amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Le Docteur Ahmed Oudadess aidé des Poètes du Monde section Tamazgha ont fait revivre la mémoire de l'écrivain journaliste Moha Abehri l’auteur de « Etre ou ne plus être », dans son pays natal de l'Azagharfal Aghbala les 4-5-6 Juin 2010.
Moha Abehri, le fils des Ait Ouachbab, de Zawit Cheikh, écrivain, journaliste amazigh marocain avait choisi Aghbala comme dernière résidence avant sa mort en 2003. En fait, le Docteur Ahmed Oudadess qui savait l’écrivain condamné, l’avait reccueilli chez lui, l’avait soigné pendant plus d’une année à Azagharfal près d’Aghbala. Cette présence d’un grand écrivain et journaliste ne pouvait pas passer inaperçue : très vite, Azagharfal est devenu un haut lieu de pèlerinage où se rencontrent les artistes, les écrivains, les militants amazighes amis de Abehri.
Cette année encore, fidèle à la mémoire du grand écrivain, le Docteur Oudadess aidé par des amis du défunt rendent un vibrant hommage au grand écrivain le long de trois jours de festivités où poésie, danse, art plastique et conférences font revivre la mémoire d’un homme qui aura marqué toute une époque.
Poésie, peinture, danse, chant et cinéma amazigh ont ponctué trois jours durant, une commémoration particulièrement enrichie par une présence prestigieuse de nouveaux visages jeunes et moins jeunes.
Son livre « Etre ou ne plus être », avait soulevé et soulève toujours toutes les interrogations sur le destin du peuple amazigh.
Ali khadaoui
Moha Abehri, le fils des Ait Ouachbab, de Zawit Cheikh, écrivain, journaliste amazigh marocain avait choisi Aghbala comme dernière résidence avant sa mort en 2003. En fait, le Docteur Ahmed Oudadess qui savait l’écrivain condamné, l’avait reccueilli chez lui, l’avait soigné pendant plus d’une année à Azagharfal près d’Aghbala. Cette présence d’un grand écrivain et journaliste ne pouvait pas passer inaperçue : très vite, Azagharfal est devenu un haut lieu de pèlerinage où se rencontrent les artistes, les écrivains, les militants amazighes amis de Abehri.
Cette année encore, fidèle à la mémoire du grand écrivain, le Docteur Oudadess aidé par des amis du défunt rendent un vibrant hommage au grand écrivain le long de trois jours de festivités où poésie, danse, art plastique et conférences font revivre la mémoire d’un homme qui aura marqué toute une époque.
Poésie, peinture, danse, chant et cinéma amazigh ont ponctué trois jours durant, une commémoration particulièrement enrichie par une présence prestigieuse de nouveaux visages jeunes et moins jeunes.
Son livre « Etre ou ne plus être », avait soulevé et soulève toujours toutes les interrogations sur le destin du peuple amazigh.
Ali khadaoui