Marseille : le maire Benoît Payan « menacé de mort pour avoir mangé un couscous »

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Il est dit qu'à Beni Haoua, petit bourg côtier paisible entre Ténès et Cherchell, à quelques 200 km à l’ouest d’Alger, les fantômes ont la peau dure: la vraie-fausse légende de mama binette. Cette nonne échouée sur les »côtes de Barbarie’‘, alors que son bateau cinglait vers les Amériques, hante toujours les campings des vacanciers .

"mama binette ", ou "Ima B’nette" (mère des filles) cette prétendue nonne échouée avec six autres et le reste d’une expédition vers les Amériques.

Aujourd’hui, on lui a construit un mausolée, comme un marabout, sur les hauteurs du village, et que les passagers visitent.

mamabinette


Qu'en est-il exactement:D
Je ne peux pas trop t'éclairer la dessus...c une gouba réservée aux femme parait'il en mal de procreation....avant le jour de la procession etait le vendredi...mais durant les années 90 les vermines en khamis baskets l'avaient interdit le déclarant shirk layadjouz...mais depuis la procession a lieu le mercredi pour les doléances des femmes en mal de procréation..(??)... et le vendredi pour la visite...Cle 2eme plus important mausolée de la region avec celui de Sidi Mamar sur la route de Chlef a Ténès reservé pour les mariages coutumier appelés "Orf Sidi Mamar..
En bas dans la mer l'ancre du bateau est tjrs visible,par beau temps et mer plate on voit la chaine qui lui est attachée..
Et c'est a 140 kms à l'ouest d'Alger..
Voila ..
 
Je crois que le mariage selon la tradition et le rite orfi du saint sidi Maâmar se rarefie avec les jeunes.. .
Au contraire il y a une résurgence du phénomène...en passant devant le jeudi énormément de monde...tu sais quand on passe sur le pont on jette des pieces de monnaie les enfants se précipitent pour les ramasser..certaines personnes lancent des graines (??)
 
Ils peuvent être racistes et avoir leur femme ( tt court ) d'origine étrangère

Egalement...c une constante dans les colonies.

Dominer l'autre par le sexe, le corps.


Pascal Blanchard : « La sexualité aux colonies n'est bridée par aucun tabou »​



HISTOIRE. Spécialiste du « fait colonial », Pascal Blanchard a dirigé et coordonné l'ouvrage collectif « Sexe, race et colonies ».

Le sujet : comment les pays colonisateurs ont (ré)inventé l'« Autre » pour mieux le dominer, posséder son corps et son territoire.

La colonie, territoire de la domination sexuelle​

La sexualité aux colonies n'est bridée par aucun tabou, y compris celui de l'enfance : les images proposées exhibant souvent des jeunes filles non pubères (ainsi, bien que plus rarement, des jeunes garçons) dans des mises en scène fortement sexualisées.

La violence des fantasmes projetés sur les populations colonisées est donc sans limites, puisque le corps de l'« Autre » est lui-même placé en dehors du champ licite des normes, plus proche de l'animal et du monstre que de l'humain, plus en affinité avec la nature qu'avec la culture.

Ceci explique pourquoi le corps de l'« Autre » est pensé simultanément comme symbole d'innocence et de dépravations multiples : un corps qui excite autant qu'il effraie. Dans ce contexte, les femmes « indigènes » sont revêtues d'une innocence sexuelle qui les conduit avec constance au « péché » ou à une « dépravation sexuelle atavique » liée à leur « race », confortant la position conquérante et dominante et du maître et du colonisateur.

L'existence de ces femmes « Autres » toujours vues comme faciles, lascives, lubriques, perverses et donc forcément insatiables permet aussi de construire, en miroir, l'image de l'épouse blanche idéale, pudique et chaste, réduite à une sexualité purement reproductive.



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« Comme il vous plaira. Vierges noires de Djibouti », couverture du magazine Voilà, 16 janvier 1932.© Sexe, race et colonies

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Femmes vendues au poids, couverture du magazine Détective, n° 473, novembre 1937.© Sexe, race et colonies
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Dernière édition:
@shams007 veut parler de la France et non des colonies occupées :D .
A ma connaissance, il n'a pas de juif marié à une palestinienne .
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Je faisais allusion aux nostagiques français des colonies qui ont des femmes de ménage maghrébines. Comme Lepen.

Et Shams qui rajoute qu'ils ont même des épouses maghrébines...sur quoi j'abonde.

Tizniti....tu es distrait. Tu es amoureux ?

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Egalement...c une constante dans les colonies.

Dominer l'autre par le sexe, le corps.


Pascal Blanchard : « La sexualité aux colonies n'est bridée par aucun tabou »​



HISTOIRE. Spécialiste du « fait colonial », Pascal Blanchard a dirigé et coordonné l'ouvrage collectif « Sexe, race et colonies ».

Le sujet : comment les pays colonisateurs ont (ré)inventé l'« Autre » pour mieux le dominer, posséder son corps et son territoire.

La colonie, territoire de la domination sexuelle​

La sexualité aux colonies n'est bridée par aucun tabou, y compris celui de l'enfance : les images proposées exhibant souvent des jeunes filles non pubères (ainsi, bien que plus rarement, des jeunes garçons) dans des mises en scène fortement sexualisées.

La violence des fantasmes projetés sur les populations colonisées est donc sans limites, puisque le corps de l'« Autre » est lui-même placé en dehors du champ licite des normes, plus proche de l'animal et du monstre que de l'humain, plus en affinité avec la nature qu'avec la culture.

Ceci explique pourquoi le corps de l'« Autre » est pensé simultanément comme symbole d'innocence et de dépravations multiples : un corps qui excite autant qu'il effraie. Dans ce contexte, les femmes « indigènes » sont revêtues d'une innocence sexuelle qui les conduit avec constance au « péché » ou à une « dépravation sexuelle atavique » liée à leur « race », confortant la position conquérante et dominante et du maître et du colonisateur.

L'existence de ces femmes « Autres » toujours vues comme faciles, lascives, lubriques, perverses et donc forcément insatiables permet aussi de construire, en miroir, l'image de l'épouse blanche idéale, pudique et chaste, réduite à une sexualité purement reproductive.



Regarde la pièce jointe 417126

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« Comme il vous plaira. Vierges noires de Djibouti », couverture du magazine Voilà, 16 janvier 1932.©
ces femmes sont de Djibouti, les racistes se croient superieurs a elles tout en glorifiant l egypte ancienne mais ils oublient que ces femmes Afars viennent du meme endroit que les egyptiens anciens d apres ces derniers Pount Ta Netjeri le pays du dieu Amon
Elles sont coiffees comme des egyptiens anciens et des Pountites ancetres des egyptiens anciens
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