Le président du Conseil interprofessionnel des céréales (CIC), Laid Benamor, a affirmé ce lundi 18 juin que lobjectif de la filière céréales est de multiplier par 2,5 les rendements dans dix ans. « Nous pouvons multiplier les rendements par 2,5 dans dix ans et atteindre les 45 quintaux à lhectare en 2022 dans le blé tendre et 55 quintaux à lhectare dans le blé dur », a affirmé M. Benamor, PDG du groupe Amor Benamor (agroalimentaire, agriculture) lors de la réunion du CIC dans un hôtel à Alger.
Actuellement, le rendement à lhectare dans la filière céréaliculture avoisine 17 quintaux, selon M. Benamor. « Ce rendement est de 70 quintaux à lhectare dans les pays de lUnion européenne », a‑t‑il noté, précisant que la facture alimentaire de lAlgérie est passée dun milliard de dollars en 1970 à 5 milliards de dollars en 2010.
Une quarantaine dagriculteurs réussissent à obtenir un rendement supérieur à 50 quintaux à lhectare dans la céréaliculture en Algérie, selon M. Benamor. « 60 % des besoins en céréales en Algérie sont importés », a ajouté M. Benamor pour qui lagriculture algérienne est frappée de quatre handicaps majeurs : « des sols peu profonds, fertilité naturelle faible, pluviométrie insuffisante et des terres en pente ». « Ces retards peuvent être corrigés par la recherche agronomique qui est très en retard chez nous », a‑t‑il estimé.
http://www.tsa-algerie.com/economie...a-l-hectare-dans-la-cerealiculture_21173.html
Actuellement, le rendement à lhectare dans la filière céréaliculture avoisine 17 quintaux, selon M. Benamor. « Ce rendement est de 70 quintaux à lhectare dans les pays de lUnion européenne », a‑t‑il noté, précisant que la facture alimentaire de lAlgérie est passée dun milliard de dollars en 1970 à 5 milliards de dollars en 2010.
Une quarantaine dagriculteurs réussissent à obtenir un rendement supérieur à 50 quintaux à lhectare dans la céréaliculture en Algérie, selon M. Benamor. « 60 % des besoins en céréales en Algérie sont importés », a ajouté M. Benamor pour qui lagriculture algérienne est frappée de quatre handicaps majeurs : « des sols peu profonds, fertilité naturelle faible, pluviométrie insuffisante et des terres en pente ». « Ces retards peuvent être corrigés par la recherche agronomique qui est très en retard chez nous », a‑t‑il estimé.
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