"Mon voile et mes cheveux ont été arrachés" : une femme de 43 ans agressée et insultée raconte, 5 jours d'ITT prescrits

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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Grâce à la description physique et vestimentaire de l’adolescent, les forces de l’ordre ont retrouvé le suspect. Lors de son interpellation, l’individu a traité une policière de « sale blanche de ***** ». Il s’agit de Mamadou S., un Français âgé de 28 ans et sans domicile fixe. Il est accusé d’extorsion avec arme et d’outrage à personne dépositaire de l’autorité publique. L’homme a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il a confié être alcoolisé et être en possession de deux couteaux. L’individu a été placé en garde à vue.

Essonne : il rackette un jeune de 15 ans et traite une policière de « sale blanche »​

 
Un jeune homme de 18 ans a été passé à tabac,traité de sale blanc devant un distributeur de pizzas d’Anglet, après une sortie en boîte de nuit. Son agresseur a été condamné à six mois de prison ferme, ce jeudi 3 octobre
 
Beauvais. Lors de son arrestation, un homme insulte les policiers de «sale blanc, raciste qui vote Bardella»

Il insulte les policiers de tous les noms​

La caméra piéton, qui a tout enregistré, révèle certains passages de son arrestation. Il s’en prend verbalement aux policiers : «dehors, je te tue… Dans la rue, tu es mort… Mange tes morts, ******, raciste qui vote Bardella !» Il résiste violemment à l’un des policiers qu’il blesse au bras, lui occasionnant trois d’incapacité totale de travail en disant : «sale blanc, va te faire enculer, fils de ****… Le keuf je le prends et je le baise… Prends-la dans le *** ta caméra». Au moment de la fouille, il commente : «touche ma bite, ****** de raciste, ****** de Français, sale blanc !»

 
LE DÉRAPAGE Une présidente de bureau
traitée de « sale blanche » Moment de tension, hier soir au bureau 125 à Roubaix, à l'Hommelet. Vers 18 h 15, alors que le dépouillement était en cours, de jeunes électeurs ont voulu rentrer dans le bureau alors que le vote était terminé. Selon des personnes présentes sur place, les jeunes se seraient énervés sur les portes du bureau, qui étaient closes. La présidente du bureau est sortie les calmer : « Tu ne sais pas qui on est, tu vas prendre cher sale blanche ». Les identitaires racistes ne
sont pas toujours ceux que l'on croit.
 

«Il s'est vu partir»: le calvaire de Nicolas, poignardé en boîte​

HAUCONCOURT/LUXEMBOURG - Nicolas, père de famille de 29 ans, a reçu neuf coups de couteau devant une discothèque, au nord de Metz. Sa compagne, consultante au Luxembourg, témoigne.
«C'est la première fois de ma vie que je me suis dit que j'allais mourir». Cinq jours après une soirée festive qui a tourné au cauchemar, Nicolas, 29 ans, se remet doucement d'une altercation dont il aurait pu ne pas sortir vivant. Le jeune homme de 29 ans, originaire de la région messine, a déposé plainte après avoir été poignardé à neuf reprises, vendredi dernier, devant la boîte de nuit Le Victoria, située à Hauconcourt, à une quarantaine de kilomètres de la frontière luxembourgeoise.

«Il a été touché au ventre, aux cuisses, aux fesses et à la main. Une bouteille a été cassée sur sa tête. Heureusement, aucun organe vital n'a été touché. Mais il s'est vu partir», témoigne sa compagne Jenny*, consultante au Luxembourg. Actuellement en congé parental - Nicolas et Jenny ont deux enfants de 2 ans et 6 mois - elle doit désormais s'occuper de son conjoint, «complètement dépendant», à l'heure actuelle.

