BJDI2020
Le general est mort.Vive le général
Salut,
Cette histoire remonte à la fin de 2017.
Il y a une jolie fille dans mon quartier, qui me plaisait aussi bien physiquement que dans dans son comportement.
Je la croisais assez souvent, mais étant d’un gros calibre et me trouvant moche je savais que ce genre de fille n’était pas à ma portée.
C’était une joli métisse, assez grande, un corps magnifique, comme je la voyais souvent de dos je reconnaissais direct grâce à ses fesses dès qu’elle marchait devant moi. Des fesses et des hanches magnifiques.
Elle avait de magnifiques yeux clairs, des cheveux châtains bouclés.
Ce n’était pas uniquement un physique mais quelque-chose d’interessant semblait se dégager de sa personnalité.
Elle paraissait très gentille, timide, introvertie et je dirais même touchante quand je croisais son regard. Quand un jour elle me fît de la place car le RER était bondé nos regards se croisèrent puis elle rougit en regardant le sol.
Quand elle prenait le même train que moi, elle était toujours seule ou rarement accompagnée. C’était une fille discrète loin d’être exubérante.
Je la croisais puis avec le temps je ne faisais plus trop attention à elle, ou rarement.
Un jour le RER arrive à la Défense, mais comme j’étais très en retard au travail, j’étais en stress sur une planète. Je n’avais même fait attention à sa présence.
Elle était derrière moi puis en descendant, je croise son regard elle m’adresse à moi en me vouvoyant.
« Excusez-moi Monsieur, vous n’habitez à .... », je lui répond « Oui exact, je vous ai déjà également remarquée ».
Gros coup de chance, elle me prenait la même correspondance que moi, mais je n’avais que 3 arrêts.
En échangeant des banalités avec elle, j’eus comme un déclic.....il ne me restait que 3 stations pour repartir avec son téléphone.
J’avais comme qui dirait la g...uelle des sales jours, mais je devais discuter en échangeant des banalités mais surtout en esquissant des sourires.
Je devais la mettre à l’AISE, nous échangions sur l’endroit où nous habitions, sur ce qu’elle et ce que je faisais dans la vie. Puis je la sentais à l’aise et il ne me restait qu’une station pour arriver à ma destination....et par conséquent gratter son numéro...
Je lui stipulais que j’étais enchanté de faire sa connaissance, qu’elle me paraissait intéressante et que j’aimerais poursuivre avec elle si elle n’y voyais pas d’inconvénient.
Il me restait quelque minutes pour gratter son numéro, je lui demandais cash et elle me le laissa.
Cette histoire remonte à la fin de 2017.
Il y a une jolie fille dans mon quartier, qui me plaisait aussi bien physiquement que dans dans son comportement.
Je la croisais assez souvent, mais étant d’un gros calibre et me trouvant moche je savais que ce genre de fille n’était pas à ma portée.
C’était une joli métisse, assez grande, un corps magnifique, comme je la voyais souvent de dos je reconnaissais direct grâce à ses fesses dès qu’elle marchait devant moi. Des fesses et des hanches magnifiques.
Elle avait de magnifiques yeux clairs, des cheveux châtains bouclés.
Ce n’était pas uniquement un physique mais quelque-chose d’interessant semblait se dégager de sa personnalité.
Elle paraissait très gentille, timide, introvertie et je dirais même touchante quand je croisais son regard. Quand un jour elle me fît de la place car le RER était bondé nos regards se croisèrent puis elle rougit en regardant le sol.
Quand elle prenait le même train que moi, elle était toujours seule ou rarement accompagnée. C’était une fille discrète loin d’être exubérante.
Je la croisais puis avec le temps je ne faisais plus trop attention à elle, ou rarement.
Un jour le RER arrive à la Défense, mais comme j’étais très en retard au travail, j’étais en stress sur une planète. Je n’avais même fait attention à sa présence.
Elle était derrière moi puis en descendant, je croise son regard elle m’adresse à moi en me vouvoyant.
« Excusez-moi Monsieur, vous n’habitez à .... », je lui répond « Oui exact, je vous ai déjà également remarquée ».
Gros coup de chance, elle me prenait la même correspondance que moi, mais je n’avais que 3 arrêts.
En échangeant des banalités avec elle, j’eus comme un déclic.....il ne me restait que 3 stations pour repartir avec son téléphone.
J’avais comme qui dirait la g...uelle des sales jours, mais je devais discuter en échangeant des banalités mais surtout en esquissant des sourires.
Je devais la mettre à l’AISE, nous échangions sur l’endroit où nous habitions, sur ce qu’elle et ce que je faisais dans la vie. Puis je la sentais à l’aise et il ne me restait qu’une station pour arriver à ma destination....et par conséquent gratter son numéro...
Je lui stipulais que j’étais enchanté de faire sa connaissance, qu’elle me paraissait intéressante et que j’aimerais poursuivre avec elle si elle n’y voyais pas d’inconvénient.
Il me restait quelque minutes pour gratter son numéro, je lui demandais cash et elle me le laissa.