Medvedev annonce la fin des Gringos américains

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Pour Medvedev, la domination économique américaine est révolue


SAINT-PETERSBOURG (AFP) — Le président russe, Dmitri Medvedev, a estimé jeudi que l'ère de la domination économique américaine était révolue et suggéré un nouveau système financier "plus juste", lors d'un forum au côté de la chancelière allemande Angela Merkel.

Les deux dirigeants ont plaidé pour une nouvelle "architecture financière" mondiale, en allusion à la crise financière qui déstabilise l'économie depuis plusieurs semaines.

Mme Merkel a par ailleurs une nouvelle fois dénoncé l'intervention militaire russe en Géorgie et posé la question du périmètre d'action des observateurs européens sur place.

"L'ère de la domination d'une économie et d'une devise a été reléguée au passé une bonne fois pour toutes", a déclaré M. Medvedev lors d'un forum bilatéral animé par des représentants de la société civile, avant le sommet proprement dit entre M. Medvedev et Mme Merkel, à Saint-Pétersbourg (nord-ouest).

"Nous devons travailler ensemble à la création d'un nouveau système économico-financier plus juste, basé sur les principes de la multipolarité, la suprématie de la loi, et la prise en compte des intérêts mutuels", a-t-il ajouté.

"Les événements de ces derniers temps confirment qu'un seul pays, même puissant, n'est pas en mesure d'être une sorte de +mégarégulateur+", a-t-il ajouté en allusion aux Etats-Unis.

La chancelière a aussi appelé à tirer les leçons de la situation actuelle. "Nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir souvent de telles crises. On a besoin de plus de transparence, plus de prévention du risque, plus de contrôle du risque", a-t-elle dit.

Revenant sur le conflit armé russo-géorgien, Mme Merkel a répété que "la réaction de la Russie dans ce conflit n'avait pas été appropriée".

"Nous devons encore parler du rôle de l'OSCE, des observateurs, voir comment il va se développer", a-t-elle ajouté, semblant suggérer que les observateurs internationaux déployés en Géorgie ont vocation à se rendre aussi dans les territoires séparatistes d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud.

La Russie refuse de céder à cette demande, affirmant que la décision appartient aux deux républiques sécessionnistes, dont elle a reconnu l'indépendance en août, au grand dam de l'Occident qui dénonce une atteinte à l'intégrité territoriale de la Géorgie.

Les deux dirigeants ont toutefois voulu mettre à profit le climat d'apaisement qui s'est installé alors que les soldats russes préparent leur retrait de Géorgie, hors territoires séparatistes, d'ici au 10 octobre.

A la veille de la fête nationale de l'Unité allemande, la chancelière a "remercié la Russie et (le dernier numéro un soviétique) Mikhaïl Gorbatchev pour leur rôle courageux" dans la réunification.

M. Medvedev a souligné pour sa part que "le temps du Mur de Berlin et de la guerre froide était révolu".

Ces consultations - qui ont lieu une fois par an, en alternance en Russie et Allemagne - ont été toutefois limitées cette année à une journée seulement et comprenaient moins de ministres que d'ordinaire, signe que les relations bilatérales n'ont pas retrouvé tout leur éclat.

Elles seront surtout placées sous le signe du renforcement de la coopération économique.

Les milieux d'affaires allemands tiennent à "une approche pragmatique et non idéologique envers la Russie", soulignait ainsi jeudi, parmi d'autres, le quotidien russe Nezavissimaïa Gazeta.

"La Russie est pour nous un marché intéressant et j'invite la Russie à venir gagner des parts de marché chez nous sur la base de la réciprocité", a d'ailleurs lancé Mme Merkel.

L'Allemagne est le premier partenaire commercial de la Russie, le volume des échanges entre les deux pays devant atteindre un record de 60 milliards de dollars cette année, contre 52,8 mds en 2007, selon le Kremlin.
 
Il est un peu jeune, Medvedev. Des nouveaux systèmes économico-financiers plus juste, on connaît déjà beaucoup. Qu'ils ont été dominés par l'Angleterre ou par les Etats-Unis ne les pas empêché d'échouer à plus ou moins long terme. L'Union européenne prétend elle aussi être un nouveau système (régional) économico-financier plus juste.
 
Il est un peu jeune, Medvedev. Des nouveaux systèmes économico-financiers plus juste, on connaît déjà beaucoup. Qu'ils ont été dominés par l'Angleterre ou par les Etats-Unis ne les pas empêché d'échouer à plus ou moins long terme. L'Union européenne prétend elle aussi être un nouveau système (régional) économico-financier plus juste.

Si Medvedev se permet de tel propos c'est que les amerloques sont vraiment dans la mouise
et tant mieux.
 
