Un médicament pour aider à soigner l’alcoolisme

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Le Baclofène est un médicament qui aide les alcooliques à ne plus boire d’alcool. Il vient de bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché en france, mais avec des limites, comme les surdoses sont dangereuses. Il bénéficiait d’une recommendation temporaire d’utilisation depuis 2014, qui a servit à le mettre à l’essais.

Par mesure de sécurité, la dose journalière que les médecins pourront prescrire, a été limitée par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament.

Plus de détails ici : Le baclofène autorisé dans le traitement de l'alcoolisme (yahoo.com), Octobre 2018.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Le Baclofène est un médicament qui aide les alcooliques à ne plus boire d’alcool. Il vient de bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché en france, mais avec des limites, comme les surdoses sont dangereuses. Il bénéficiait d’une recommendation temporaire d’utilisation depuis 2014, qui a servit à le mettre à l’essais.

Par mesure de sécurité, la dose journalière que les médecins pourront prescrire, a été limitée par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament.

Plus de détails ici : Le baclofène autorisé dans le traitement de l'alcoolisme (yahoo.com), Octobre 2018.

Incroyable!!! Au lieu de rendre moins coûteux des thérapies alternatives ou les thérapies tout court pour aider les gens ayant un problème d'addiction.... on les empoisonne.

Un peu comme la méthadone pour les drogues!
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Incroyable!!! Au lieu de rendre moins coûteux des thérapies alternatives ou les thérapies tout court pour aider les gens ayant un problème d'addiction.... on les empoisonne.

[…]
L’article dit que les médecins ne pourront le prescrire qu’en cas d’échec des autres solutions :
L'autorisation de mise sur le marché sera donc limitée : le médicament ne pourra être utilisé qu'après l'échec d'autres traitements, et à une dose réduite de 80 milligrammes par jour au maximum.
 

Yoel1

VIB
Incroyable!!! Au lieu de rendre moins coûteux des thérapies alternatives ou les thérapies tout court pour aider les gens ayant un problème d'addiction.... on les empoisonne.

Un peu comme la méthadone pour les drogues!
Il n' y a pas de thérapie alternative et le baclophène ne coute rien et n'est pas un produit de substitution genre méthadone
 

Yoel1

VIB
A

AncienMembre

Non connecté
Il n' y a pas de thérapie alternative et le baclophène ne coute rien et n'est pas un produit de substitution genre méthadone

Biensur qu'il y a des alternatives. Sachant que toute addiction une fois le sevrage physique passé est surtout d'ordre psychologique.
 

Yoel1

VIB
Il existe une multitude de thérapies.

L'hypnose aide aussi. Les médecines douces telles que l'acuponcture. La sophrologie aide.

La médication de manière générale est un poison.

Sauf que l'hypnose de m^me que l'acuponcture donne exactement les même résultat qu'un placebo soit de 20 à 30 % de réussite , le baclofène c'est plus de 70 % ...l'hypnose peu venir en complément pour diminuer le stress

L'alcool est certain bien plus nocif pour la santé que le Baclofène :D
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Il existe une multitude de thérapies.

L'hypnose aide aussi. Les médecines douces telles que l'acuponcture. La sophrologie aide.

La médication de manière générale est un poison.

Non la médication de manière générale n’est pas un poison. La médication a révolutionné la psychiatrie et redonné une vie supportable à des millions de personnes, qui autrement aurait eu leur vie ruinée et gâchée (comme moi). Les méthodes avant les cachets étaient la lobotomie, les électrochocs ou des thérapies bidon qui n’agissaient pas sur la vraie source du problème et causaient de grandes souffrances aux malades!

Je suis pas contre les thérapies « psychologiques », mais pas sans les cachets!
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
'a rien compris .. c est exactement tout le contraire .. la chimie c est le dernier rempart .. un bon psy fera en sorte d eviter a tout prix de prescrire des médocs .. sauf de facon ponctuel et sur une courte période ..
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
'a rien compris .. c est exactement tout le contraire .. la chimie c est le dernier rempart .. un bon psy fera en sorte d eviter a tout prix de prescrire des médocs .. sauf de facon ponctuel et sur une courte période ..

Non.

Certains cachets doivent être pris pour toujours.

