Encore une bavure policère par des policiers lâches . Si la justice ne fait pas son travail cela se fera d'une autre façon .
Il ,ne faut pas soutenir des assassins ou des crapules lâches qui font des abus de pouvoir .
Ces soi disant policiers doivent aller en prison et être radiés . Ils sont payés avec l'argent des impôts pour faire un travail
convenable et non pas faire des abus de pouvoir . L'igpn doit dispâraître pour une organisme indépendant .
Tout comme la CJR ( cour justice repub... ) aussi . Il ne doit pas y avoir des différences de traitement . En Eutope
c'est pas comme ça. Angleterre Suède etc ..
Si il mentait alors pourquoi il est à l'hôpital ?
*************
Scène aussi troublante que choquante à Marseille, dans les Bouches-du-Rhône. Ce jeudi 20 juillet au matin, quatre des huit policiers placés en garde à vue mardi 18 juillet ont quitté les locaux de l’IGPN, la police des polices, sous les applaudissements de leurs collègues. Comme le révèle des images de BFM TV, de nombreux membres des forces de l’ordre avaient fait le déplacement pour les encourager et leur apporter leur soutien au son des "On ne vous lâche pas !".
Ces huit policiers ont été placés en garde à vue à la suite de l'ouverture d’une information judiciaire il y a deux semaines pour "violence en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique". Ils sont accusés par Eddy, un jeune homme de 22 ans toujours hospitalisé, de lui avoir tiré une balle de flashball à la tempe. Ils l’auraient ensuite passé à tabac puis l’auraient laissé pour mort dans une rue de la Cité phocéenne.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte bien particulier. En plus de la balle mortelle tirée par un policier dans la poitrine du jeune Nahel le 27 juin 2023, et qui a provoqué de très importantes manifestations dans le pays, un autre homme a été tué dans la nuit du 1er au 2 juillet à Marseille. Âgé de 27 ans, il pourrait être mort des suites d’un tir de flashball. Une fois encore, l’IGPN a été chargée de l’enquête.
Il ,ne faut pas soutenir des assassins ou des crapules lâches qui font des abus de pouvoir .
Ces soi disant policiers doivent aller en prison et être radiés . Ils sont payés avec l'argent des impôts pour faire un travail
convenable et non pas faire des abus de pouvoir . L'igpn doit dispâraître pour une organisme indépendant .
Tout comme la CJR ( cour justice repub... ) aussi . Il ne doit pas y avoir des différences de traitement . En Eutope
c'est pas comme ça. Angleterre Suède etc ..
Si il mentait alors pourquoi il est à l'hôpital ?
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Scène aussi troublante que choquante à Marseille, dans les Bouches-du-Rhône. Ce jeudi 20 juillet au matin, quatre des huit policiers placés en garde à vue mardi 18 juillet ont quitté les locaux de l’IGPN, la police des polices, sous les applaudissements de leurs collègues. Comme le révèle des images de BFM TV, de nombreux membres des forces de l’ordre avaient fait le déplacement pour les encourager et leur apporter leur soutien au son des "On ne vous lâche pas !".
Ces huit policiers ont été placés en garde à vue à la suite de l'ouverture d’une information judiciaire il y a deux semaines pour "violence en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique". Ils sont accusés par Eddy, un jeune homme de 22 ans toujours hospitalisé, de lui avoir tiré une balle de flashball à la tempe. Ils l’auraient ensuite passé à tabac puis l’auraient laissé pour mort dans une rue de la Cité phocéenne.
Les 4 policiers déférés à Marseille pour "violences en réunion" sont sortis de l'IGPN sous les applaudissements de leurs collègues pic.twitter.com/kAcZgcAdM4
— BFMTV (@BFMTV) July 20, 2023
Un mort la même nuit
Après 48 heures d’audition, durant lesquelles les accusés ont pu raconter leur version de cette interaction avec le jeune homme, quatre des policiers ont été déférés pour être présentés à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen. Leur placement en détention provisoire a été requis par le parquet. Au micro de BFM TV, Axel Ronde, le porte-parole du syndicat CFTC police a affirmé qu’il fallait analyser l’entièreté de la "séquence" pour comprendre ce qui était reproché à ses collègues et la façon dont ils ont agi.Cette affaire s’inscrit dans un contexte bien particulier. En plus de la balle mortelle tirée par un policier dans la poitrine du jeune Nahel le 27 juin 2023, et qui a provoqué de très importantes manifestations dans le pays, un autre homme a été tué dans la nuit du 1er au 2 juillet à Marseille. Âgé de 27 ans, il pourrait être mort des suites d’un tir de flashball. Une fois encore, l’IGPN a été chargée de l’enquête.