Le monde multipolaire en marche

Que l’on retourne la situation dans tous les sens, rien ne peut en ressortir de positif ! On se dirige maintenant tout droit vers la fin d’un système, s’accompagnant d’une période de tumultes et de l’éclatement pur et simple de l’Europe et de ses actifs et bien entendu de tous ceux qui la composaient… Ce que je qualifierais pour être encore la solution la moins contraignante comparée à une guerre généralisée.


Nous nous dirigeons droit vers une rupture avec l’ordre mondial américain, le début de la transition du globalisme libéral de l’égocentrisme américain vers la réalité d’un monde multipolaire.

La marche de l’histoire est imparable et les tentatives de l’Occident d’imposer son nouvel ordre mondial au monde sont vouées à l’échec
 

Nelya87

نلية
VIB
Que l’on retourne la situation dans tous les sens, rien ne peut en ressortir de positif ! On se dirige maintenant tout droit vers la fin d’un système, s’accompagnant d’une période de tumultes et de l’éclatement pur et simple de l’Europe et de ses actifs et bien entendu de tous ceux qui la composaient… Ce que je qualifierais pour être encore la solution la moins contraignante comparée à une guerre généralisée.


Nous nous dirigeons droit vers une rupture avec l’ordre mondial américain, le début de la transition du globalisme libéral de l’égocentrisme américain vers la réalité d’un monde multipolaire.

La marche de l’histoire est imparable et les tentatives de l’Occident d’imposer son nouvel ordre mondial au monde sont vouées à l’échec

Qu'est-ce qui te fait dire ça?
 
Il est évident que quand on prétend dominer le monde, le multilatéralisme n’a pas sa place.

Les États-Unis rêvent d’un monde qui leur soit soumis. Cela n’a jamais été totalement le cas car il a toujours existé des pays qui ont refusé sa suzeraineté, ne serait-ce, pour n’en citer qu’un, que le minuscule mais très irritant Cuba.

Le créneau pendant lequel les États-Unis n’avaient presque plus de rival sérieux est terminé. La Russie s’est redressée après le dépeçage de l’URSS et la période quasi anarchique qui s’ensuivit, la Chine s’est envolée et de nombreux autres pays rejoignent le club des non-alignés. Washington a de plus en plus de mal à maintenir sa domination, contestée militairement par la Russie, économiquement par la Chine et désormais financièrement par ces deux pays.

L’édifice financier est vermoulu et les récentes mesures prises par les États-Unis et leur vassaux n’ont fait que le fragiliser.

Est-ce le signe de l’avènement à terme d’un monde multilatéral ? On aimerait le croire, mais ce n’est certainement pas ce que souhaitent les partisans du NOM pour qui le retour des états-nations est purement et simplement un cauchemar. Ou alors faudrait-il que ceux-ci ne soient en fait que des relais du véritable pouvoir détenu par l’oligarchie financière.

Quoi qu’il en soit, l’unilatéralisme promu par les États-Unis doit disparaître, notamment au niveau financier, même si cela doit s’accompagner de l’effondrement de cette « nation indispensable » dont la majorité du monde ne supporte plus la tyrannie.
 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
Que l’on retourne la situation dans tous les sens, rien ne peut en ressortir de positif ! On se dirige maintenant tout droit vers la fin d’un système, s’accompagnant d’une période de tumultes et de l’éclatement pur et simple de l’Europe et de ses actifs et bien entendu de tous ceux qui la composaient… Ce que je qualifierais pour être encore la solution la moins contraignante comparée à une guerre généralisée.


Nous nous dirigeons droit vers une rupture avec l’ordre mondial américain, le début de la transition du globalisme libéral de l’égocentrisme américain vers la réalité d’un monde multipolaire.

La marche de l’histoire est imparable et les tentatives de l’Occident d’imposer son nouvel ordre mondial au monde sont vouées à l’échec

Et le monde va devenir quoi , dans ce cas ?
ça fait peur . J'aime pas le changement.
 
