Mohamed Boukrourou Allah y rahmou

  • Initiateur de la discussion AncienBladinaute
  • Date de début

soheyla

Why not !!!
salam

allah erra7mouh

j'ajouterai ceci que j'ai reçu par mail ;


Bonjour / Salam,

Le 12 novembre 2009, Mohamed BOUKROUROU, père de famille sans histoire, est mort dans un fourgon de police dans des conditions très suspectes.

Alors qu’il n’avait qu’un différend d’ordre commercial avec son pharmacien habituel (voir dossier de presse ci jointe), la police n’a eu comme réponse que de le violenter et de le tuer alors qu’il était déjà menotté et malgré ses cris incessants et suppliants d’arrêter.

D’après la procureure, la mort ne serait pas (évidemment !!!) liée aux coups portés par les fonctionnaires de police. Pour la famille, il est évident que Mohamed n’est pas mort de cause naturelle. En effet, après la toilette funéraire, la famille a découvert que Mohamed était couvert de bleus au visage, les lèvres éclatées, la joue arrachée…

Nous tenons à souligner que ce crime est d’ordre raciste voire islamophobe. Nous devons tous soutenir cette famille dans son combat pour la Justice et la vérité.

Il est de notre devoir de faire connaitre cette histoire car une victime innocente a été tuée …

La communauté musulmane, maghrébine et d’ailleurs doit se serrer les coudes et demander des comptes au Président de la République, aux ministres et aux députés sur cette affaire

Il faut aussi sensibiliser les médias (transmettez à vos éventuels contacts journalistiques le dossier de presse ci- joint)

Nous n’incriminons pas la police dans sa généralité mais nous refusons que celle-ci soit noyautée par des personnes se pensant au dessus des lois.

Cette histoire pourrait être un jour la vôtre, celle de votre conjoint, d'un membre de votre famille ...

Merci d’innonder la boite mail de l’Elysée, des ministres, et du député et sénateurs du Doubs en copiant collant les messages ci-dessous :



MINISTERE DE L’INTERIEUR

http://www.interieu r.gouv.fr/ sections/ contact/ministre /ministre

Monsieur le Ministre,

Nous souhaitons vous alerter sur un fait divers dramatique qui s’est déroulé le jeudi 12 novembre en fin d’après midi dans le département du Doubs, à Valentigney. Un homme sans histoire de 41 ans est mort dans un fourgon de police dans des conditions suspectes, alors qu’il n’avait qu’un différend commercial avec son pharmacien habituel.

Une enquête est en cours ainsi qu’une instruction (Procureur/Juge instruction/ Préfet) pour lever les zones d’ombres de ce décès. D’ailleurs la famille s’est portée partie civile et a pris comme avocats Maître Gonin et Maître Collard.

Nous nous étonnons du silence du Ministre et de ses services sur cette affaire dramatique qui a bouleversé toute une région, toute une ville, et toute une communauté … d’autant plus que les intéressés sont 4 fonctionnaires de police qui sont sous votre autorité Monsieur le Ministre.

A l’heure où l’on nous martèle avec " l’impunité zéro ", nous souhaiterions que cette politique soit appliquée aux fonctionnaires de police responsables de cette mort.

Nous souhaiterions que le ministre sorte publiquement de ce silence et qu’il prenne une mesure conservatoire à l’égard des 4 fonctionnaires tant que l’enquête est en cours.

Toute une communauté vous regarde et saura en tirer les conséquences lors des prochaines élections.

Persuadés que vous allez donner une suite favorable à notre requête, nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en l’assurance de notre considération.



Le collectif « La justice pour Mohamed Boukrourou »
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
Hakim Djelassi, Mohamed Boukrourou, Abdelhakim Ajimi et Ali Ziri étaient vivants avant leurs interpellations

Ce 24 septembre, Hakim Djelassi, 31 ans, se dispute avec sa future épouse, Hélène. Ils logent à l’hôtel Mister Bed, rue de Béthune, dans le Vieux-Lille. Rameuté par les voisins, le réceptionniste appelle la police. Il est huit heures du matin.....
....Après une arrestation mouvementée, Hakim Djelassi fait un malaise cardiaque dans le fourgon de police qui le transportait à l’hôpital. Arrivé à Saint-Vincent, il tombe dans le coma, et mourra deux jours plus tard, le 26. La famille affirme avoir vu le corps de Hakim couvert de marques de coups à l’hôpital....