Je suis d’accord que les cachets devraient pas être utilisés de façon frivole. Mais c’est souvent une nécessité ou bien, dans certains cas, c’est un soulagement pratique et rapide de problèmes, alors que la psychologie prendrait un long moment sans garantir de résultats.

Je comprends pas trop ce préjugé anti-cachets. Mais c’est peut-être parce que tous ne voient pas que la nature, incluant le corps, est mal faite.
 

Takamine

"L'Enfer ...c'est moi .. :
tu parle dans le vague le général .. quand on parle de psychatrie c est une domaine tellement vaste que tes certitude montre que tu a plus besoin d un psy que de donner des lecons ..

les effets secondaires sont terribles .. les psy que je connais font tout pour eviter d en donner .. c est des drogues puissantes Ebion qui altère la conscience ..

on prend pas des médicament a vie pour eviter la groupe .. juste pendant des crises ..

t es le bon exemple du monde moderne ... des nains qui pensent etre des géants ..
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
tu parle dans le vague le général .. quand on parle de psychatrie c est une domaine tellement vaste que tes certitude montre que tu a plus besoin d un psy que de donner des lecons ..

les effets secondaires sont terribles .. les psy que je connais font tout pour eviter d en donner .. c est des drogues puissantes Ebion qui altère la conscience ..

on prend pas des médicament a vie pour eviter la groupe .. juste pendant des crises ..

t es le bon exemple du monde moderne ... des nains qui pensent etre des géants ..

Les cachets altèrent la conscience au sens où des antibiotiques altèrent le corps : en soignant sa maladie. La conscience d’une personne souffrant de maladies mentales est déjà altérée au naturel. Les cachets rétablissent l’équilibre que le cerveau n’arrive pas à atteindre seul. C’est comme une prothèse orthopédique!

Oui il y a des effets secondaires. La technologie est pas au point. Mais c’est mieux que rien.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
tu parle dans le vague le général .. quand on parle de psychatrie c est une domaine tellement vaste que tes certitude montre que tu a plus besoin d un psy que de donner des lecons ..

les effets secondaires sont terribles .. les psy que je connais font tout pour eviter d en donner .. c est des drogues puissantes Ebion qui altère la conscience ..

on prend pas des médicament a vie pour eviter la groupe .. juste pendant des crises ..

t es le bon exemple du monde moderne ... des nains qui pensent etre des géants ..

Je parle dans le général de situations que je connais de près.

C’est parfois nécessaire de prendre les cachets pour toujours. C’est un peu « entravant » et « emmèredant » pour nos délacements et voyages. Mais la santé est à ce prix.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Les cachets altèrent la conscience au sens où des antibiotiques altèrent le corps : en soignant sa maladie. La conscience d’une personne souffrant de maladies mentales est déjà altérée au naturel. Les cachets rétablissent l’équilibre que le cerveau n’arrive pas à atteindre seul. C’est comme une prothèse orthopédique!

Oui il y a des effets secondaires. La technologie est pas au point. Mais c’est mieux que rien.
Il n'a jamais été prouvé que les cachets guérissaient quoi que ce soit comme il n'a jamais été prouvé que les chimio guérissaient les cancers.
Un cachet ça calme tout au plus un symptôme.
Celui qui te dit le contraire est un menteur, manipulateur et un charlatan.
Un médecin honnête te dira que tu ne guériras jamais d'un cancer, tu es en rémission
 
Dernière édition:

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Il n'a jamais été prouvé que les cachets guérissaient quoi que ce soit comme il n'a jamais été prouvé que les chimio guérissaient les cancers.
Un cachet ça calme tout au plus un symptôme.
Celui qui te dit le contraire est un menteur, manipulateur et un charlatan.
Un médecin honnête te dira que tu ne guériras jamais d'un cancer, tu es en rémission

Peut-être bien, mais ça vaut quand même mieux que pas de cachets!
 
Why not ?
L'alcoolisme est trés trés compliqué à soigner, quasi mission impossible, autant voir plus que l'addition aux jeux, l'hypnose c'est beau mais au quotidien, si tu n'as pas une aide qui te supprime tes pulsions ou les atténue c'est peine perdue.
 

divdiv

Je ne ressemble pas du tout à mon avatar.
Why not ?
L'alcoolisme est trés trés compliqué à soigner, quasi mission impossible, autant voir plus que l'addition aux jeux, l'hypnose c'est beau mais au quotidien, si tu n'as pas une aide qui te supprime tes pulsions ou les atténue c'est peine perdue.