Et le monde va devenir quoi , dans ce cas ?
ça fait peur . J'aime pas le changement.
S’il est vrai que la domination occidentale en prend un sacré coup avec l’opération spéciale russe en Ukraine , l’occident n’est pas complètement laminé et conserve une capacité de nuisance non négligeable .
L’occident , hélas pour nous , a raté toutes les opportunités qui se présentaient à lui et uniquement de sa faute :
-Raté une coexistence pacifique avec un grand pays ayant opté pour un autre type de société .
-Raté une décolonisation sereine sans violence , ni pillage post colonial ,
-Raté l’acceptation que plein de pays cherchent à s’affirmer dans l’indépendance et leur souveraineté
-Raté l’acceptation de l’émergence de puissances économiques qui lui auraient permis une occasion de développement supplémentaire obligeant ces puissances à se militariser au dépens de plein de choses et surtout de la paix simple et banale .
L’occident a semblé ces 80 dernières années être avant tout un repère de fous furieux après avoir été durant deux siècles un ramassis de dominateurs brutaux !
 
S’il est vrai que la domination occidentale en prend un sacré coup avec l’opération spéciale russe en Ukraine , l’occident n’est pas complètement laminé et conserve une capacité de nuisance non négligeable .
L’occident , hélas pour nous , a raté toutes les opportunités qui se présentaient à lui et uniquement de sa faute :
-Raté une coexistence pacifique avec un grand pays ayant opté pour un autre type de société .
-Raté une décolonisation sereine sans violence , ni pillage post colonial ,
-Raté l’acceptation que plein de pays cherchent à s’affirmer dans l’indépendance et leur souveraineté
-Raté l’acceptation de l’émergence de puissances économiques qui lui auraient permis une occasion de développement supplémentaire obligeant ces puissances à se militariser au dépens de plein de choses et surtout de la paix simple et banale .
L’occident a semblé ces 80 dernières années être avant tout un repère de fous furieux après avoir été durant deux siècles un ramassis de dominateurs brutaux !
Si c'est de l'humour t'y vas fort, sinon il faut consulter t'as un problème.
 
Moi je lirai pas je ne vais jamais sur des sites non sécurisés (http au lieu de htpps) surtout un blog obscur conseillé par un troll russe.
je comprends ( au passage, Yancine n'est pas un troll russe...juste un soutien fervent).
par contre, se renseigner sur la pensée de Douguine et lire ses livres ( et pas les extraits choisis par un autre) me semble très important en ce moment.
 
Extrait d'un article sur ce thème, écrit par par Thierry Meyssan.

Le conflit ukrainien, présenté comme une agression russe, n’est que la mise en application de la résolution 2202 du Conseil de sécurité, du 17 février 2015. Si la France et l’Allemagne n’ont pas tenu leurs engagements lors de l’Accord de Minsk II, la Russie s’est préparée durant sept ans à la confrontation actuelle. Elle avait prévu les sanctions occidentales longtemps à l’avance et n’a eu besoin que de deux mois pour les contourner. Celles-ci désorganisent la globalisation états-unienne, perturbent les économies occidentales en brisant les chaînes d’approvisionnement, en faisant refluer les dollars vers Washington et en provoquant une inflation générale, enfin en créant une crise énergétique en Occident. Les États-Unis et leurs alliés sont dans la situation de l’arroseur arrosé : ils creusent eux-mêmes leur tombe. Pendant ce temps, les recettes du Trésor russe ont crû de 32% en six mois.

Au cours des sept dernières années, il incombait aux puissances garantes de l’Accord de Minsk II (Allemagne, France, Ukraine et Russie) de le faire appliquer. Ils avaient été avalisés et légalisés par le Conseil de sécurité des Nations unies, le 17 février 2015. Mais aucun de ces États ne l’a fait, malgré les discours sur la nécessité de protéger les citoyens menacés par leur propre gouvernement.

Alors que l’on évoquait une possible intervention militaire russe, le 31 janvier 2022, le secrétaire du Conseil de sécurité nationale et de défense ukrainien, Oleksiy Danilov, défiait l’Allemagne, la France, la Russie et le Conseil de sécurité des Nations unies en déclarant : « Le respect des accords de Minsk signifie la destruction du pays. Lorsqu’ils ont été signés sous la menace armée des Russes — et sous le regard des Allemands et des Français — il était déjà clair pour toutes les personnes rationnelles qu’il était impossible de mettre en application ces documents »
 
Dernière édition:
Lorsqu’à l’issue de sept années, le nombre d’Ukrainiens tués par le gouvernement de Kiev s’éleva à plus de douze mille selon celui-ci et à plus de vingt mille selon la Commission d’enquête russe, et alors seulement, Moscou lança une « opération militaire spéciale » contre les « nationalistes intégraux » ukrainiens (c’est l’appellation qu’ils revendiquent) qualifiés de « néo-nazis ».

