur".....pas un revoltionnaire, même pas un créateur
 
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