Nicolas Sarkozy:« La France est un pays où il n'y a pas de place pour la Burka

Non ne te justifie pas, ce que tu écris suffit.

Je ne me suis jamais prétendu expert en arts de la guerre.

Je me limite a réaffirmer qu'une "masse" soulevée par "l'Islam" correspond a du fanatisme religieux.

Au même titre que les croisades en son jour.

Dans les deux cas les but "avoués" sont peu "avouables"


Revois ta définition du fanatisme alors... tu détournes ce que j'ai dis, c'est pas honnete.

Et si tu n'y connais rien en stratégie de la guerre abstiens toi d'en parler et de traiter tous les résistants de fanatiques sous entendu terroristes, j'ai bien saisie le fond de ta pensée...
 
Revois ta définition du fanatisme alors... tu détournes ce que j'ai dis, c'est pas honnete.

Et si tu n'y connais rien en stratégie de la guerre abstiens toi d'en parler et de traiter tous les résistants de fanatiques sous entendu terroristes, j'ai bien saisie le fond de ta pensée...

Ahhhh tu deviens "devin" maintenant ?

Les résistants... c'est une race qui n'a rien a voir avec les fanatiques religieux ne t'en déplaise.
 
Je suis douer pour cerner les gens...que veux tu...

Allez dis le je vois que ça te démange, dis le fond de ta penser sur les résistants musulmans...ce sont des té...
 
Je suis douer pour cerner les gens...que veux tu...

Allez dis le je vois que ça te démange, dis le fond de ta penser sur les résistants musulmans...ce sont des té...

Disons que tu "crois" avoir ce don... c'est juste ... une illusion.

Ceci dit, il y a résistants et résistants en effet, qu'ils soient musulmans ou pas musulmans.

Et pour moi un résistant qui s'attaque a des civils.... non... ce n'est pas un résistant, c'est en effet autre chose.

Un terroriste c'est encore autre chose, et sans doute le fanatisme atteint son apogée s'il s'agit d'un acte terroriste, avec mort du terroriste en bombe humaine.

Mais celui là n'est pas musulman, tout le monde le sait, le suicide serait proscrit en Islam.
 
A l'unanimité, les juristes consultés par la mission d'information sur la pratique du port du voile intégral sont d'avis que l'ordre constitutionnel français exclut qu'une loi interdise le niqab et même le burqa (Le Monde, 13/11/2009, page 13). Voici un extrait de l'intervention de Monsieur de Bréchillon, professeur de droit public, devant la mission le 7 octobre dernier.

«*Le coeur de la dignité de la femme n'est-il pas précisément contenu dans l'exercice de son libre-arbitre, de sa liberté, y compris celle de porter la burqa si elle l'entend ? Mais vous demanderez : qu'en est-il des personnes, et notamment des femmes, qui ne sont pas vraiment libres ?
Je n'ai pas de réponse rassurante et confortable à cette question. Mais j'ai une réponse politique et juridique. Nous savons que, bien souvent, la liberté est une fiction ; que beaucoup de gens ne sont pas réellement libres ― d'ailleurs pour de multiples raisons, familiales, sociales, économiques, ou autres. Mais cela ne change pas grand-chose à notre problème précis. Le lot des démocraties est forcément de vivre dans la fiction du libre-arbitre des gens, même si nous savons que cette fiction en est bien une. Et cela, parce que nous ne pouvons ni ne savons faire autrement. (...)
La liberté est une fiction. Mais c'est une fiction que les démocraties s'honorent de ne renverser que si elles ont de très bonnes raisons de le faire, et de ne renverser qu'en usant de procédures contraignantes, afin de doter la personne intéressée des meilleures garanties de protection, comme dans la mise sous tutelle ou dans l'hospitalisation d'office par exemple.
Hors ces champs étroits, la fiction fonctionne et doit fonctionner toujours. C'est elle qui nous préserve de voir se constituer en droit des classes de sous-hommes. Ou, ici, de sous-femmes.
J'ignore combien de femmes sous burqa sont effectivement libres de leur décision. Certaines le sont ; d'autres ne le sont pas. (...) Mais en l'état actuel du droit et probablement de la philosophie politique de nos démocraties, il me semble difficile de décider à leur place si elles sont libres ou non. La démocratie comporte le risque de vivre avec des monstres qui nuisent à eux-mêmes. C'est infiniment triste. Mais nous ne pouvons pas envisager de les priver de leur liberté sans contredire l'un des principes d'organisation les plus importants de nos sociétés modernes. (...)
Si elle était votée, l'interdiction de la burqa pourrait être déclarée illégitime par de nombreux juges et il y aurait de multiples contentieux, du tribunal correctionnel à la Cour européenne de Strasbourg en passant par le Conseil constitutionnel.*»

