Meknès : Il falsifie l’acte de mariage pour avoir une seconde épouse

Touring

Fait peur au lion avant qu'il te fasse peur..🇲🇦
VIB


C’est en mars 2018 qu’ils convolent en justes noces à Meknès. Mais les problèmes ne tardent pas à faire leur apparition quelques mois plus tard et brumer ainsi leur relation conjugale. Les querelles quotidiennes se multiplient pour laisser place à un silence absolu entre les deux. Bref, ils n’échangent plus la parole. Entre-temps, l’épouse tombe enceinte. Maintenant elle ne supporte plus de voir son conjoint, ni rester en sa compagnie sous le même toit. Elle décide alors d’aller séjourner chez ses parents. Il la laisse partir mais quand il la sollicite de retourner elle refuse. Depuis, il ne vient plus la chercher, ni même demander de ses nouvelles. A maintes reprises elle le sollicite de lui envoyer de l’argent. En vain. Livrée à son propre sort, elle décide de recourir à la justice afin de demander la pension alimentaire. Une procédure judiciaire qui nécessite, entre autres documents, l’acte de mariage. N’en possédant qu’une photocopie, elle se rend au tribunal de la famille afin de recevoir une copie originale de ce document qui devait être signé par un juge notarial. Quand elle retourne une semaine plus tard au tribunal de la famille pour récupérer le document, elle apprend la terrible nouvelle : il n’y a pas d’acte de mariage authentique qui porte son identité et la photocopie qu’elle possède a été copiée d’un faux document. Autrement dit, elle a été trompée par un homme qui a recouru à la falsification d’un acte de mariage pour profiter sexuellement d’elle.
 
Ce mariage reste religieusement valide car elle a eu des témoins et l'accord de son wali
Elle peut donc le requalifier en vrai mariage légalisé auprès d'un juge.
Elle pourra récupérer tout ses droits





C’est en mars 2018 qu’ils convolent en justes noces à Meknès. Mais les problèmes ne tardent pas à faire leur apparition quelques mois plus tard et brumer ainsi leur relation conjugale. Les querelles quotidiennes se multiplient pour laisser place à un silence absolu entre les deux. Bref, ils n’échangent plus la parole. Entre-temps, l’épouse tombe enceinte. Maintenant elle ne supporte plus de voir son conjoint, ni rester en sa compagnie sous le même toit. Elle décide alors d’aller séjourner chez ses parents. Il la laisse partir mais quand il la sollicite de retourner elle refuse. Depuis, il ne vient plus la chercher, ni même demander de ses nouvelles. A maintes reprises elle le sollicite de lui envoyer de l’argent. En vain. Livrée à son propre sort, elle décide de recourir à la justice afin de demander la pension alimentaire. Une procédure judiciaire qui nécessite, entre autres documents, l’acte de mariage. N’en possédant qu’une photocopie, elle se rend au tribunal de la famille afin de recevoir une copie originale de ce document qui devait être signé par un juge notarial. Quand elle retourne une semaine plus tard au tribunal de la famille pour récupérer le document, elle apprend la terrible nouvelle : il n’y a pas d’acte de mariage authentique qui porte son identité et la photocopie qu’elle possède a été copiée d’un faux document. Autrement dit, elle a été trompée par un homme qui a recouru à la falsification d’un acte de mariage pour profiter sexuellement d’elle.
 
D'où l'intérêt de publier les bans (procédure obligatoire pour le mariage civil en France) et d'éviter de se marier dans la clandestinité.

Ce qui me laisse toujours dubitatif ce sont les couples qui se marient avec la fatiha en France.
Ils sont plus nombreux et de tous les milieux.
Les machaalah boys ils sont excusés. Il ne faut pas leur en vouloir. En général ce sont comme des oies gavés par des fatwas par ci et des discours des cheikhs par là. Ils pensent qu'ils sont dans le droit chemin et la loi devine passe avant le reste. Sauf qu'ils ont ratés quelques paragraphes importantes sur la religion.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Ce qui me laisse toujours dubitatif ce sont les couples qui se marient avec la fatiha en France.
Ils sont plus nombreux et de tous les milieux.
Les machaalah boys ils sont excusés. Il ne faut pas leur en vouloir. En général ce sont comme des oies gavés par des fatwas par ci et des discours des cheikhs par là. Ils pensent qu'ils sont dans le droit chemin et la loi devine passe avant le reste. Sauf qu'ils ont ratés quelques paragraphes importantes sur la religion.
Il y a des filles aussi qui ne veulent pas de mariage civil.
Je ne vois pas d'explication sinon celle "je prends mes jambes à mon cou dès que ça tourne au vinaigre" pas de divorce et pas de conséquences financières à assumer...un hallal de façade.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Il y a des filles aussi qui ne veulent pas de mariage civil.
Je ne vois pas d'explication sinon celle "je prends mes jambes à mon cou dès que ça tourne au vinaigre" pas de divorce et pas de conséquences financières à assumer...un hallal de façade.
C'est pas faux mais ce qu'il faut aussi retenir pour les personnes croyantes c'est que le mariage religieux prime sur le mariage civil. Maintenant un mariage religieux ne doit pas dispenser d'un acte de mariage, 3doul au Maroc, mairie en France, etc...
 


