11/3/2014
« Une succession malencontreuse d’événements« : c’est ainsi que Laurent Fabius (ministre des Affaires étrangères français) a qualifié, en Conseil des ministres, la crise diplomatique entre le Maroc et la France.
En visite à Paris le 20 février, le patron du contre-espionnage marocain, Abdellatif Hammouchi, s’était vu notifier, on le sait, une convocation judiciaire, à la suite de plaintes d’ONG pour torture, notamment sur deux citoyens franco-marocains. Résultat : Le Maroc a aussitôt annoncé qu’il suspendait sa coopération judiciaire avec la France.
« M. Hammouchi, a précisé Fabius devant ses collègues, a été convoqué par un juge d’instruction, sans que personne en soit informé, que ce soit au ministère de l’Intérieur, à celui des Affaires étrangères ou à celui de la Justice« .
Pour les Marocains, une telle ignorance est invraisemblable.
« Ils pensent que c’est une décision prise avec l’accord du pouvoir politique« , a ensuite expliqué Hollande à ses ministres. « J’ai téléphoné au Roi pour lui dire que ce n’était pas la réalité. Il était sidéré, car il pense que les autorités françaises étaient au courant« .
De fait, on ne sait pas ce qui est le plus inquiétant : qu’elles soient au courant ou qu’elles ne le soient pas.
Toujours à propos du Maroc, le Premier ministre a cru devoir préciser que « la visite du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, à Rabat devrait permettre d’apaiser les relations entre les deux pays« .
Une précision ponctuée par cette boutade d’Ayrault : « J’ai l’engagement qu’il pourra revenir« … S’il commence lui aussi à faire des petites blagues comme son président de patron…
http://www.panoramaroc.ma/fr/notre-ami-le-roi/
« Une succession malencontreuse d’événements« : c’est ainsi que Laurent Fabius (ministre des Affaires étrangères français) a qualifié, en Conseil des ministres, la crise diplomatique entre le Maroc et la France.
En visite à Paris le 20 février, le patron du contre-espionnage marocain, Abdellatif Hammouchi, s’était vu notifier, on le sait, une convocation judiciaire, à la suite de plaintes d’ONG pour torture, notamment sur deux citoyens franco-marocains. Résultat : Le Maroc a aussitôt annoncé qu’il suspendait sa coopération judiciaire avec la France.
« M. Hammouchi, a précisé Fabius devant ses collègues, a été convoqué par un juge d’instruction, sans que personne en soit informé, que ce soit au ministère de l’Intérieur, à celui des Affaires étrangères ou à celui de la Justice« .
Pour les Marocains, une telle ignorance est invraisemblable.
« Ils pensent que c’est une décision prise avec l’accord du pouvoir politique« , a ensuite expliqué Hollande à ses ministres. « J’ai téléphoné au Roi pour lui dire que ce n’était pas la réalité. Il était sidéré, car il pense que les autorités françaises étaient au courant« .
De fait, on ne sait pas ce qui est le plus inquiétant : qu’elles soient au courant ou qu’elles ne le soient pas.
Toujours à propos du Maroc, le Premier ministre a cru devoir préciser que « la visite du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, à Rabat devrait permettre d’apaiser les relations entre les deux pays« .
Une précision ponctuée par cette boutade d’Ayrault : « J’ai l’engagement qu’il pourra revenir« … S’il commence lui aussi à faire des petites blagues comme son président de patron…
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Il reste une seule solution ,déchoir ces racailles de la nationalité Marocaine et les laisser savourer l'hospitalité des Le Pen