Mustapha Ramid fera don de ses organes après sa mort

Le ministre de la Justice et des Libertés Mustapha Ramid, vient d'annoncer que lui comme ses épouses feraient don de leurs organes après leur mort, en faveur de malades en attente de transplantation. Le ministre a indiqué cela à la faculté de médecine de Casablanca où sa fille soutenait sa thèse de doctorat autour du thème "les opérations chirurgicales pour l'implantation d'organes humains". Mustapha Ramid a demandé à cette occasion au président du tribunal de première instance de Casablanca présent, (...)-Société/ Religion, Santé, Mustapha Ramid, Gouvernement marocain

Mustapha Ramid fera don de ses organes après sa mort ...
 
T'es devenu un savant en islam depuis la dernière fois que t'as posté ?

Il n'y a rien absolument aucun consensus sur le fait que le don d'organe soit haram

J'avoue que les questions religieuses sont loin d'être mon cheval de bataille. Mais, j'ai souvenir que c'est interdit par l'Islam. Y aurait-il un fqih dans le forum pour élucider cette question ?!
 
peux tu raisonner ?

On ne mutile pas la dépouille pour en faire un puzzle ...on ne prélève que les organes en bon état et transplantable !

Aucun verset du Coran n’interdit aux musulmans de recevoir ou de donner un organe prélevé.


Je fais confiance à ma mémoire de potache boutonneux. Aussi loin que vont mes souvenirs, j'ai entendu quelque part une autorité religieuse avancer que c'est interdit.
 
A partir du moment où notre corps est reconstruit "jusqu'au bout des doigts" et qu'en plus on sauve des vies :)

Ca m'a l'air, au contraire, d'un acte d'honneur et de courage qu'on pourrait même qualifier d'islamique.:)
 
j'ai une question pour ceux qui sont réticents ou contre les greffes d'organes.

votre enfant a besoin d'un organe, vous le laisser mourir sous pretexte que "c'est la volonté de Dieu" ou accepterez vous une greffe qui peut le sauver.

si on considère un prélevement d'organe sur une personne décédée comme de la multilation, qu'est ce qui la differencie d'une opération chirurgicale de son vivant?

PS: je porte la carte du don d'organes avec mon permis de conduire, je ne sais pas s'il y a des pièces de rechange qui peuvent être utiles à d'autres, mais avant que je soit réduit en cendre et déspersé quelque part, peut être qu'une petite piece de rechange qui traine quelque part servira à une personne de survivre le temps de lui trouver la bonne.
 
Faut-il une pub pour un tel acte humaine
si chaque riche paye el hadj ou el orma pour un pauvre la
je quitte mon travail au garde à vous pour les saluer
 
le don d'organe na pas besoin de PUB
Individuel


ce n'est pas une question de pub, mais d'information et de sensibilisation !

http://www.yabiladi.com/articles/details/7184/greffes-d-organes-diagnostic-severe-pour.html

Au cours des 20 dernières années, moins de 250 interventions ont été pratiquées, soit une moyenne de moins de 3 greffes par an, alors qu’il y aurait actuellement pas moins de 10 000 demandeurs. L’absence de donneurs pose donc un gros problème.

Une procédure bcp trop lourde :

Comment être donneur ?

Selon ce que nous a expliqué le Pr Ramdani, les personnes désirant faire don de leurs organes doivent se rendre aux tribunaux de première instance de leurs villes de résidence, où deux registres sont mis à leur disposition. L’un qui atteste qu’ils sont bien disposés à faire don de leurs organes en cas de décès ou de mort cérébrale. Le deuxième est un registre de refus. Le signer implique que même en cas de décès, les organes ne seront pas prélevés.
« Lorsqu’un admet un patient qui n’a signé aucun registre, ou qui est inscrit sur le registre des admissions, il faut demander l’avis de la famille avant d’effectuer le prélèvement. Lorsqu’il est inscrit sur le registre de refus, on ce n’est même pas la peine de soumettre une demande à la famille, car il s’y est déjà opposé de son vivant. » Pour le Pr Ramdani, s’il est important de s’inscrire sur les registres de don, il est encore plus important de faire part de sa position à sa famille.


Un tabou à briser

Le Pr Ramdani nous a également confié que ce n’est qu’en 2010 qu’ont eu lieu les premières greffes à partir de donneurs en état de mort cérébrale. Jusqu’à présent, seuls 4 patients ont pu en bénéficier, d’après le quotidien Aufait. Dans de nombreux cas, « les familles veulent préserver l’intégrité du corps », nous explique le Pr Amal Bourquia, néphrologue, et fondatrice de l'Association REIN de lutte contre les maladies rénales.

Pour beaucoup, poursuit-elle, il est surtout question que la dépouille du défunt soit bien présentée. « Beaucoup pensent que le prélèvement d’organes va à l’encontre de la religion. Il faut donc prendre le temps de leur expliquer » précise le Pr Bourquia.
 
ce n'est pas une question de pub, mais d'information et de sensibilisation !

http://www.yabiladi.com/articles/details/7184/greffes-d-organes-diagnostic-severe-pour.html

Au cours des 20 dernières années, moins de 250 interventions ont été pratiquées, soit une moyenne de moins de 3 greffes par an, alors qu’il y aurait actuellement pas moins de 10 000 demandeurs. L’absence de donneurs pose donc un gros problème.

Une procédure bcp trop lourde :

Comment être donneur ?

Selon ce que nous a expliqué le Pr Ramdani, les personnes désirant faire don de leurs organes doivent se rendre aux tribunaux de première instance de leurs villes de résidence, où deux registres sont mis à leur disposition. L’un qui atteste qu’ils sont bien disposés à faire don de leurs organes en cas de décès ou de mort cérébrale. Le deuxième est un registre de refus. Le signer implique que même en cas de décès, les organes ne seront pas prélevés.
« Lorsqu’un admet un patient qui n’a signé aucun registre, ou qui est inscrit sur le registre des admissions, il faut demander l’avis de la famille avant d’effectuer le prélèvement. Lorsqu’il est inscrit sur le registre de refus, on ce n’est même pas la peine de soumettre une demande à la famille, car il s’y est déjà opposé de son vivant. » Pour le Pr Ramdani, s’il est important de s’inscrire sur les registres de don, il est encore plus important de faire part de sa position à sa famille.


Un tabou à briser

Le Pr Ramdani nous a également confié que ce n’est qu’en 2010 qu’ont eu lieu les premières greffes à partir de donneurs en état de mort cérébrale. Jusqu’à présent, seuls 4 patients ont pu en bénéficier, d’après le quotidien Aufait. Dans de nombreux cas, « les familles veulent préserver l’intégrité du corps », nous explique le Pr Amal Bourquia, néphrologue, et fondatrice de l'Association REIN de lutte contre les maladies rénales.

Pour beaucoup, poursuit-elle, il est surtout question que la dépouille du défunt soit bien présentée. « Beaucoup pensent que le prélèvement d’organes va à l’encontre de la religion. Il faut donc prendre le temps de leur expliquer » précise le Pr Bourquia.


Pour moi c'est une PUB
lorsqu'elle est nominative
D'acord pour l'information et de sensibilisation
mais pas afficher sa personnalité.
 
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