Le passé ne fait pas le présent. L'Égypte aussi est une ancienne grande civilisation, ce qui ne l'empêche pas aujourd'hui d'en être bien loin, et de régresser sous le joug d'un régime islamiste totalitaire. Il en va de même en Iran. Je ne respecte pas une dictature religieuse qui écrase les contestations démocratiques dans le sang et impose une régime basé sur une lecture fondamentaliste des sources religieuses. Le peuple iranien a assez régressé sous les 35 ans d'obscurantisme des barbus qui se sont succédés au pouvoir, il mérite ce à quoi il aspire: la démocratie et l'arrêt de la main-mise du fondamentalisme islamiste sur la gestion du pays.
L iran n est pas une dictature
les iraniens ont fait la revolution et ils ont developper leur propre systeme qui leur convient
ils ont des valeurs propres a eux tirer de leur islam chite
les femmes iranienne ont le niveau d education le plus elever de la region plus que les hommes
si le passer ne fait pas le present alors il faudrait arreter d utiliser le chiffre zero et logarithme car c est une creation iranienne
L'alphabétisation des femmes est en forte hausse
Une fois la révolution faite, la campagne pour l'alphabétisation menée par l'ayatollah a amené des milliers de femmes à la mosquée pour apprendre à lire et à écrire. Les dirigeants religieux ont fait de l'éducation un devoir religieux obligatoire, relate la chercheuse. Difficile pour les hommes de s'opposer à l'éducation de leurs femmes dans ces circonstances. La plus grande scolarité des femmes a ainsi contribué à leur présence plus marquée sur le marché du travail.
Ses études ont démontré que, depuis la révolution, le niveau d'éducation et le nombre de femmes scolarisées a augmenté considérablement, surtout depuis les 10 dernières années. Selon les chiffres de L'État du monde, les taux d'analphabétisme ont reculé entre 1980 immédiatement après la révolution et 2004: pour les femmes, le taux est passé de 61,4 % à 25,9 %. Un bond important.
Dorénavant, environ 60 % des étudiants universitaires sont des femmes, ce qui crée certaines situations qui ne nous sont pas tout à fait étrangères: «Il y a plus de femmes que d'hommes dans les facultés de médecine et le gouvernement pense sérieusement à imposer des quotas pour favoriser les hommes!», constate Mme Bahramitash. Notant qu'il ne s'agit ici que de fréquentation scolaire et non pas d'emplois réels, la chercheuse anticipe qu'il «sera intéressant de voir les réactions lorsque les femmes seront massivement présentes dans des professions traditionnellement masculines».
http://www.ledevoir.com/societe/edu...lace-est-faite-aux-femmes-au-pays-de-khomeiny