Si Medvedev se permet de tel propos c'est que les amerloques sont vraiment dans la mouise
et tant mieux.

Est-ce que les dirigeants russes ou soviétiques se sont jamais gênés pour dire ce qu'ils voulaient des Etats-Unis ? Un petit retour sur les discours de Poutine lorsque les Etats-Unis se croyaient on the top of world ... Medvedev n'est qu'un blanc-bec qui ne parle que sur l'ordre de Poutpout.
 
riches et puissants si!

mais le temps où les usa pouvaient imposer leurs lois et influences est dorénavent résolue!

Est-ce possible d'être aveugle à ce point ? L'adoption du plan Paulson II n'aurait aucun effet sur le plan mondial ? Elle n'aurait aucune influence sur les transactions économiques, financières, politiques, voire culturelles des prochaines années ? La connivence entre les dirigeants étatsuniens et européens n'aurait aucune influence sur les relations avec le reste du monde ? Sans même parler de la connivence des capitaux arabes avec les autres capitaux ?
 
tout est bien pour acculer les etats unis nous ne pouvons plus a notre ere avoir un pays puissant mégaregulateur ou mégamoderateur et avoir le drit d'ingerence pour tout ce qui va et tout ce qu'aspire un pays grand ou petit a l'autre bout du monde qui selon la suprematie des usa doit leur vouer respect et totale soumission gravissimo !!!
 
Je pense que la crise actuelle est un gros coup pour la morale. ET pour le capitalisme d'autre fois. Je dis d'autre fois parce que je pense que la logique du système financier va être repenser de nouveau pour avoir un système plus fiable.

En ce qui concerne le plan Paulson, qui prévoit 700 milliard de dollars, pour acheter (ramasser) les crottes du marché dont personne ne veut, n'est passer conséquent pour tout nettoyer ...

cordialement,
 
tout est bien pour acculer les etats unis nous ne pouvons plus a notre ere avoir un pays puissant mégaregulateur ou mégamoderateur et avoir le drit d'ingerence pour tout ce qui va et tout ce qu'aspire un pays grand ou petit a l'autre bout du monde qui selon la suprematie des usa doit leur vouer respect et totale soumission gravissimo !!!

Sauf que le puissant ne régulait ni ne modérait rien. Il est même permis de penser qu'il n'a été ces dernières années qu'un mégadérégulateur et un mégaf...dem...
 
«Ils deviennent complètement déséquilibrés parce qu’ils ont compris qu’ils ne sont pas si bons. L’armée américaine n’est pas si performante. Les armes américaines ne sont que du matériel hors de prix et surévalué».

 
Trois guerres de l’OTAN se chevauchent.

Guerre numéro 1

C’est l’Europe contre la Russie, bien sûr. Ce n’est plus une guerre par procuration : chaude et sale, directe. Compte tenu de la pourriture avancée de l’ensemble du front ukrainien, de nouveaux fronts se multiplient déjà : le Caucase du Sud, les opérations clandestines en mer Baltique, la frénésie de recrutement du MI6 en Asie centrale, le terrorisme qui se profile en mer Noire, en particulier en Crimée.

Le colonel Lawrence Wilkerson l’a résumé succinctement : nous sommes déjà en pleine troisième guerre mondiale. En fait, nous sommes déjà profondément engagés dans le long prélude à la troisième guerre mondiale. Le maître de cirque à Washington et les milliardaires/donateurs qui le soutiennent n’en ont bien sûr pas la moindre idée. Relire Keynes – «Les conséquences économiques de la paix» – est plus que jamais une nécessité absolue. L’histoire se répète. Mais nous ne sommes pas en 1914 ni en 1935 ; aujourd’hui, les armes nucléaires pourraient entrer en jeu.

Le Kremlin et le Conseil de sécurité russe sont très conscients des enjeux. Dans une récente interview accordée à Kommersant, Sergueï Choïgou a même dévoilé quelques chiffres clés de l’OTAN pour souligner la menace qui pèse sur la Russie : plus de 50 000 chars et véhicules blindés ; plus de 7000 avions de combat ; plus de 750 navires de guerre ; 350 satellites militaires et civils ; un immense budget offensif (c’est moi qui souligne).

Ce que le rusé Choïgou n’a pas dit, c’est que lorsque les choses se gâtent, il suffit que Kinjal, Sarmat, Zircon et Oreshnik distribuent quelques cartes de visite stratégiques pour paralyser toute la machine de l’OTAN en quelques minutes.
 

Guerre numéro 2

C’est l’Empire du Chaos contre l’Iran au Moyen-Orient, avec Eretz Israël comme acteur principal et mandataire.