La Russie a déclaré dès le début de son opération qu’elle s’en tiendrait à porter secours aux populations et à « dénazifier » l’Ukraine, pas à l’occuper. Pourtant les Occidentaux l’ont accusée de tenter de prendre Kiev, de renverser le président Zelensky et d’annexer l’Ukraine ; ce que manifestement, ils n’ont jamais fait. Ce n’est qu’après l’exécution de l’un des négociateurs ukrainiens, Denis Kireev, par les services de sécurité de son propre pays (SBU) et la suspension des pourparlers par le président Volodymyr Zelensky que son homologue russe, Vladimir Poutine, a annoncé durcir ses exigences. Désormais la Fédération réclame la Novorussia, c’est-à-dire tout le sud de l’Ukraine, historiquement russe depuis la Tsarine Catherine II, à l’exception de trente-trois ans.

Il faut bien comprendre que si la Russie n’a rien fait durant sept ans, ce n’est pas parce qu’elle ait été insensible au massacre des populations russophones du Donbass, mais parce qu’elle se préparait à faire face à la prévisible riposte occidentale. Selon la citation classique du ministre des Affaires étrangères du tsar Alexandre II, le prince Alexandre Gortchakov : « L’Empereur est décidé à consacrer, de préférence, sa sollicitude au bien-être de ses sujets et à concentrer, sur le développement des ressources intérieures du pays, une activité qui ne serait déversée au dehors que lorsque les intérêts positifs de la Russie l’exigeraient absolument. On adresse à la Russie le reproche de s’isoler et de garder le silence, en présence de faits qui ne s’accordent ni avec le droit, ni avec l’équité. La Russie boude dit-on. La Russie ne boude pas. La Russie se recueille ».

Cette opération de police a été qualifiée d’« agression » par les Occidentaux. De fil en aiguille, la Russie a été dépeinte comme une « dictature » et sa politique étrangère comme un « impérialisme ». Nul ne semble avoir lu l’Accord de Minsk II, pourtant validé par le Conseil de sécurité des Nations unies. Dans une conversation téléphonique entre les présidents Poutine et Macron, révélée par l’Élysée, ce dernier manifeste même son désintérêt pour le sort de la population du Donbass, c’est-à-dire son mépris de l’Accord de Minsk II.

Aujourd’hui, les services secrets occidentaux se portent au secours des « nationalistes intégraux » ukrainiens (les « néo-nazis » selon la terminologie russe) et, au lieu de chercher une solution pacifique, tentent de détruire la Russie de l’intérieur
 
En droit international, Moscou n’a fait qu’appliquer la résolution de 2015 du Conseil de sécurité. On peut lui reprocher sa brutalité, mais ni de s’être précipité (sept ans), ni d’être illégitime (la résolution 2202). Les présidents Petro Porochenko, François Hollande, Vladimir Poutine et la chancelière Angela Merkel s’étaient engagés, dans une déclaration commune annexée à la résolution, à faire la même chose. Si l’une de ces puissances était intervenue auparavant, elle aurait pu choisir d’autres modalités d’opération, mais aucune ne l’a fait.

Le président ukrainien s’exprime pour la troisième fois devant le Conseil de sécurité par liaison vidéo, le 24 août 2022. Pourtant le règlement intérieur du Conseil fait obligation aux orateurs, hormis les fonctionnaires de l’ONU en mission, d’être présents physiquement pour prendre la parole. Le secrétariat général et la majorité des membres du Conseil ont accepté cette irrégularité, malgré l’opposition de la Russie.

En toute logique, le secrétaire général des Nations unies aurait dû rappeler à l’ordre les membres du Conseil afin qu’ils ne condamnent pas l’opération russe dont ils avaient accepté le principe sept ans plus tôt, mais qu’ils en fixent les modalités. Il ne l’a pas fait. Au contraire, le Secrétariat général, sortant de son rôle et prenant parti pour le système unipolaire, vient de donner instruction orale à tous ses hauts fonctionnaires sur des théâtres de guerre de ne plus rencontrer de diplomates russes.
 
