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Notions coranique du bien et du mal
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[QUOTE="AncienMembre, post: 15159020"] Désaccord. Pour vérifier ce principe de base, tes exemples et la les raisonnements qui les étayent sont discutables. Ce n’est pas le meurtre qui est toléré ici par les systèmes que tu évoques à travers les notions que tu énumères. Mais [B]le fait d’ôter la vie[/B], et dans des circonstances spécifiques. Ce fait d’ôter la vie prend une qualification particulière en fonction du contexte : avortement quand il s’agit de retirer le fœtus de l’utérus d’une femme sous certaines conditions ; exécution capitale quand elle résulte d’une condamnation prononcée par une autorité investie de ce pouvoir ; euthanasie quand il s’agit de faire mourir une personne en fin de vie (pratique, encore une fois, enfermée dans des conditions strictes). Le meurtre quant à lui, répond à une définition qui ne répond pas à celles qu’on vient d’évoquer. Il est question ici de tuer, par quelque moyens que ce soit (élément matériel) volontairement (élément moral). On peut parler aussi d’homicide ou d’assassinat. Le seul point commun avec les pratiques citées plus haut est, comme j’ai dit, le fait d’ôter la vie. Un avortement, du moins du point de vue du droit français, lorsqu’il est pratiqué selon le régime qui lui est applicable, n’est pas un meurtre. De même pour l’euthanasie, la peine de mort etc. Des circonstances (on parle de « faits justificatifs) empêchent la qualification de meurtre. Soit, certains systèmes de pensées refusent ce "raffinement" dans la qualification du fait d'ôter la vie et mettent tout dans le même sac (meurtre). Cependant, à ne considérer que le meurtre dans son sens restreint, c'est à dire sans "faits justificatifs" (guerre, but thérapeutique ou palliatif etc), bon courage pour trouver un système social qui l'autorise. Même remarque pour tes autres exemples. Tentons simplement de définir le vol. Le vol est le fait de soustraire frauduleusement le bien d’autrui. L’une des conditions de qualification de vol est donc bien qu’il porte sur une chose appropriée. S’il n’y a pas de propriété (comme dans ton exemple de tribus), [B]il ne peut donc y avoir de vol.[/B] Difficile de dire que quelque chose qui ne peut exister soit tolérée. Mais on peut essayer d’aller plus loin dans cet exemple et « forcer » la qualification de vol. Admettons que dans ta tribu, quelqu’un s’attribue privativement un bien de la collectivité : il se le garde pour lui et en refuse l’usage aux autres. Si la communauté réagit et le sanctionne, ce sera pour s’être….approprié indûment le bien d’autrui, à savoir celui de tous. Faites sortir le vol par la porte, il revient par la fenêtre. Il s’agit donc bien d’un comportement incriminé… D’après ce qui précède, le meurtre dans le sens d’homicide ou d’assassinat ainsi que le vol comme soustraction frauduleuse de la chose d’autrui sont bien des interdits qui reflètent une certaine constance. On peut donc parler d’incriminations universelles Tout au moins tes exemples n’ont pas réussi à établir le contraire. [/QUOTE]
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