C’est une grande première. Plus de 200 anciens de l’ASE se mobilisent ce mardi, à l’occasion du lancement des travaux de la commission d’enquête parlementaire sur les dysfonctionnements de l’ex-Ddass.
Ils s’appelaient Lily, Méline, Anthony, Nour, Amine, Jess, ou encore Myriam. Ils ont été confiés à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) et sont décédés. Vers 18 heures, ce mardi 7 mai, leurs prénoms seront tirés de l’oubli. Le comité de vigilance des anciens enfants placés va les égrener sur la place Jacques-Bainville, près de l’Assemblée nationale à Paris (VIIe arrondissement). « Ces enfants, cela aurait pu être nous », assure Achraf, 29 ans, placé à ses 2 ans en pouponnière puis en famille d’accueil dans le Vaucluse.....
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Ils s’appelaient Lily, Méline, Anthony, Nour, Amine, Jess, ou encore Myriam. Ils ont été confiés à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) et sont décédés. Vers 18 heures, ce mardi 7 mai, leurs prénoms seront tirés de l’oubli. Le comité de vigilance des anciens enfants placés va les égrener sur la place Jacques-Bainville, près de l’Assemblée nationale à Paris (VIIe arrondissement). « Ces enfants, cela aurait pu être nous », assure Achraf, 29 ans, placé à ses 2 ans en pouponnière puis en famille d’accueil dans le Vaucluse.....

« Notre voix compte » : avec l’enquête sur l’Aide sociale à l’enfance, les enfants placés sortent du silence
C’est une grande première. Plus de 200 anciens de l’ASE se mobilisent ce mardi, à l’occasion du lancement des travaux de la commission d’enq

Tribunaux surchargés, placements non exécutés... Ce que révèle un sondage auprès de 176 juges des enfants
Une étude réalisée par le Syndicat de la magistrature alerte sur les dangers qu'encourent les mineurs en France face au manque de moyens de la justice.