C’est en mars 2018 qu’ils convolent en justes noces à Meknès. Mais les problèmes ne tardent pas à faire leur apparition quelques mois plus tard et brumer ainsi leur relation conjugale. Les querelles quotidiennes se multiplient pour laisser place à un silence absolu entre les deux. Bref, ils n’échangent plus la parole. Entre-temps, l’épouse tombe enceinte. Maintenant elle ne supporte plus de voir son conjoint, ni rester en sa compagnie sous le même toit. Elle décide alors d’aller séjourner chez ses parents. Il la laisse partir mais quand il la sollicite de retourner elle refuse. Depuis, il ne vient plus la chercher, ni même demander de ses nouvelles. A maintes reprises elle le sollicite de lui envoyer de l’argent. En vain. Livrée à son propre sort, elle décide de recourir à la justice afin de demander la pension alimentaire. Une procédure judiciaire qui nécessite, entre autres documents, l’acte de mariage. N’en possédant qu’une photocopie, elle se rend au tribunal de la famille afin de recevoir une copie originale de ce document qui devait être signé par un juge notarial. Quand elle retourne une semaine plus tard au tribunal de la famille pour récupérer le document, elle apprend la terrible nouvelle : il n’y a pas d’acte de mariage authentique qui porte son identité et la photocopie qu’elle possède a été copiée d’un faux document. Autrement dit, elle a été trompée par un homme qui a recouru à la falsification d’un acte de mariage pour profiter sexuellement d’elle.

Elle est blonde?
 

Hessia

I am MAN, hear me roar!
VIB
...Quand elle retourne une semaine plus tard au tribunal de la famille pour récupérer le document, elle apprend la terrible nouvelle : il n’y a pas d’acte de mariage authentique qui porte son identité et la photocopie qu’elle possède a été copiée d’un faux document. Autrement dit, elle a été trompée par un homme qui a recouru à la falsification d’un acte de mariage pour profiter sexuellement d’elle.
Cet article induit le lecteur en erreur..
Le journaliste si on peut le qualifier de tel, n'apporte aucun élément susceptible d’étayer son propos ci-dessus en gras.
or la rédaction de l'acte de mariage a lieu au Maroc avant le passage ( du dossier) devant le juge. Le adoul souvent invité à la maison est le premier à célébrer et rédiger l'acte sur son gros registre. Au minimum, une "fatha", cad le mariage conclus entre les concernés et oralement devant témoins, peut avoir lieu avant toute procédure actée par le adoul et enregistrée au tribunal.
Cet homme comme le stipule cet article a été jugé pour usage de faux et non pour fornication ou adultère.
Le pire qu'on puisse dire, est que cet homme à dissimulé son première mariage à cette seconde épouse en usant de faux en écriture.
 
Dernière édition:

Touring

Fait peur au lion avant qu'il te fasse peur..🇲🇦
VIB
Cet article induit le lecteur en erreur..
Le journaliste si on peut le qualifier de tel, n'apporte aucun élément susceptible d’étayer son propos ci-dessus en gras.
or la redaction de l'acte de mariage a lieu au Maroc avant le passage ( du dossier) devant le juge. Le adoul souvent invité à la maison est le premier à célébrer et rediger l'acte sur son gros registre. Au minimum, une "fatha", cad le mariage conclus entre les concernés et oralement devant témoins, à lieu avant toute procédure actée par le adoul et enregistrée au tribunal.
L'homme comme leur stipule cet article a été jugé pour usage de faux et non pour fornication ou adultère.

Il étais déjà marié
 
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