Coups de couteau, bouteille cassée sur la tête​

Un moindre mal, compte tenu de la violence des faits. Selon le descriptif effectué par la victime dans la plainte consultée par L'essentiel, tout aurait débuté à l'extérieur de la discothèque. Le jeune père de famille serait allé uriner avant d'être pris à partie par un participant à la soirée l'accusant de «l'avoir bousculé». Nicolas assure qu'il s'est excusé, mais l'homme aurait brandi un couteau. La victime l'aurait alors frappé en réponse. En deux temps trois mouvements «entre sept et dix personnes» auraient ensuite lynché le jeune Mosellan à coups de lame et de bouteille de vodka.
Dans une confusion totale et aidé par un ami, Nicolas aurait d'abord réussi à se réfugier à l'intérieur de l'établissement puis à être exfiltré par une sortie de secours. Arrivé dans un état grave à l'hôpital de Mercy, où il s'est rendu par ses propres moyens, il a été opéré et se trouve tiré d'affaire.
«C'est une agression gratuite», déplore Jenny, indiquant que Nicolas n'est pas un habitué des lieux, «au contraire des agresseurs». Dans sa plainte, la victime affirme que certains d'entre eux auraient prononcé des paroles à caractère discriminatoire - «Sale gwer» (NDLR: un terme péjoratif pour désigner les personnes blanches) -, ce qui devra être confirmé par l'enquête pour «tentative de meurtre» confiée à la gendarmerie de Maizières-lès-Metz. Sollicité, le parquet de Metz n'avait pas encore répondu, jeudi, aux questions de L'essentiel.
 
Perso, j'aimerai juste que tous ces délires communautaro-identitaires s'arrêtent : on est dans un même pays, sur une même planète.

Les lois et règles valent pour tous. L'intérêt commun est de s'entendre, vivre et s'épanouir ensemble.

Je sais, je suis complètement utopiste vu comment va le monde aujourd'hui avec son explosion de violences quotidiennes, toujours plus dans l'immonde et personne pour ramener à la raison.

Demain est un autre jour et, manque de pot, demain c'est lundi...
Bonne soirée donc, il est tard et je dois, en bon esclave de la RF (comme dirait @Anser) me lever tôt pour financer tous les glandus du pays - quand je vous dis que vos discours jusqu'auboutistes sont à double tranchant^^
 
Voilà le résultat de toute la propagande islamophobe médiatique et politique, des faibles d'esprit qui voient en la différence un ennemi... De plus en plus de faits divers violents et sanglants, continuez à maintenir cette ambiance pour construire un horrible avenir à vos enfants...
 


«Si je t'attrape, je vais te décapiter comme Samuel Paty (...) Tu seras décapité inchallah (...) Je vais jouer au ballon avec ta sale tête» (sic).

Je vais te décapiter sale blanc de *****» pas plus tard qu’il y à 3 jours.

 

"Mon voile et mes cheveux ont été arrachés" : une femme de 43 ans agressée et insultée raconte, 5 jours d'ITT prescrits​

"On doit la terminer"​

Très vite, la violence monte encore d'un cran : "je me suis retournée pour leur dire qu'elle n'avait pas le droit de me parler ainsi et elles se sont mises à courir pour me rattraper", raconte Aziza H. Apeurée, la mère de famille craint d'être poussée sur la route par ces deux agresseuses ou d'être attaquée au couteau. Elle s'engage donc dans un chemin à l'abri des regards pour tenter de fuir.

De là, les deux femmes font usage de la force sur Aziza : "Elles m'ont maintenue au sol pour me frapper. Mon voile et mes cheveux ont été arrachés. Elles m'insultaient de sale race", poursuit la mère de famille. Alors qu'elle était à terre, des menaces de mort ont été proférées : "Je les ai entendu dire 'on doit la terminer'", détaille Aziza H. Elle rapporte également avoir été étranglée par les deux femmes.

Les coups s'arrêtent brusquement lorsque les deux femmes perçoivent un bruit, déclare la victime. Assommée, Aziza H. trouve tout de même la force de se relever afin de rejoindre son enfant dans le domicile familial. Elle sera ensuite emmenée par une amie aux urgences. L'équipe médicale lui constate un hématome au poignet, des fêlures aux côtes, des dermabrasions sur le cou et les jambes et des traces de coups au visage. Cinq jours d'ITT sont prescrits.

«Il s'est vu partir»: le calvaire de Nicolas, poignardé en boîte
 
«Si je t'attrape, je vais te décapiter comme Samuel Paty (...) Tu seras décapité inchallah (...) Je vais jouer au ballon avec ta sale tête» (sic).

Je vais te décapiter sale blanc de *****» pas plus tard qu’il y à 3 jours.

Cnews.
Finalement, l'examen de l'affaire a été renvoyé au 4 février 2025. «Une expertise psychiatrique du prévenu a été ordonnée. Il a été placé en détention provisoire», a indiqué le parquet d'Evry .
 
