« Chaque habitant de ce pays a le droit dexprimer librement et publiquement ses opinions. Cela dit, je partage les préoccupations dautres Canadiens concernant les discours irresponsables et enflammés associés aux activités contre Israël organisées sur bon nombre de campus duniversités canadiennes, et la manière toxique dont ces activités sont souvent menées.
On ne peut citer de meilleur exemple que la « Semaine contre lapartheid israélien » (SAI). Les organisateurs et les participants ont la triste réputation de promouvoir et dorganiser des événements qui briment la sécurité et les droits de la faculté et des étudiants juifs, qui censurent les points de vue dautrui et qui limitent le discours universitaire.
Les attaques pernicieuses et disproportionnées dirigées contre lÉtat dIsraël démocratique pendant la SAI contrastent de façon ironique avec le silence des organisateurs de la SAI au sujet des atrocités qui sont actuellement perpétrées par le régime syrien contre ses propres citoyens, et avec la brutalité endémique et le déni des droits dans les pays non démocratiques du Moyen-Orient et ailleurs dans le monde.
Dans les sociétés libres, comme au Canada et en Israël, il est absolument légitime de débattre des politiques et des pratiques du gouvernement, et de les critiquer. En fait, Israël appuie le droit à la liberté dexpression plus que tout autre pays de cette région du monde. Toutefois, la liberté de critiquer est accompagnée du devoir déviter la tenue de propos haineux et intolérants.
Organisée sous le faux prétexte de la liberté universitaire, la Semaine contre lapartheid israélien représente une tentative trompeuse de délégitimer et de diaboliser la seule véritable démocratie libérale du Moyen-Orient. Les organisateurs de la SAI choisissent de promouvoir la propagande incendiaire plutôt que le débat civil et enrichissant. Leur approche va à lencontre des valeurs canadiennes que sont la tolérance et le respect mutuel, et empêche la tenue dun dialogue constructif.
En tant que ministre de la Citoyenneté, de lImmigration et du Multiculturalisme, jencourage les Canadiens à dénoncer toute forme de discrimination, dintolérance et dantisémitisme. »
Source: http://www.cic.gc.ca/francais/ministere/media/declarations/2013/2013-03-04.asp
On ne peut citer de meilleur exemple que la « Semaine contre lapartheid israélien » (SAI). Les organisateurs et les participants ont la triste réputation de promouvoir et dorganiser des événements qui briment la sécurité et les droits de la faculté et des étudiants juifs, qui censurent les points de vue dautrui et qui limitent le discours universitaire.
Les attaques pernicieuses et disproportionnées dirigées contre lÉtat dIsraël démocratique pendant la SAI contrastent de façon ironique avec le silence des organisateurs de la SAI au sujet des atrocités qui sont actuellement perpétrées par le régime syrien contre ses propres citoyens, et avec la brutalité endémique et le déni des droits dans les pays non démocratiques du Moyen-Orient et ailleurs dans le monde.
Dans les sociétés libres, comme au Canada et en Israël, il est absolument légitime de débattre des politiques et des pratiques du gouvernement, et de les critiquer. En fait, Israël appuie le droit à la liberté dexpression plus que tout autre pays de cette région du monde. Toutefois, la liberté de critiquer est accompagnée du devoir déviter la tenue de propos haineux et intolérants.
Organisée sous le faux prétexte de la liberté universitaire, la Semaine contre lapartheid israélien représente une tentative trompeuse de délégitimer et de diaboliser la seule véritable démocratie libérale du Moyen-Orient. Les organisateurs de la SAI choisissent de promouvoir la propagande incendiaire plutôt que le débat civil et enrichissant. Leur approche va à lencontre des valeurs canadiennes que sont la tolérance et le respect mutuel, et empêche la tenue dun dialogue constructif.
En tant que ministre de la Citoyenneté, de lImmigration et du Multiculturalisme, jencourage les Canadiens à dénoncer toute forme de discrimination, dintolérance et dantisémitisme. »
Source: http://www.cic.gc.ca/francais/ministere/media/declarations/2013/2013-03-04.asp