Difkoum
Anti sioniste et khawa khawa.
Bientôt la Charia à Marrakech? Et pour cause, deux jeunes hommes qui se baladaient en short et chemise courte, dimanche après-midi dans un quartier populaire de la cité ocre, se sont retrouvés face à une foule en colère qui a commencé à les insulter avant de les attaquer avec « des jets de pierres ».
Le journal Assabah dans son édition de mardi, signale que l’une des victimes a été sérieusement blessée lors de cette agression collective en plein Ramadan. Les confondant avec des « homosexuels », la foule a même « menacé les deux jeunes de les attaquer avec l’eau forte (acide nitrique) » s’ils ne quittaient pas les lieux dans les plus brefs délais.
Pour échapper à une lapidation certaine, les deux pauvres jeunes ont pris leurs jambes à leur cou et ils ont quitté le secteur pour des horizons plus cléments, ajoute le journal.
L’incident s’est produit quelques temps avant la rupture du jeûne, rappelle la même source, en soulignant que « les agresseurs » auraient considéré l’aspect vestimentaire des deux jeunes en plein mois sacré de Ramadan comme étant une provocation et «une atteinte » aux valeurs morales et religieuses de la société musulmane.
En d’autres termes, cela rappelle « les gardiens du temple de la Charia (loi islamique) chez les Wahabites et les Talibans, s’indignent un activiste des droits humains à Rabat.
Article19.ma
Le journal Assabah dans son édition de mardi, signale que l’une des victimes a été sérieusement blessée lors de cette agression collective en plein Ramadan. Les confondant avec des « homosexuels », la foule a même « menacé les deux jeunes de les attaquer avec l’eau forte (acide nitrique) » s’ils ne quittaient pas les lieux dans les plus brefs délais.
Pour échapper à une lapidation certaine, les deux pauvres jeunes ont pris leurs jambes à leur cou et ils ont quitté le secteur pour des horizons plus cléments, ajoute le journal.
L’incident s’est produit quelques temps avant la rupture du jeûne, rappelle la même source, en soulignant que « les agresseurs » auraient considéré l’aspect vestimentaire des deux jeunes en plein mois sacré de Ramadan comme étant une provocation et «une atteinte » aux valeurs morales et religieuses de la société musulmane.
En d’autres termes, cela rappelle « les gardiens du temple de la Charia (loi islamique) chez les Wahabites et les Talibans, s’indignent un activiste des droits humains à Rabat.
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