Mohamed Boukrourou aussi était vivant avant son interpellation
Le 13 novembre à Valentigney, rapporte TF1, Mohamed Boukrourou, 41 ans, se rendait dans une pharmacie pour acheter des médicaments. En fin d’après-midi, il était déclaré mort. Dans quelles conditions ? Comment, à la suite de quel enchaînement fatal un homme parti pour acheter de quoi se soigner avait-il pu mourir dans la même journée ? ....

Abdelhakim Ajimi était vivant avant son interpellation
Laurent Mouloud raconte dans L’Humanité : « Le 9 mai 2008, Abdelhakim Ajimi, 22 ans, cuisinier au chômage, vient retirer de l’argent au guichet du Crédit agricole, dans le centre-ville de Grasse. L’employé refuse, constatant que le jeune homme a dépassé son autorisation de découvert. Abdelhakim perd alors son calme, hurle sur le guichetier. Le directeur de la banque s’interpose, reçoit une gifle......
...Abdelhakim Ajimi, inerte, sera relevé par deux policiers. Il sera déclaré mort à 16 h 30, au commissariat. Selon la version policière, il a fait un arrêt cardiaque....

Ali Ziri était vivant avant son interpellation
Le 9 juin dernier, cet Algérien âgé de 69 ans, se trouvait à bord d’un véhicule conduit par son ami Arezki Kerfali, 61 ans, quand tous deux ont été arrêtés, sortis de la voiture, menottés, et, à en croire le témoignage de ce dernier, frappés. D’après lui, ce sont ces coups qui sont à l’origine de la mort de son ami Ali Ziri, décédé un peu plus tard à l’hôpital.

http://www.saphirnews.com/Hakim-Dje...vants-avant-leurs-interpellations_a10811.html

pour les quatre c' est un arrêt cardiaque ou respiratoire.
 
Hakim Djelassi, Mohamed Boukrourou, Abdelhakim Ajimi et Ali Ziri étaient vivants avant leurs interpellations

Ce 24 septembre, Hakim Djelassi, 31 ans, se dispute avec sa future épouse, Hélène. Ils logent à l’hôtel Mister Bed, rue de Béthune, dans le Vieux-Lille. Rameuté par les voisins, le réceptionniste appelle la police. Il est huit heures du matin.....
....Après une arrestation mouvementée, Hakim Djelassi fait un malaise cardiaque dans le fourgon de police qui le transportait à l’hôpital. Arrivé à Saint-Vincent, il tombe dans le coma, et mourra deux jours plus tard, le 26. La famille affirme avoir vu le corps de Hakim couvert de marques de coups à l’hôpital....

Mohamed Boukrourou aussi était vivant avant son interpellation
Le 13 novembre à Valentigney, rapporte TF1, Mohamed Boukrourou, 41 ans, se rendait dans une pharmacie pour acheter des médicaments. En fin d’après-midi, il était déclaré mort. Dans quelles conditions ? Comment, à la suite de quel enchaînement fatal un homme parti pour acheter de quoi se soigner avait-il pu mourir dans la même journée ? ....

Abdelhakim Ajimi était vivant avant son interpellation
Laurent Mouloud raconte dans L’Humanité : « Le 9 mai 2008, Abdelhakim Ajimi, 22 ans, cuisinier au chômage, vient retirer de l’argent au guichet du Crédit agricole, dans le centre-ville de Grasse. L’employé refuse, constatant que le jeune homme a dépassé son autorisation de découvert. Abdelhakim perd alors son calme, hurle sur le guichetier. Le directeur de la banque s’interpose, reçoit une gifle......
...Abdelhakim Ajimi, inerte, sera relevé par deux policiers. Il sera déclaré mort à 16 h 30, au commissariat. Selon la version policière, il a fait un arrêt cardiaque....

Ali Ziri était vivant avant son interpellation
Le 9 juin dernier, cet Algérien âgé de 69 ans, se trouvait à bord d’un véhicule conduit par son ami Arezki Kerfali, 61 ans, quand tous deux ont été arrêtés, sortis de la voiture, menottés, et, à en croire le témoignage de ce dernier, frappés. D’après lui, ce sont ces coups qui sont à l’origine de la mort de son ami Ali Ziri, décédé un peu plus tard à l’hôpital.

http://www.saphirnews.com/Hakim-Dje...vants-avant-leurs-interpellations_a10811.html

pour les quatre c' est un arrêt cardiaque ou respiratoire.

Dans les techniques d'immobilisation d'un individu comme celle utiliser par la police,il y'a le risque d'un arret cardiaque due au stress et la violence de l'acte comme il y'a le risque d'etouffement,le risque est due au fait que des personnes sont vulnerables ce qui explique ce genre de derapage,manifestement,Tiznit5 ne sait pas de quoi il parle,sinon je veux bien lui faire une demonstration.:D
 
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