Ce n’est pas la première fois que le Secrétariat général contrevient aux statuts des Nations unies. Lors de la guerre contre la Syrie, il avait rédigé un plan d’une cinquantaine de pages sur l’abdication du gouvernement syrien, impliquant la déchéance de la souveraineté populaire syrienne et la dé-baasification du pays. Ce texte n’a jamais été publié, mais nous l’avons analysé dans ces colonnes avec effroi. En définitive, l’envoyé spécial du secrétaire général à Damas, Staffan de Mistura, a été contraint de signer une déclaration reconnaissant sa nullité. Quoiqu’il en soit, la note du Secrétariat général interdisant aux fonctionnaires de l’ONU de participer à la reconstruction de la Syrie3 est toujours en vigueur. C’est elle qui paralyse le retour des exilés dans leur pays au grand dam non seulement de la Syrie, mais aussi du Liban, de la Jordanie et de la Turquie.

Lors de la Guerre de Corée, les États-Unis profitaient de la politique soviétique de la chaise vide pour mener leur guerre sous le drapeau des Nations unies (à l’époque, la Chine populaire ne siégeait pas au Conseil). Il y a dix ans, ils utilisaient le personnel de l’ONU pour mener une guerre totale contre la Syrie. Aujourd’hui, ils vont plus loin en prenant position contre un membre permanent du Conseil de sécurité.

Après être devenue une organisation sponsorisée par des multinationales sous Kofi Annan, l’ONU s’est transformée en une annexe du département d’État sous Ban Ki-moon et António Guterres.

La Russie et la Chine sont conscientes, comme tous les autres États, du fait que l’ONU ne remplit plus du tout sa fonction. Au contraire, l’Organisation aggrave les tensions et participe à des guerres (tout au moins en Syrie et dans la Corne de l’Afrique). Aussi Moscou et Beijing développent-ils d’autres institutions.

La Russie ne porte plus ses efforts vers les structures héritées de l’Union soviétique comme la Communauté des États indépendants, la Communauté économique eurasiatique, voire même l’Organisation du traité de sécurité collective ; ni même vers celles héritées de la guerre froide, comme l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. Non, elle se concentre vers ce qui pourra redessiner un monde multilatéral.
 
En premier lieu, la Russie met en évidence les actions économiques des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud). Elle ne les revendique pas comme ses réalisations, mais comme des efforts communs auxquels elle participe. Treize États espèrent joindre les BRICS, mais celles-ci ne sont pas, pour le moment, ouvertes à adhésion. D’ores et déjà, les BRICS ont un pouvoir bien plus important que le G7, ils agissent, tandis que depuis plusieurs années le G7 déclame qu’il fera de grandes choses que l’on ne voit jamais venir et qu’il décerne de bons et de mauvais points à ceux qui sont absents.

Surtout, la Russie pousse à une plus grande ouverture et à une profonde transformation de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Jusqu’ici, il ne s’agissait que d’une structure de contact des pays d’Asie centrale, autour de la Russie et de la Chine, pour prévenir les troubles que les services secrets anglo-saxons tentaient d’y fomenter. Petit à petit, elle a permis à ses membres de mieux se connaître. Ils ont étendu leurs travaux à d’autres questions communes. En outre, l’OCS s’est élargie, notamment à l’Inde et au Pakistan, puis à l’Iran. Dans les faits, elle incarne aujourd’hui les principes de Bandung, fondés sur la souveraineté des États et la négociation, face à ceux des Occidentaux, fondés sur la conformité à l’idéologie anglo-saxonne.


L’OCS représente les deux tiers de la population mondiale, c’est-à-dire quatre fois plus que le G7, Union européenne comprise. C’est là, et plus ailleurs, que se prennent les décisions internationales qui comptent.
 
