Lylian Legrand, le gendarme de 41 ans arrêté mardi pour le meurtre de Stéphanie Fauviaux, retrouvée morte à Lille le 24 mai 1995, vient d'être mis en examen par le juge d'instruction Mathieu Vignau, pour homicide volontaire.
Cheveux poivre et sel et l'allure détendue, l'homme est arrivé au tribunal peu avant 14h, après avoir atterri à l'aéroport de Lesquin en provenance de Nice, où il est en poste et où il a été interpellé mardi matin. Une heure et demie plus tard, après un court interrogatoire devant le juge d'instruction Mathieu Vignau, Lilian Legrand a été mis en examen pour homicide volontaire.
Le gendarme a ensuite demandé un délai pour préparer ses arguments en vue de contester son incarcération. En attendant un nouvel interrogatoire sur le fond du dossier, et sa comparution devant le juge des libertés, qui auront lieu mercredi, il a été écroué de manière provisoire. Son avocat, le pénaliste lillois Emmanuel Riglaire, s'est refusé à tout commentaire pour le moment.
Originaire de la Somme, marié et père de deux enfants, ce militaire, qui travaillait jusqu'ici à Nice, ne l'était pas encore au moment des faits. A l'époque, il était militaire au service des transmissions. Il est devenu gendarme un an après les faits.
Il aurait reconnu en garde à vue avoir tué Stéphanie Fauviaux, retrouvée étranglée et le corps à demi immergé dans sa baignoire, dans un appartement de la rue Faidherbe à Lille, en 1995. C'est semble-t-il son ADN qui a permis de remonter jusqu'à lui. Son empreinte génétique correspondait à celle d'un poil pubien retrouvé sur le corps de la jeune femme. On ne sait en revanche rien des circontances de la mort de Stéphanie, ni de la version du militaire.
Sa femme, qui lui aurait fourni à l'époque un faux alibi, est elle aussi en garde à vue actuellement. Elle ne devrait pas être poursuivie. Cette femme est la soeur de Karine, la colocataire de Stéphanie Fauviaux qui avait découvert le corps dans l'appartement de la rue Faidherbe.
Cheveux poivre et sel et l'allure détendue, l'homme est arrivé au tribunal peu avant 14h, après avoir atterri à l'aéroport de Lesquin en provenance de Nice, où il est en poste et où il a été interpellé mardi matin. Une heure et demie plus tard, après un court interrogatoire devant le juge d'instruction Mathieu Vignau, Lilian Legrand a été mis en examen pour homicide volontaire.
Le gendarme a ensuite demandé un délai pour préparer ses arguments en vue de contester son incarcération. En attendant un nouvel interrogatoire sur le fond du dossier, et sa comparution devant le juge des libertés, qui auront lieu mercredi, il a été écroué de manière provisoire. Son avocat, le pénaliste lillois Emmanuel Riglaire, s'est refusé à tout commentaire pour le moment.
Originaire de la Somme, marié et père de deux enfants, ce militaire, qui travaillait jusqu'ici à Nice, ne l'était pas encore au moment des faits. A l'époque, il était militaire au service des transmissions. Il est devenu gendarme un an après les faits.
Il aurait reconnu en garde à vue avoir tué Stéphanie Fauviaux, retrouvée étranglée et le corps à demi immergé dans sa baignoire, dans un appartement de la rue Faidherbe à Lille, en 1995. C'est semble-t-il son ADN qui a permis de remonter jusqu'à lui. Son empreinte génétique correspondait à celle d'un poil pubien retrouvé sur le corps de la jeune femme. On ne sait en revanche rien des circontances de la mort de Stéphanie, ni de la version du militaire.
Sa femme, qui lui aurait fourni à l'époque un faux alibi, est elle aussi en garde à vue actuellement. Elle ne devrait pas être poursuivie. Cette femme est la soeur de Karine, la colocataire de Stéphanie Fauviaux qui avait découvert le corps dans l'appartement de la rue Faidherbe.
