Neuf membres du pcf et des jeunes communistes exclus ou suspendus après des accusations de viols et d'agressions sexuelles

Des sanctions et une cellule d'écoute. Neuf personnes ont été exclues ou suspendues du PCF et du Mouvement des jeunes communistes de France (MJCF) depuis la publication par la presse de plusieurs témoignages de militantes disant avoir été violées ou agressées. Les deux organisations ont annoncé, mercredi 10 avril, par communiqué, avoir par ailleurs signé une convention avec le Collectif féministe contre le viol (CFCV).
Sollicitée par l'AFP, la direction du PCF a précisé que depuis les révélations dans la presse, à partir de fin février, quatre membres du PCF et du MJCF ont été exclus, tandis que cinq autres ont été suspendus. L'association CFCV doit apporter "notamment un soutien moral, matériel et juridique" aux victimes. Les deux organisations ont aussi ouvert une "cellule d'écoute indépendante, externe au PCF, afin de recueillir la parole des victimes, en toute indépendance".
L'Obs avait notamment révélé qu'à la tribune du dernier congrès du MJCF, le 27 janvier, deux coordinateurs nationaux avaient été nommément accusés par un groupe de militants de "protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu'elles quittent l'organisation".
 
Des sanctions et une cellule d'écoute. Neuf personnes ont été exclues ou suspendues du PCF et du Mouvement des jeunes communistes de France (MJCF) depuis la publication par la presse de plusieurs témoignages de militantes disant avoir été violées ou agressées. Les deux organisations ont annoncé, mercredi 10 avril, par communiqué, avoir par ailleurs signé une convention avec le Collectif féministe contre le viol (CFCV).
Sollicitée par l'AFP, la direction du PCF a précisé que depuis les révélations dans la presse, à partir de fin février, quatre membres du PCF et du MJCF ont été exclus, tandis que cinq autres ont été suspendus. L'association CFCV doit apporter "notamment un soutien moral, matériel et juridique" aux victimes. Les deux organisations ont aussi ouvert une "cellule d'écoute indépendante, externe au PCF, afin de recueillir la parole des victimes, en toute indépendance".
L'Obs avait notamment révélé qu'à la tribune du dernier congrès du MJCF, le 27 janvier, deux coordinateurs nationaux avaient été nommément accusés par un groupe de militants de "protéger des agresseurs depuis plusieurs années en mettant systématiquement le blâme sur les victimes pour qu'elles quittent l'organisation".
DSK n'est pas le seul violeur de France, chaque année plus de 75000 viols sont commis dans ce pays, des chiffres de guerres dont les médias ne parlent pas pour sauver l'image du pays du "glamour" sur laquelle la France fait des millions d'euros de recette touristique. Les femmes dans ce pays sont livrées à elle meme, pressions, harcèlements, attouchements, réifications et toutes sortes d'immondes agressions sexuelles.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
DSK n'est pas le seul violeur de France, chaque année plus de 75000 viols sont commis dans ce pays, des chiffres de guerres dont les médias ne parlent pas pour sauver l'image du pays du "glamour" sur laquelle la France fait des millions d'euros de recette touristique. Les femmes dans ce pays sont livrées à elle meme, pressions, harcèlements, attouchements, réifications et toutes sortes d'immondes agressions sexuelles.

Je doute que ce soit beaucoup mieux ailleurs. Les mecs sont des mecs, quel que soit le pays. La pression sociale peut être plus ou moins forte pour décourager les femmes de porter plainte, sans parler des enquêtes policières, des procès, de la législation, qui désavantage les femmes victimes. Au Québec, il y a 0,3% des agressions sexuelles qui aboutissent à une condamnation au tribunal! Sans compter qu’on accorde beaucoup trop d’attention aux faux positifs (accusations mensongères) et pas assez aux faux négatifs (crimes impunis).
 
Je doute que ce soit beaucoup mieux ailleurs. Les mecs sont des mecs, quel que soit le pays. La pression sociale peut être plus ou moins forte pour décourager les femmes de porter plainte, sans parler des enquêtes policières, des procès, de la législation, qui désavantage les femmes victimes. Au Québec, il y a 0,3% des agressions sexuelles qui aboutissent à une condamnation au tribunal! Sans compter qu’on accorde beaucoup trop d’attention aux faux positifs (accusations mensongères) et pas assez aux faux négatifs (crimes impunis).
C'est un discours d'extrémiste féministes complètement débile, ce n'est pas une question de mec, mais d'organisation sociale et surtout d'éducation.
Quand un mec est mal éduqué, quand il a les mauvaises valeurs et une vision du monde démonique, il suffit d'une femme accessible, dans un contexte ou elle a aucune protection pour que ce monstre passe au crime.
Par contre tu as raison sur le fait que l'écrasante majorité des viols ne sont pas condamnés et ce pour la simple raison que la preuve est très difficile à établir, surtout si le criminel a un minimum d'intelligence.
 
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