L'association Robin des Bois va porter plainte pour pollution et abandon de déchets après le naufrage du Grande America. Le navire italien a coulé mardi au large des côtes du Finistère.
L'association écologiste Robin des Bois a annoncé son intention de porter plainte après le naufrage du navire de commerce italien "Grande America".
Après deux jours d'incendie, le bateau a coulé mardi 12 mars à plus de 300 kilomètres au large des côtes finistériennes.
"Le bateau a coulé à 15h26 par 4.600 m de fond", à environ 333 km des côtes françaises, soit en zone économique exclusive française, a précisé la préfecture maritime de l'Atlantique. Le navire transportait des conteneurs pleins et des véhicules, tant de matières polluantes, en plus de son propre carburant.
Selon France Bleu, l'association Robin des Bois redoute la pollution des côtes bretonnes : "D'après nos estimations, il y a entre 2 000 et 2 500 tonnes de carburants, de lubrifiants, de produits pétroliers, etc. On est très inquiets pour l'écosystème. [...] On peut s'attendre dans les jours qui viennent à des arrivées diffuses de boulettes de pétrole sur le littoral", commente pour la radio locale, Jacky Bonnemain, porte-parole de l'association.
actuorange
L'association écologiste Robin des Bois a annoncé son intention de porter plainte après le naufrage du navire de commerce italien "Grande America".
Après deux jours d'incendie, le bateau a coulé mardi 12 mars à plus de 300 kilomètres au large des côtes finistériennes.
"Le bateau a coulé à 15h26 par 4.600 m de fond", à environ 333 km des côtes françaises, soit en zone économique exclusive française, a précisé la préfecture maritime de l'Atlantique. Le navire transportait des conteneurs pleins et des véhicules, tant de matières polluantes, en plus de son propre carburant.
Selon France Bleu, l'association Robin des Bois redoute la pollution des côtes bretonnes : "D'après nos estimations, il y a entre 2 000 et 2 500 tonnes de carburants, de lubrifiants, de produits pétroliers, etc. On est très inquiets pour l'écosystème. [...] On peut s'attendre dans les jours qui viennent à des arrivées diffuses de boulettes de pétrole sur le littoral", commente pour la radio locale, Jacky Bonnemain, porte-parole de l'association.
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