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[QUOTE="Drianke, post: 16430439, member: 174325"] [SIZE=7][B]«Gilets jaunes»: vive passe d’armes à l’Assemblée entre Ferrand et Mélenchon[/B][/SIZE] «On ne peut pas passer son temps à stigmatiser la violence, et donner ce spectacle de violence verbale!», s’est agacé Ferrand. Les envolées sont parfois lyriques... Et souvent violentes. Les habituelles questions-réponses de l’Assemblée nationale ont viré quelques minutes au charivari, mercredi, lorsqu’ont été abordées les dernières manifestations de «gilets jaunes». En pleine réponse du secrétaire d’État à l’Intérieur, Laurent Nuñez, l’Insoumis François Ruffin a réclamé plusieurs fois, en hurlant depuis son siège, [I]«un mot, un mot de compassion![/I]» pour le manifestant gravement blessé à l’œil par un projectile samedi, à Paris. Un échange tendu à l'Assemblée nationale entre Ferrand et Mélenchon - Regarder sur Figaro Live «[I]M. Ruffin, je vous rappelle au règlement, et ce sera inscrit au procès-verbal[/I]», lui a lancé le président de l’Assemblée, Richard Ferrand, après plusieurs rappels à l’ordre. Une fois la réponse de Laurent Nuñez terminée, la situation s’est envenimée. Jean-Luc Mélenchon et l’élue macroniste Michèle Peyron se sont interpellés, chacun debout, à quelques mètres d’écart, en se pointant du doigt. «[I]Asseyez-vous![/I]», a lancé Richard Ferrand à la «marcheuse». «[I]M. le président Mélenchon, regagnez votre place, un peu de calme![/I]», s’est-il époumoné. «[I]On ne peut pas passer son temps à stigmatiser la violence, et donner ce spectacle de violence verbale. Sachez vous tenir![/I]» [SIZE=6][B]«Désordre organisé»[/B][/SIZE] La tension s’est nouée autour de la question posée par l’élu Ugo Bernalicis. L’Insoumis a dénoncé une remise en cause du «[I]droit de manifester[/I]», après l’interdiction d’une manifestation parisienne de «gilets jaunes» marquée par des violences samedi. Il a aussi réclamé le départ du préfet de police de Paris, Didier Lallement, l’accusant d’appliquer la «[I]consigne[/I]» de l’exécutif de «[I]gouverner par la peur[/I]». En réponse, le secrétaire d’État à l’Intérieur a jugé «[I]légitimes[/I]» l’intervention des forces de l’ordre puis l’interdiction de la manifestation, face à «[I]des individus extrêmement violents[/I]». «[I]La hiérarchie de la Préfecture de police, sous votre responsabilité, doit assumer d’avoir organisé le désordre[/I]», a répondu l’Insoumis, usant du «droit de réplique» que lui confère le nouveau règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Quelques minutes plus tard, le premier ministre, Édouard Philippe, a tenu à revenir sur l’appel au départ du préfet de police. «[I]Mettre en cause nommément un fonctionnaire, qui exerce sa mission au service de l’État, et qui, dans cet hémicycle, ne peut pas répondre (...), me semble ne pas exactement correspondre aux exigences (...) d’une démocratie mûre[/I]», a-t-il déclaré à l’adresse des Insoumis. [/QUOTE]
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