Les Occidentaux pérorent, tandis que la Russie et la Chine avancent. J’écris bien « pérorent », car ils croient leurs gesticulations efficaces. Ainsi, les États-Unis et le Royaume-Uni, puis l’Union européenne et le Japon ont pris des mesures économiques très dures contre la Russie. Ils n’ont pas osé dire que c’était une guerre visant à maintenir leur autorité sur le monde et les ont donc désignées sous le vocable de « sanctions », bien qu’il n’y ait pas eu de tribunal, de plaidoirie de la défense, ni de sentence. Bien sûr, il s’agit de sanctions illégales car décidées hors des instances des Nations unies. Mais les Occidentaux, qui se prétendent les défenseurs de « règles internationales », n’ont que faire du Droit international.

Bien sûr, le droit de veto des cinq membres permanents du Conseil empêche que l’on prenne des sanctions contre l’un d’entre eux, mais c’est précisément parce que le but de l’ONU n’est pas de se conformer à l’idéologie anglo-saxonne, mais de préserver la paix mondiale.

Je reviens à mon propos : la Russie et la Chine avancent, mais à un rythme tout différent de celui des Occidentaux. Il s’est écoulé deux ans entre l’engagement russe d’intervenir en Syrie et le déploiement de ses soldats sur place ; deux ans qui furent utilisés à finaliser les armes qui assurèrent sa supériorité sur le champ de bataille. Il aura fallu sept ans entre l’engagement russe de Minsk II et l’intervention militaire au Donbass ; sept ans qui furent utilisés à préparer le contournement des sanctions économiques occidentales.

C’est pourquoi ces « sanctions » ne sont pas parvenues à mettre l’économie russe à genoux, mais atteignent profondément ceux qui les ont émises. Les gouvernements allemands et français prévoient de très graves problèmes énergétiques qui contraignent déjà certaines de leurs usines à tourner au ralenti et bientôt à la fermeture. Au contraire, l’économie russe est en pleine expansion. Après deux mois durant lesquels le pays ne vivait plus que sur ses stocks, le moment est venu de l’abondance. Les recettes du Trésor russe ont connu un boom de 32% au premier semestre. Non seulement le refus occidental du gaz russe a fait monter les prix au profit du premier exportateur, la Russie, mais cette entorse au discours libéral a effrayé les autres États qui, pour se rassurer, se sont tournés vers Moscou.
 
La Chine, que les Occidentaux présentent comme un vendeur de camelote faisant tomber ses proies dans une spirale d’endettement, vient d’annuler la plupart des dettes à son égard de 13 États africains.

Chaque jour nous entendons les nobles discours occidentaux et leurs accusations contre la Russie et la Chine. Mais chaque jour aussi nous constatons, si nous regardons les faits, que la réalité est inverse. Par exemple, les Occidentaux nous expliquent sans preuve que la Chine est une « dictature » et qu’elle « a incarcéré un million d’Ouïghours ». Bien que nous ne disposions pas de statistiques récentes, nous savons tous qu’il y a moins de prisonniers en Chine qu’aux USA, alors que ce pays est quatre fois moins peuplé. Ou encore, on nous explique que l’on persécute les homosexuels en Russie, alors que nous voyons de plus grandes discothèques gays à Moscou qu’à New York.

L’aveuglement occidental conduit à des situations ubuesques où les dirigeants occidentaux ne perçoivent plus l’impact de leurs contradictions.
 
Ai surtout l'impression qu'avec leur connerie , on va vers un monde polaire.

Dire que certains se moquaient des grecques et leurs débats sur le sexe des anges.
Que les pays occidentaux apprennent à RESPECTER les engagements pris !

Le monde entier est au courant de leurs mensonges permanents ! et, visiblement, ce monde entier va se liguer contre les imposteurs !

J’ai le sentiment, dans ces conflits, d’être, moi, français, chez les « méchants », contre les « gentils » ! et ça, je n’aime pas du tout !
Je préfère un monde multipolaire libre, qu’un monde unipolaire dictatorial (voire pire ) !
 

Korozif

C4H10FO2P
VIB
@Yancine C'est amusant d'entendre "monde multipolaire" sortir des cloaques qui vous servent de bouche et de vous imaginer un monde équilibré et en paix... Vous haïssez le multipolaire. La preuve, vous ne supportez pas ceux qui ne pensent pas comme vous. Vous avez étrangement une vision et une approche unipolaire dans vos relations sociales et vous rêvez de ce que vous haïssez. Logique... 😆
 
je comprends ( au passage, Yancine n'est pas un troll russe...juste un soutien fervent).
par contre, se renseigner sur la pensée de Douguine et lire ses livres ( et pas les extraits choisis par un autre) me semble très important en ce moment.
Pourtant je ne sais plus où j'ai vu des posts où ce pauvre yancine affirmait etre russe, remarque il n'est pas à un mensonge pres.
Quant à Douguine jai lu des passages et franchement ça donne pas envie de tout lire mais bon je vais essayer, comme je ne vais pas l'acheter si tu as des liens ..
 