Je suis d'accord avec toi dans la mesure où tout ce qui permet à un malade de se sentir moins mal est une bonne chose.
Mais pour combien de temps ? Et comment fait le malade qui n'apprend ni à soigner les causes, ni à surmonter les pulsions ? Est-ce que réellement on peut parler de soin dans ce cas ? Je trouve que ça ressemble à un pansement sur une jambe de bois.

D'ailleurs cela fait déjà plusieurs années que ce médicament est prescrit à des malades souffrant d'alcoolisme, c'est ainsi que je l'ai connu (des personnes de mon entourage en ont pris ou en prennent encore).
Et je réalise en échangeant avec vous à ce sujet que toutes les personnes qui sont désormais abstinentes, dans les malades que je connais personnellement, sont celles qui n'ont eu que des traitements légers et très courts : pas eu le temps d'en faire une béquille et de masquer le vrai problème qui a engendré la maladie alcoolique.
Les autres, malheureusement, en sont toujours à freiner leur consommation grâce au Baclofène (consommation qui reste quotidienne), sans avoir rien réglé à côté.
Mais je ne connais pas de personne qui s'en soit sortie à long terme avec ce soutien chimique, donc je n'ai pas pu me pencher sur la manière dont la médication est intervenue dans leur guérison.
Si vous avez des témoignages à apporter, ça m'intéresse beaucoup.
 
Je suis d'accord avec toi dans la mesure où tout ce qui permet à un malade de se sentir moins mal est une bonne chose.
Mais pour combien de temps ? Et comment fait le malade qui n'apprend ni à soigner les causes, ni à surmonter les pulsions ? Est-ce que réellement on peut parler de soin dans ce cas ? Je trouve que ça ressemble à un pansement sur une jambe de bois.

D'ailleurs cela fait déjà plusieurs années que ce médicament est prescrit à des malades souffrant d'alcoolisme, c'est ainsi que je l'ai connu (des personnes de mon entourage en ont pris ou en prennent encore).
Et je réalise en échangeant avec vous à ce sujet que toutes les personnes qui sont désormais abstinentes, dans les malades que je connais personnellement, sont celles qui n'ont eu que des traitements légers et très courts : pas eu le temps d'en faire une béquille et de masquer le vrai problème qui a engendré la maladie alcoolique.
Les autres, malheureusement, en sont toujours à freiner leur consommation grâce au Baclofène (consommation qui reste quotidienne), sans avoir rien réglé à côté.
Mais je ne connais pas de personne qui s'en soit sortie à long terme avec ce soutien chimique, donc je n'ai pas pu me pencher sur la manière dont la médication est intervenue dans leur guérison.
Si vous avez des témoignages à apporter, ça m'intéresse beaucoup.
Da s le choix du pire on choisit le moindre et entre ce traitement à long terme et l'alcoolisme à long terme je pense que le choix est évident.
Mai tenant il est certains qu'un traitement à court terme est préférable mais l'un dans l'autre ce qui garantie le succés d'un traitement c'est le patient et chaque individu n'as pas les mêmes capacités/chances.
 

divdiv

Je ne ressemble pas du tout à mon avatar.
Da s le choix du pire on choisit le moindre et entre ce traitement à long terme et l'alcoolisme à long terme je pense que le choix est évident.
Mai tenant il est certains qu'un traitement à court terme est préférable mais l'un dans l'autre ce qui garantie le succés d'un traitement c'est le patient et chaque individu n'as pas les mêmes capacités/chances.

Effectivement, à choisir, on prend le moindre mal, c'est à dire la solution qui engendrera le moins de souffrance chez le malade.
Mais ma remarque rebondissait surtout sur le titre qui m'a orientée vers une réflexion sur la guérison de cette maladie et non sur l'effacement des symptômes.
C'est en cela que je disais qu'une pulsion reste une pulsion, le malade alcoolique n'est pas en voie de guérison s'il ne sait pas y faire face.
Mais bien sûr que je te rejoins sur un point essentiel : atténuer la souffrance de chaque individu est la priorité, et si cela est possible en tenant compte des forces et capacités de chacun, alors toutes les solutions sont bonnes à prendre !
 
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