Facebook engage des centaines de personnes à travers le monde pour visionner tous les contenus signalés par les utilisateurs
Il y a des hommes blancs, riches, américains, qui écrivent à des enfants aux Philippines et qui essaient d’obtenir des photos sexuelles en échange de 10 ou 20 dollars.”
Des employés de bureau à Berlin ont confié au journal The Guardian que certains avaient développé une dépendance aux contenus extrêmes. Ils rassemblent et cherchent des contenus toujours plus violents pour leur collection personnelle.
Une modératrice se faisant appeler Gina explique: “C’est une violation des droits de l’homme. Vous ne pouvez pas demander à quelqu’un de travailler vite, bien et de voir toute la journée du contenu graphique.” Un ancien modérateur explique: “Nous sommes des avant-gardistes dans ce domaine. C’est un travail nouveau et tout est à expérimenter.”
Les modérateurs de Facebook examinaient 1000 contenus différents au cours d’une journée de travail de huit heures. Soit un problème à résoudre toutes les 30 secondes. Le nombre de contenus examinés a été revus à la baisse: on tourne plutôt autour de 400 à 500 par jour désormais. Facebook a confié qu’il voulait “s’assurer du bien-être” des modérateurs.
Un rapport expliquait en février dernier que les modérateurs de Facebook souffraient souvent de syndrome post-traumatique. On rapportait le cas d’un homme qui s’est retrouvé à croire aux théories du complot qu’il était chargé de surveiller. Une autre a expliqué à The Verge qu’elle avait fait une crise de panique après avoir vu un homme se faire poignarder à mort et implorer pour sa vie dans une vidéo.
Les modérateurs ont droit à deux pauses de 15 minutes au cours de leur journée, une pause déjeuner de 30 minutes et neuf minutes de temps dit de bien-être. The Verge rapporte la mort d’un modérateur de 42 ans en mars dernier. Keith Utley avait déjà confié que son job affectait sa santé mentale. Il était engagé par Cognizant, un site de modération de contenu Facebook à Tampa en Floride. Keith a fait une crise cardiaque en examinant du contenu graphique pendant son shift de nuit.
Il y a des hommes blancs, riches, américains, qui écrivent à des enfants aux Philippines et qui essaient d’obtenir des photos sexuelles en échange de 10 ou 20 dollars.”
Des employés de bureau à Berlin ont confié au journal The Guardian que certains avaient développé une dépendance aux contenus extrêmes. Ils rassemblent et cherchent des contenus toujours plus violents pour leur collection personnelle.
Une modératrice se faisant appeler Gina explique: “C’est une violation des droits de l’homme. Vous ne pouvez pas demander à quelqu’un de travailler vite, bien et de voir toute la journée du contenu graphique.” Un ancien modérateur explique: “Nous sommes des avant-gardistes dans ce domaine. C’est un travail nouveau et tout est à expérimenter.”
Les modérateurs de Facebook examinaient 1000 contenus différents au cours d’une journée de travail de huit heures. Soit un problème à résoudre toutes les 30 secondes. Le nombre de contenus examinés a été revus à la baisse: on tourne plutôt autour de 400 à 500 par jour désormais. Facebook a confié qu’il voulait “s’assurer du bien-être” des modérateurs.
Un rapport expliquait en février dernier que les modérateurs de Facebook souffraient souvent de syndrome post-traumatique. On rapportait le cas d’un homme qui s’est retrouvé à croire aux théories du complot qu’il était chargé de surveiller. Une autre a expliqué à The Verge qu’elle avait fait une crise de panique après avoir vu un homme se faire poignarder à mort et implorer pour sa vie dans une vidéo.
Les modérateurs ont droit à deux pauses de 15 minutes au cours de leur journée, une pause déjeuner de 30 minutes et neuf minutes de temps dit de bien-être. The Verge rapporte la mort d’un modérateur de 42 ans en mars dernier. Keith Utley avait déjà confié que son job affectait sa santé mentale. Il était engagé par Cognizant, un site de modération de contenu Facebook à Tampa en Floride. Keith a fait une crise cardiaque en examinant du contenu graphique pendant son shift de nuit.