Pourtant je ne sais plus où j'ai vu des posts où ce pauvre yancine affirmait etre russe, remarque il n'est pas à un mensonge pres.
Quant à Douguine jai lu des passages et franchement ça donne pas envie de tout lire mais bon je vais essayer, comme je ne vais pas l'acheter si tu as des liens ..
Il avait dit qu’il était russe mais c’était juste une plaisanterie. Bien qu’il semble avoir des liens avec ce pays, il s’invente peut être une vie.
 
Que les pays occidentaux apprennent à RESPECTER les engagements pris !

Le monde entier est au courant de leurs mensonges permanents ! et, visiblement, ce monde entier va se liguer contre les imposteurs !

J’ai le sentiment, dans ces conflits, d’être, moi, français, chez les « méchants », contre les « gentils » ! et ça, je n’aime pas du tout !
Je préfère un monde multipolaire libre, qu’un monde unipolaire dictatorial (voire pire ) !
Tu opposes l’occident à des dictatures (Russie, Chine, Iran)
L’alternative n’est pas très alléchante.
 
C'est la clé: Ils veulent créer un pole et soumettre ceux qu'ils jugent comme étant des vassaux dans une union slave, effectivement Douguine decrit bien le processus:

Dès le 10 février, deux semaines avant le début de l’ « opération militaire spéciale » déclenchée par Poutine, Douguine publiait un article intitulé « Pourquoi la Russie a-t-elle besoin d’une bataille en Ukraine ?

Si maintenant la Russie est capable de reprendre l’Ukraine du camp atlantique, alors notre position en tant que pôle sera fixée de manière irréversible et le monde deviendra véritablement multipolaire. La Chine est un autre pôle prêt à servir, et puis d’autres apparaîtront. Si nous cédons maintenant et succombons à la pression des atlantistes, nous ne perdrons pas seulement l’Ukraine, nous perdrons le statut de pôle.
Le 4 mars, quelques jours après le début de l’invasion russe, Douguine se réjouit et rappelle sa prophétie d’une « Union slave » regroupant l’ensemble des pays de l’ex-Union Soviétique en un seul monde slavophile et contrepoint aux « ennemis de l’Ouest ». C’est pourquoi toute l’Ukraine doit être annexée :
 
Tu opposes l’occident à des dictatures (Russie, Chine, Iran)
L’alternative n’est pas très alléchante.
@Marbeldano @Korozif @avatartine

1-On vous a piqué avec dieu sait quoi par obligation : pas de problème pour vous.
2-on vous as étiqueté avec un QRcode : vous aver accepté sans branché
3-on vous as couvert la Tronche avec un masque pour montré votre soumission : vous vois êtes exécuté par conviction.
4-vous avez réélu un président qui a tellement de casseroles qu’à côté, Pablo Escobar fait figure d’un amateur, et personne n’as montré son désaccord avec la fraude évidente.
Et bien plus encore , vous avez démontré votre total soumission et inaction collective.
Ce qui est fascinant c’est que certains comme vous attendent quelque chose de bon des démons qui les dirigent. Franchement ça frise la maladie mentale !
 
@Marbeldano @Korozif @avatartine

1-On vous a piqué avec dieu sait quoi par obligation : pas de problème pour vous.
2-on vous as étiqueté avec un QRcode : vous aver accepté sans branché
3-on vous as couvert la Tronche avec un masque pour montré votre soumission : vous vois êtes exécuté par conviction.
4-vous avez réélu un président qui a tellement de casseroles qu’à côté, Pablo Escobar fait figure d’un amateur, et personne n’as montré son désaccord avec la fraude évidente.
Et bien plus encore , vous avez démontré votre total soumission et inaction collective.
Ce qui est fascinant c’est que certains comme vous attendent quelque chose de bon des démons qui les dirigent. Franchement ça frise la maladie mentale !
Ce qui me fascine encore plus est ton émerveillement face a des dictatures qui font bien pire à leur propres citoyens (Russie/Chine/Iran)

ici c'est du pipi de chat par rapport à ce que vivent ailleurs les autres,
C'est bien pour ça que tu as (ou tes parents ont) immigrés en Occident, d'ailleurs.
 
