Moulay Yacoub est la province la plus pauvre de la région Fès-Meknès. Composée essentiellement de collectivités rurales, cette circonscription nécessite une «affirmative action» afin d’assurer un bel avenir pour ses jeunes et d’éviter les dérives de l’obscurantisme.
En fait, la vulnérabilité, ajoutée à l’analphabétisme, au chômage et à l’absence d’opportunités d’emploi, constitue un cocktail Molotov auquel les services centraux font très attention. D’ailleurs, ces derniers priorisent l’insertion des jeunes et leur épanouissement ainsi que l’appui des femmes en difficulté. L’ambition étant d’endiguer les phénomènes de société.
L’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) a accordé un intérêt particulier à cette frange de la population. 14 ans après le lancement de l’initiative royale, le manque d’infrastructures est toujours flagrant, et ce malgré les efforts. Pour y remédier, les autorités de la province ont mis en place un programme visant à réduire les disparités spatiales et sociales pour un investissement global de l’ordre de 536 millions de DH. Etalé sur la période 2017-2023, celui-ci est supervisé par Noureddine Abboud, gouverneur de la province, en personne.
Prioritaires dans son action, les chantiers de l’éducation, la santé ainsi que le désenclavement de la province, nécessiteront quelque 246 millions de DH. Ce montant, qui représente 46% des crédits alloués à la province, est financé par le Fonds de développement rural et des zones de montagne (FDRZM), avec une moyenne annuelle de 30 millions de DH sur 7 ans (2017-2023).
Sur la même période, le Conseil régional Fès-Meknès consacre plus de 214 millions de DH à Moulay Yacoub. Plus de 90% des ressources financières de la région iront ainsi à l’aménagement des routes et pistes. Le reste (près de 20 millions de DH) financera des projets d’électrification et d’eau potable. Certes, ce montant (20 millions de DH) est faible vu la demande de la population.
Mais pas de craintes, puisque l’INDH et l’Office national d’eau et d’électricité (ONEE) prennent en charge d’autres projets d’envergure. En détails, la première consacrera 67,24 millions de DH à la province. En plus des projets d’eau et d’électrification, l’Initiative royale prend en charge la réalisation de projets d’éducation, santé, et routes. Pour sa part, l’Office s’engage sur 8,4 millions de DH pour des projets concernant son champ d’intervention (eau et électricité)..............................................
https://www.leconomiste.com/article...mi-milliard-de-dh-pour-reduire-les-disparites
En fait, la vulnérabilité, ajoutée à l’analphabétisme, au chômage et à l’absence d’opportunités d’emploi, constitue un cocktail Molotov auquel les services centraux font très attention. D’ailleurs, ces derniers priorisent l’insertion des jeunes et leur épanouissement ainsi que l’appui des femmes en difficulté. L’ambition étant d’endiguer les phénomènes de société.
L’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) a accordé un intérêt particulier à cette frange de la population. 14 ans après le lancement de l’initiative royale, le manque d’infrastructures est toujours flagrant, et ce malgré les efforts. Pour y remédier, les autorités de la province ont mis en place un programme visant à réduire les disparités spatiales et sociales pour un investissement global de l’ordre de 536 millions de DH. Etalé sur la période 2017-2023, celui-ci est supervisé par Noureddine Abboud, gouverneur de la province, en personne.
Prioritaires dans son action, les chantiers de l’éducation, la santé ainsi que le désenclavement de la province, nécessiteront quelque 246 millions de DH. Ce montant, qui représente 46% des crédits alloués à la province, est financé par le Fonds de développement rural et des zones de montagne (FDRZM), avec une moyenne annuelle de 30 millions de DH sur 7 ans (2017-2023).
Sur la même période, le Conseil régional Fès-Meknès consacre plus de 214 millions de DH à Moulay Yacoub. Plus de 90% des ressources financières de la région iront ainsi à l’aménagement des routes et pistes. Le reste (près de 20 millions de DH) financera des projets d’électrification et d’eau potable. Certes, ce montant (20 millions de DH) est faible vu la demande de la population.
Mais pas de craintes, puisque l’INDH et l’Office national d’eau et d’électricité (ONEE) prennent en charge d’autres projets d’envergure. En détails, la première consacrera 67,24 millions de DH à la province. En plus des projets d’eau et d’électrification, l’Initiative royale prend en charge la réalisation de projets d’éducation, santé, et routes. Pour sa part, l’Office s’engage sur 8,4 millions de DH pour des projets concernant son champ d’intervention (eau et électricité)..............................................
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