Le maître de cirque – dont la seule «stratégie» consiste à concocter des accords louches pour s’enrichir et enrichir les escrocs de son entourage – rêve d’un Moyen-Orient centré sur Israël, un croisement toxique entre les accords d’Abraham 2.0 et le corridor IMEC, créant, comme l’a défini Alastair Crooke, «une Asie occidentale dirigée par les entreprises, centrée sur Tel-Aviv» (avec Trump comme «président» de facto), et via ce corridor de connectivité commerciale, capable de «frapper plus loin – avec les États du Golfe pénétrant dans le cœur sud-asiatique des BRICS pour perturber la connectivité et les corridors des BRICS».

Utiliser les Arabes contre les BRICS ne suffira pas, même avec MbZ aux Émirats arabes unis et MbS en Arabie saoudite, qui ont tous deux compris que cette escroquerie commerciale ne fonctionnera que s’il y a une paix réelle à Gaza, une sorte de solution humanitaire pour les Palestiniens et la reconstruction de la bande de Gaza.

Le culte de la mort à Tel-Aviv ne permettra jamais rien de tout cela : son plan est de tous les tuer, de voler toutes leurs terres et d’éradiquer leur culture. Et tandis que le génocide se poursuit – totalement légitimé par la sphère de l’OTAN -, le culte de la mort continue de bombarder tout ce qui bouge, perpétuant la balkanisation de la Syrie et l’expansion d’Eretz Israël.
 
Guerre numéro 3
C’est l’OTAN contre la Chine. Cela a déjà été décidé lors du dernier sommet de La Haye, parallèlement à la poursuite de la guerre contre la Russie.

Mais en réalité, l’arnaque est bien plus grande : c’est la guerre de l’OTAN contre les BRICS.

Cela a été annoncé, avec désinvolture, par cette médiocrité hollandaise indescriptible qui fait passer l’ancien morceau de bois norvégien Stoltenberg pour une star de la physique quantique.

Le secrétaire général de l’OTAN, Rutti Frutti, a en effet menacé directement l’Inde, la Chine et le Brésil, et leur a ordonné d’«appeler Poutine» pour empêcher «papa» Trump de déclencher sa prochaine frénésie tarifaire (TTT).

Pékin ne semble pas s’en soucier outre mesure. La Chine a humilié le maître de cirque en ne cédant pas d’un pouce dans la guerre commerciale et douanière. La Russie a humilié le maître de cirque en refusant de se laisser contraindre à un «cessez-le-feu» pathétique, qui aurait permis à l’OTAN de se réarmer. L’Iran a humilié le maître de cirque en refusant de signer une capitulation sans condition. Les Houthis ont humilié la marine américaine – une première dans les annales militaires – en forçant le maître de cirque à accepter un cessez-le-feu après un bombardement qui a coûté 1 milliard de dollars.

Au Brésil, Lula est sur le point d’humilier le maître de cirque en affirmant la souveraineté brésilienne face à une guerre commerciale et financière totale (Trump a même menacé de taxer le système de paiement numérique brésilien très populaire, PIX). Si des droits de douane de 50% sont imposés, Lula a déclaré que Brasilia riposterait contre l’Empire du chaos en vertu d’une loi de réciprocité.

Toute cette numéro du maître de cirque, dont chaque rebondissement est drapé de plusieurs couches d’arrogance et de fanfaronnades creuses, ne fait qu’accélérer le train à grande vitesse des BRICS/Sud mondial, qui prend de plus en plus la forme d’une alliance géoéconomique, géopolitique et géostratégique aux proportions transcontinentales, réaffirmée lors du sommet de Rio.

Tout cela est bien sûr mené par ce que j’ai décrit comme le nouveau triangle Primakov : le nouveau RIC, la Russie, l’Iran et la Chine, avec leurs partenariats stratégiques interdépendants. Ce n’est pas un hasard si de nombreux universitaires chinois de haut niveau commencent également à conceptualiser l’environnement «post-occidental» émergent avec deux nouveaux «I» dans BRICS : l’Iran et l’Indonésie, et non l’Inde, devraient être au cœur des BRIICS.

Pendant ce temps, en Europe, l’analyse Tricontinental a noté comment le chancelier allemand BlackRock, belliciste, s’est engagé à «consacrer 650 milliards d’euros au cours des cinq prochaines années aux dépenses militaires afin d’atteindre l’objectif de 5% [de l’OTAN] d’ici 2035». Cela signifie que Berlin sera contrainte de lever «environ 144 milliards d’euros par an», par le biais, bien sûr, de l’austérité et de l’endettement, ce qui se traduira par des taxes supplémentaires massives pour les consommateurs allemands.