C'est la position d'un technicien du droit qui ne présente pas de sympathie pour l'islam (cf. des monstres).
 
Si ça peut te rassurer...

Tu ne réponds pas, donnes des exemples concrets au lieu de bricoler des mots qui n'ont aucun sens.

Et pourtant... j'ai bien spécifié ce que je veux dire.

Plus clair pas possible.

Tu veux à tout prix me faire dire que musulman = terroriste c'est ça ?

Et bien tu vas en être déçue, car ce n'est pas ce que je pense.
 
Tu concatenes des mots qui n'expliquent rien, c'est ta pensée personelle que tu exprimes voilà pourquoi tu es incapable de prendre un exemple et de le developper, rih wa rih.
 
Tu concatenes des mots qui n'expliquent rien, c'est ta pensée personelle que tu exprimes voilà pourquoi tu es incapable de prendre un exemple et de le developper, rih wa rih.

Normal non ? chacun exprime ça... sa pensée personnelle sur un sujet donné. Toi y compris d'ailleurs.

Maintenant si tu veux un "exemple" dis moi celui qui te ferait plaisir... je m'efforcerai de te donner "ma pensée personnelle" sur celui là.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
A l'unanimité, les juristes consultés par la mission d'information sur la pratique du port du voile intégral sont d'avis que l'ordre constitutionnel français exclut qu'une loi interdise le niqab et même le burqa (Le Monde, 13/11/2009, page 13). Voici un extrait de l'intervention de Monsieur de Bréchillon, professeur de droit public, devant la mission le 7 octobre dernier.

«*Le coeur de la dignité de la femme n'est-il pas précisément contenu dans l'exercice de son libre-arbitre, de sa liberté, y compris celle de porter la burqa si elle l'entend ? Mais vous demanderez : qu'en est-il des personnes, et notamment des femmes, qui ne sont pas vraiment libres ?
Je n'ai pas de réponse rassurante et confortable à cette question. Mais j'ai une réponse politique et juridique. Nous savons que, bien souvent, la liberté est une fiction ; que beaucoup de gens ne sont pas réellement libres ― d'ailleurs pour de multiples raisons, familiales, sociales, économiques, ou autres. Mais cela ne change pas grand-chose à notre problème précis. Le lot des démocraties est forcément de vivre dans la fiction du libre-arbitre des gens, même si nous savons que cette fiction en est bien une. Et cela, parce que nous ne pouvons ni ne savons faire autrement. (...)
La liberté est une fiction. Mais c'est une fiction que les démocraties s'honorent de ne renverser que si elles ont de très bonnes raisons de le faire, et de ne renverser qu'en usant de procédures contraignantes, afin de doter la personne intéressée des meilleures garanties de protection, comme dans la mise sous tutelle ou dans l'hospitalisation d'office par exemple.
Hors ces champs étroits, la fiction fonctionne et doit fonctionner toujours. C'est elle qui nous préserve de voir se constituer en droit des classes de sous-hommes. Ou, ici, de sous-femmes.
J'ignore combien de femmes sous burqa sont effectivement libres de leur décision. Certaines le sont ; d'autres ne le sont pas. (...) Mais en l'état actuel du droit et probablement de la philosophie politique de nos démocraties, il me semble difficile de décider à leur place si elles sont libres ou non. La démocratie comporte le risque de vivre avec des monstres qui nuisent à eux-mêmes. C'est infiniment triste. Mais nous ne pouvons pas envisager de les priver de leur liberté sans contredire l'un des principes d'organisation les plus importants de nos sociétés modernes. (...)
Si elle était votée, l'interdiction de la burqa pourrait être déclarée illégitime par de nombreux juges et il y aurait de multiples contentieux, du tribunal correctionnel à la Cour européenne de Strasbourg en passant par le Conseil constitutionnel.*»

C'est la position d'un technicien du droit qui ne présente pas de sympathie pour l'islam (cf. des monstres).