Revenir au sujet qui est :

"Mon voile et mes cheveux ont été arrachés" : une femme de 43 ans agressée et insultée raconte, 5 jours d'ITT prescrits​


Le 25 novembre, à Gardanne, Aziza H., mère de famille âgée de 43 ans, a été frappée par deux femmes en raison de son voile. Des insultes racistes ont été proférées à son égard. Elle revient sur cet épisode auprès de France 3 Provence-Alpes.

 
Finalement, l'examen de l'affaire a été renvoyé au 4 février 2025. «Une expertise psychiatrique du prévenu a été ordonnée. Il a été placé en détention provisoire», a indiqué le parquet d'Evry .
Tu peux ouvrir un sujet avec ton accolyte pour parler de cette affaire dans actus françaises stp?

Détourner les sujets c'est pas trop correct sinon bon retour parmi nous!!
 
Grâce à la description physique et vestimentaire de l’adolescent, les forces de l’ordre ont retrouvé le suspect. Lors de son interpellation, l’individu a traité une policière de « sale blanche de ***** ». Il s’agit de Mamadou S., un Français âgé de 28 ans et sans domicile fixe. L’individu a été placé en garde à vue.
une source policière à Valeurs actuelles. ( un journal d'extrême gauche) D’après la victime, les faits se seraient déroulés dans un bus lorsqu’un individu l’a menacé avec un couteau pour lui voler sa casquette. Il a obtempéré et lui a donné.
L'auteur s'appele mamadou Français d'origine sénégalaise .
Qu'est ce qui se passe @Drianke?
 
Le 25 novembre à Gardanne, Aziza H., une mère de famille de 43 ans, a été violemment agressée par deux femmes en raison de son voile. Cet acte, marqué par des insultes racistes et des violences physiques, met en lumière une réalité inquiétante : la hausse des actes à caractère raciste en France.

Une agression d’une violence inouïe​

Alors qu’elle se rendait chez son kinésithérapeute, Aziza a été suivie par deux femmes d’une quarantaine d’années. Les insultes ont rapidement commencé : « Regardez la voilée comme elle se pavane », « On doit la crever comme les Palestiniens », raconte la victime. En réponse à ces propos haineux, Aziza a tenté de répliquer, mais cela a déclenché une escalade de violence.

Poursuivie, elle a cherché refuge dans un chemin isolé, mais ses agresseuses l’ont rattrapée. « Elles m’ont maintenue au sol pour me frapper. Mon voile et mes cheveux ont été arrachés. Elles m’insultaient de sale race », déclare-t-elle. Subissant des coups et des menaces de mort, Aziza a également été étranglée. Les agresseuses ont cessé leur violence après avoir été distraites par un bruit, permettant à Aziza de rentrer chez elle.

Des conséquences physiques et psychologiques graves​

Conduite aux urgences par une amie, Aziza souffre d’un hématome au poignet, de fêlures aux côtes, d’abrasions au cou et aux jambes, ainsi que de traces de coups au visage. Une incapacité temporaire de travail (ITT) de cinq jours lui a été prescrite.

Malgré le choc, Aziza refuse de céder à la peur : « Abandonner, ça serait leur donner raison », dit-elle. Toutefois, elle confie son mal-être : « J’ai envie de rester chez moi, mais j’ai quatre enfants. Je suis en colère, je me suis dit que j’aurais dû me défendre. »

Une plainte déposée dans un contexte alarmant​

Aziza a déposé plainte et sa famille lance un appel à témoins pour identifier les agresseuses. Cet événement s’inscrit dans un contexte national préoccupant : selon le ministère de l’Intérieur, les crimes et délits à caractère raciste ont augmenté de 32 % en 2023 en France.

Cependant, une autre problématique émerge : le traitement inégal des actes de haine par les médias en France. Les agressions islamophobes, telles que celle subie par Aziza, reçoivent rarement la même couverture médiatique que les actes qualifiés d’antisémites. Cette disparité soulève des questions sur les biais éditoriaux et l’importance accordée à certains types de discriminations par rapport à d’autres. Pour de nombreux observateurs, cette différence de traitement contribue à invisibiliser une partie des victimes et à minimiser l’ampleur de l’islamophobie en France.

Ce drame illustre l’urgence de lutter contre l’islamophobie et les actes de haine, qui continuent de fragiliser le tissu social français.

Qu'est ce qui se passe @Drianke?
 
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