Melilla : dans l'enfer des porteurs (photos)

Ils sont des milliers à traverser la frontière marocaine de Bni Nasr pour se rendre à Melilla, ville autonome espagnole au nord du Maroc. Des jeunes, des vieillards, des femmes et parfois mêmes des handicapés font parfois plusieurs allers-retours par jour dès l'aube. Le journal espagnol El Pais est parti à leur rencontre. Photos
Photos : Antonio Ruiz pour El Pais

- Société / Contrebande, Melilla, Espagne, Photos

Melilla : dans l'enfer des porteurs (photos)
 
Merci Robot pour ce rappel!

Triste! Trop tristes, tes images!
Merci de m'avoir coupé l'appetit pour ce soir! :fou:
 
Je les voyaient étant enfants et je les voient toujours aujourd'hui,rien ne semble bouger à cette frontière le temps s'est arrêté là-bas :(
c'est malheureux mais je ne pense pas que les gens arrêteront si tu leur donnes une pension mensuelle, c'est leur vie qui s'arrête pour certains, ils ont toujours fait ça.

ça me fait le même effet quand je me rend dans un souk, pourtant un des grands souks au Maroc, ou les échanges et des sommes faramineuses se passent de main en main, et l'étranger ne verra que des ânes maigrichons qui tirent une charrette, du bruit, le désordre, des hommes qui n'ont pas d'âge ...

c'est ça le paradoxe marocain.
 
c'est malheureux mais je ne pense pas que les gens arrêteront si tu leur donnes une pension mensuelle, c'est leur vie qui s'arrête pour certains, ils ont toujours fait ça.

ça me fait le même effet quand je me rend dans un souk, pourtant un des grands souks au Maroc, ou les échanges et des sommes faramineuses se passent de main en main, et l'étranger ne verra que des ânes maigrichons qui tirent une charrette, du bruit, le désordre, des hommes qui n'ont pas d'âge ...

c'est ça le paradoxe marocain.

Moi quand je les croisent je sent de la fatigue et de la lassitude dans leur regards ,je me trompe peut-être ...
 
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