C'est bien pour ça que tu as (ou tes parents ont) immigrés en Occident, d'ailleurs.
C'est par manque d'arguments que tu baves comme un crapaud…. ?

Il sera intéressant plus tard, une fois la civilisation occidentale effondrée, d’analyser les outils d’ingénierie sociale mis en oeuvre par les élites pour contrôler les classes politiques dans cette idéologie nauséabonde :

Nos politiciens ont tous étudiés Propaganda d’Edward Bernay et la fabrique du consentement de Chomsky ils appliquent simplement comme des fonctionnaires irresponsables.
La peur est la meilleure alliée de ces parasites.

Lorsque le peuple n’aura plus peur et qu’il sera convaincu que la loi des nombre est à son avantage, il en sera fini de ces sous hominidés.
 
C'est par manque d'arguments que tu baves comme un crapaud…. ?

Il sera intéressant plus tard, une fois la civilisation occidentale effondrée, d’analyser les outils d’ingénierie sociale mis en oeuvre par les élites pour contrôler les classes politiques dans cette idéologie nauséabonde :

Nos politiciens ont tous étudiés Propaganda d’Edward Bernay et la fabrique du consentement de Chomsky ils appliquent simplement comme des fonctionnaires irresponsables.
La peur est la meilleure alliée de ces parasites.

Lorsque le peuple n’aura plus peur et qu’il sera convaincu que la loi des nombre est à son avantage, il en sera fini de ces sous hominidés.
Le peuple, ce n'est pas toi. La majorité ne pense pas comme toi, tu es un électron pro-russe minoritaire et bien enquiquinant mais, liberté d'expression oblige, nous devrons continuer a supporter tes bêtises, contrairement a tes amis russes qui ne supportent aucune contrariété.

Tu ne prends aucun risque ici, tu ne fais preuve d'aucun courage.

Un opposant au gouvernement russe prend lui des risques et doit bien souvent quitter son pays.
 

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
VIB
Bladinaute averti
Un multipolarisme réussi a initié par la fin de l'URSS.
Les pays jusque là sous la coupe de Moscou et auxquels il était interdit de penser par eux même ont pu enfin décider librement de leur destin.
 
Le peuple, ce n'est pas toi. La majorité ne pense pas comme toi, tu es un électron pro-russe minoritaire et bien enquiquinant mais, liberté d'expression oblige, nous devrons continuer a supporter tes bêtises, contrairement a tes amis russes qui ne supportent aucune contrariété.

Tu ne prends aucun risque ici, tu ne fais preuve d'aucun courage.

Un opposant au gouvernement russe prend lui des risques et doit bien souvent quitter son pays.
La liberté d’expression est un leurre …

C’est un truc qu’on sort du chapeau et à tout bout de champ. Comme démocratie ou progrès. C’est bizarre ça ne signifie jamais la même chose pour chacun. Cette fameuse liberté n’a l’air d’être que pour ceux « qui pensent bien », donc nous ici qui papotons et réfléchissons on a l’air hors jeu non? J’ai l’impression que ça ne s’applique pas quand on veut remettre en cause certaines idées imposées. Une liberté qui a ses limites et ne marche que dans un certain sens on dirait.

En fait, elle existe cette liberté, mais il est très dangereux de s’en servir.
 
Ce qui compte pour un pouvoir, ce n’est pas de savoir s’il est démocratique ou autocratique mais s’il est sain. Il y a des autocrates sains qui se préoccupent des aspirations légitimes de leur peuple et il y a des démocrates hypocrites qui anéantissent les requêtes légitimes à coups de propagande.

Dès lors qu’un pouvoir se vautre dans la propagande, il peut façonner les pensées et imposer ses délires d’orgueil comme des réalités mais, car il y a toujours un mais, la guerre, l’austérité, l’empoisonnement sont les rançons des propagandes tandis que la souffrance ramène vers la réalité.

 
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