Voilà, en quelques mots, le «programme» de l’ensemble de l’Occident fragmenté et collectif dans un avenir proche : l’austérité pour tous (sauf pour les 0,01%) et les Guerres de l’OTAN, pas les Diamants, pour toujours.



source : https://strategic-culture.su/news/2...wo-three-what-are-we-fighting-for-natos-wars/
 
Guerre numéro 3
C’est l’OTAN contre la Chine. Cela a déjà été décidé lors du dernier sommet de La Haye, parallèlement à la poursuite de la guerre contre la Russie.

Mais en réalité, l’arnaque est bien plus grande : c’est la guerre de l’OTAN contre les BRICS.

Cela a été annoncé, avec désinvolture, par cette médiocrité hollandaise indescriptible qui fait passer l’ancien morceau de bois norvégien Stoltenberg pour une star de la physique quantique.

Le secrétaire général de l’OTAN, Rutti Frutti, a en effet menacé directement l’Inde, la Chine et le Brésil, et leur a ordonné d’«appeler Poutine» pour empêcher «papa» Trump de déclencher sa prochaine frénésie tarifaire (TTT).

Pékin ne semble pas s’en soucier outre mesure. La Chine a humilié le maître de cirque en ne cédant pas d’un pouce dans la guerre commerciale et douanière. La Russie a humilié le maître de cirque en refusant de se laisser contraindre à un «cessez-le-feu» pathétique, qui aurait permis à l’OTAN de se réarmer. L’Iran a humilié le maître de cirque en refusant de signer une capitulation sans condition. Les Houthis ont humilié la marine américaine – une première dans les annales militaires – en forçant le maître de cirque à accepter un cessez-le-feu après un bombardement qui a coûté 1 milliard de dollars.

Au Brésil, Lula est sur le point d’humilier le maître de cirque en affirmant la souveraineté brésilienne face à une guerre commerciale et financière totale (Trump a même menacé de taxer le système de paiement numérique brésilien très populaire, PIX). Si des droits de douane de 50% sont imposés, Lula a déclaré que Brasilia riposterait contre l’Empire du chaos en vertu d’une loi de réciprocité.

Toute cette numéro du maître de cirque, dont chaque rebondissement est drapé de plusieurs couches d’arrogance et de fanfaronnades creuses, ne fait qu’accélérer le train à grande vitesse des BRICS/Sud mondial, qui prend de plus en plus la forme d’une alliance géoéconomique, géopolitique et géostratégique aux proportions transcontinentales, réaffirmée lors du sommet de Rio.

Tout cela est bien sûr mené par ce que j’ai décrit comme le nouveau triangle Primakov : le nouveau RIC, la Russie, l’Iran et la Chine, avec leurs partenariats stratégiques interdépendants. Ce n’est pas un hasard si de nombreux universitaires chinois de haut niveau commencent également à conceptualiser l’environnement «post-occidental» émergent avec deux nouveaux «I» dans BRICS : l’Iran et l’Indonésie, et non l’Inde, devraient être au cœur des BRIICS.

Pendant ce temps, en Europe, l’analyse Tricontinental a noté comment le chancelier allemand BlackRock, belliciste, s’est engagé à «consacrer 650 milliards d’euros au cours des cinq prochaines années aux dépenses militaires afin d’atteindre l’objectif de 5% [de l’OTAN] d’ici 2035». Cela signifie que Berlin sera contrainte de lever «environ 144 milliards d’euros par an», par le biais, bien sûr, de l’austérité et de l’endettement, ce qui se traduira par des taxes supplémentaires massives pour les consommateurs allemands.

Voilà, en quelques mots, le «programme» de l’ensemble de l’Occident fragmenté et collectif dans un avenir proche : l’austérité pour tous (sauf pour les 0,01%) et les Guerres de l’OTAN, pas les Diamants, pour toujours.



source : https://strategic-culture.su/news/2...wo-three-what-are-we-fighting-for-natos-wars/
Contre la chine ce sera une guerre économique
 
Contre la chine ce sera une guerre économique
Dix ans se sont écoulés depuis que la Chine a dépassé les États-Unis en termes de PIB (PPA) et rattrape son retard en termes nominaux.

Avant même la pandémie, l'Occident prévoyait un deuxième dépassement d'ici 2027. Ils pensaient alors disposer de deux ou trois ans pour « se remettre sur pied », mais un problème est survenu. Les États-Unis ne peuvent plus faire face. Le budget s'élève à 6 000 milliards, les recettes à un peu plus de 4 000 milliards, le budget militaire à plus de 1 000 milliards et, surtout, 1 300 milliards sont consacrés au service de la dette. Ils ne sont plus certains de tenir jusqu'en 2027 et n'ont pas encore décidé de mettre tout et tous à zéro.


En 2023 US Air Force General Mike Minihan - Mon intuition me dit que nous combattrons la Chine en 2025

 
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