Les oasis marocaines en voie de disparition

Considérées comme un patrimoine humain et naturel, les oasis marocaines sont menacées de disparition. En cause le réchauffement climatique.
La sonnette d'alarme est tirée par l'ONG écologique mondiale Greenpeace. Elle a dès lors lancé une campagne de sensibilisation avec pour objectif de protéger ces oasis de la disparition. A cet effet, une pétition a été lancée en partenariat avec une autre ONG basée au Pays-Bas. Selon le quotidien Al Ahdath Al Maghribia, une vidéo de sensibilisation portant sur le (...)

- Maroc / Patrimoine, Environnement, Nature

Les oasis marocaines en voie de disparition
 

funambule1

Sur la corde vitale
le vol des palmiers pour les grands hotels ou déco de ville seraient pas en cause?
Ill ne s’agit pas des mêmes espèces végétales.
Maladies phytosanitaires, ensablement, changement des régimes pluviométriques et hydrologiques, des températures, des vents (pollinisation anémophile) pression sur les nappes phréatiques, incendies, constructions, introduction d'espèces non acclimatées, cultures vivrières etc ...
 
Ill ne s’agit pas des mêmes espèces végétales.
Maladies phytosanitaires, ensablement, changement des régimes pluviométriques et hydrologiques, des températures, des vents (pollinisation anémophile) pression sur les nappes phréatiques, incendies, constructions, introduction d'espèces non acclimatées, cultures vivrières etc ...
aussi oui
 
le vol des palmiers pour les grands hotels ou déco de ville seraient pas en cause?
Si c'est du deuxième degré, ne pas tenir compte de ce qui suit. :cool:

Sinon, ce que dit @funambule21 est tout à fait exact et suffit largement à faire disparaître les oasis.
Quant aux palmiers d'hôtels et rues, tu en trouves à foison désormais. Les jardineries présentes partout autour de villes moyennes et grandes, marchent très bien. Ce sont elles qui fournissent. Dans le sud, tu peux croiser des hectares "d'élevage" de palmiers.

En tous cas, on peut pleurer la mort lente des oasis. Ceux qui ont pu les connaître posent un regard un peu triste devant les ruines, les arbres desséchés, le douar qui se vide et l'eau qui ne coule plus dans la saguia.. Et ce, en quelques décennies.
 
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