Il résume bien les choses ...

Même si on n'apprécie pas une chose, au nom d'une certaine liberté et du droit qui en découle dans un pays régie par des lois et une "égalité" devant elle, on est libre de se promener en superman, en burka ou en bou renchaa

on est libre de faire des caricatures..
 
Normal non ? chacun exprime ça... sa pensée personnelle sur un sujet donné. Toi y compris d'ailleurs.

Maintenant si tu veux un "exemple" dis moi celui qui te ferait plaisir... je m'efforcerai de te donner "ma pensée personnelle" sur celui là.

Ca ne m'interesse plus, semes ta propagande islamophobe et sioniste comme il te plaira, tu es insignifiant, je sais cerner comme je t'ai dit, les gens comme toi me repugnent, et...bon vent...
 

astronome

indépendance
A l'unanimité, les juristes consultés par la mission d'information sur la pratique du port du voile intégral sont d'avis que l'ordre constitutionnel français exclut qu'une loi interdise le niqab et même le burqa (Le Monde, 13/11/2009, page 13). Voici un extrait de l'intervention de Monsieur de Bréchillon, professeur de droit public, devant la mission le 7 octobre dernier.

«*Le coeur de la dignité de la femme n'est-il pas précisément contenu dans l'exercice de son libre-arbitre, de sa liberté, y compris celle de porter la burqa si elle l'entend ? Mais vous demanderez : qu'en est-il des personnes, et notamment des femmes, qui ne sont pas vraiment libres ?
Je n'ai pas de réponse rassurante et confortable à cette question. Mais j'ai une réponse politique et juridique. Nous savons que, bien souvent, la liberté est une fiction ; que beaucoup de gens ne sont pas réellement libres ― d'ailleurs pour de multiples raisons, familiales, sociales, économiques, ou autres. Mais cela ne change pas grand-chose à notre problème précis. Le lot des démocraties est forcément de vivre dans la fiction du libre-arbitre des gens, même si nous savons que cette fiction en est bien une. Et cela, parce que nous ne pouvons ni ne savons faire autrement. (...)
La liberté est une fiction. Mais c'est une fiction que les démocraties s'honorent de ne renverser que si elles ont de très bonnes raisons de le faire, et de ne renverser qu'en usant de procédures contraignantes, afin de doter la personne intéressée des meilleures garanties de protection, comme dans la mise sous tutelle ou dans l'hospitalisation d'office par exemple.
Hors ces champs étroits, la fiction fonctionne et doit fonctionner toujours. C'est elle qui nous préserve de voir se constituer en droit des classes de sous-hommes. Ou, ici, de sous-femmes.
J'ignore combien de femmes sous burqa sont effectivement libres de leur décision. Certaines le sont ; d'autres ne le sont pas. (...) Mais en l'état actuel du droit et probablement de la philosophie politique de nos démocraties, il me semble difficile de décider à leur place si elles sont libres ou non. La démocratie comporte le risque de vivre avec des monstres qui nuisent à eux-mêmes. C'est infiniment triste. Mais nous ne pouvons pas envisager de les priver de leur liberté sans contredire l'un des principes d'organisation les plus importants de nos sociétés modernes. (...)
Si elle était votée, l'interdiction de la burqa pourrait être déclarée illégitime par de nombreux juges et il y aurait de multiples contentieux, du tribunal correctionnel à la Cour européenne de Strasbourg en passant par le Conseil constitutionnel.*»

C'est la position d'un technicien du droit qui ne présente pas de sympathie pour l'islam (cf. des monstres).
Oui si on part du principe que les femmes qui portent la Burka , la porte de manière volontaire ... ce dont on est en droit de douter pour plus de la majorité d'entre elles.
 
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