Marwan Barghouthi va-t-il gouverner la Palestine après Mahmoud Abas ?

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Des échanges de listes et des pressions de Trump, via la Turquie, ravivent l’espoir d’un cessez-le-feu à Gaza, bien que le Hamas exige des garanties. La libération de Marwan Barghouthi et un retrait israélien complet sont des conditions clés, dans un contexte où un échec pourrait relancer les hostilités.

Les pourparlers sur un cessez-le-feu à Gaza, amorcés le 6 octobre en Égypte, dominent l’actualité régionale. Un échange de listes entre le Hamas et Israël, incluant otages et prisonniers, a suscité l’optimisme du mouvement palestinien, qui y voit une avancée vers la libération des 47 otages restants et de prisonniers palestiniens.

Taher el-Nounou, haut responsable du Hamas, a affirmé que les négociateurs palestiniens et israéliens avaient échangé des listes de noms de prisonniers et d’otages qui seraient libérés si un accord était conclu à l’issue des pourparlers de cessez-le-feu en cours en Égypte.

Le négociateur en chef, Khalil al-Hayya, exige des garanties écrites de Donald Trump pour un retrait israélien complet et un désarmement contrôlé, un point clé pour éviter un rejet du plan américain en 20 points, présenté le 29 septembre.

La libération de Barghouthi au cœur des négociations
Parallèlement, un média égyptien révèle que le Hamas insiste sur la libération de Marwan Barghouthi, figure emblématique de l’OLP emprisonnée, comme condition sine qua non, soulignant son rôle potentiel dans la reconstruction de Gaza.

Le mouvement palestinien, malgré son désir de paix, réclame des assurances solides, notamment sur Barghouthi, pour valider un accord susceptible de stabiliser la région ou, en cas d’échec, d’exacerber les tensions avec Israël et ses alliés.

Pressions américaines et crainte d’une occupation prolongée
Trump, pressant pour une résolution, a sollicité l’aide de la Turquie, selon Recep Tayyip Erdogan. Le président turc affirme avoir convaincu le Hamas de négocier, un signe d’espoir après des divisions internes révélées par des responsables anonymes.

Le plan, qui prévoit la libération des otages en 72 heures et un retrait par étapes, divise : le Hamas hésite, craignant une occupation prolongée, tandis que Trump menace de représailles en cas de retard. L’implication de Steve Witkoff et Jared Kushner, dépêchés à Charm el-Cheikh, renforce cette pression, avec des discussions «positives» signalées ce week-end.

Ces développements s’inscrivent dans un contexte tendu : l’Égypte rejette tout rôle politique pour le Hamas à Gaza, et Israël, sous Benjamin Netanyahou, pourrait renforcer la pression sur le Liban après Gaza.
 

Israël affirme que Marwan Barghouti ne sera pas échangé contre des otages​

 
En tout cas , le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a déclaré lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain Donald Trump qu'il « mérite le prix Nobel de la Paix », pour ses efforts menant à la conclusion d'un accord pour un cessez-le-feu à Gaza.

L'orient-Le jour
 
En tout cas , le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a déclaré lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain Donald Trump qu'il « mérite le prix Nobel de la Paix », pour ses efforts menant à la conclusion d'un accord pour un cessez-le-feu à Gaza.

L'orient-Le jour
Faut pas pousser mémé dans les orties, pourquoi pas Netanyahou tant qu'on y est...
 
Oh tu sais, Trump a même obligé Netanyahu à s'excuser pour le Qatar pour les petites bêtises qu'il a commis contre ce pays.
Moi, je suis dépassé par les evenements 🤔
Je ne sais pas..les gens fêtent le cessez-le-feu et en ce moment même un massacre à Gaza- ville...
Enfin pourquoi tant de cruauté?
 
Je ne sais pas..les gens fêtent le cessez-le-feu et en ce moment même un massacre à Gaza- ville...
Enfin pourquoi tant de cruauté?
Des témoignages et analyses montrent que ce basculement s'accompagne souvent d'une déshumanisation progressive des victimes, afin que les bourreaux ne voient plus en elles des êtres humains, ce qui réduit leurs inhibitions morales. Souvent, les bourreaux sont eux-mêmes psychologiquement marqués, oscillant entre déni, justification idéologique et souffrance intérieure. La construction d'une identité exclusive ("nous contre eux") joue un rôle clé, ainsi que la sélection et la condition de bourreau par une élite ou un pouvoir manipulant les individus.
 
En tout cas , le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a déclaré lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain Donald Trump qu'il « mérite le prix Nobel de la Paix », pour ses efforts menant à la conclusion d'un accord pour un cessez-le-feu à Gaza.

L'orient-Le jour

C du n'importe quoi...si on en est là....c parce que Netanyahu savait qu'il allait avoir un soutien sans réserve de la part de celui qui a armé le génocide.

C une provocation même d'évoquer ce complice du génocide dont les compatriotes américains de sociétés privées ont tué des enfants palestiniens aux points d'aide alimentaire.

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