Un fonctionnaire de police armé était ce mercredi soir retranché chez lui, au hameau de Louveaucourt, à Bailleval, entre Clermont et Liancourt, dans l’Oise. Le GIGN (groupement d’intervention de la gendarmerie nationale) était sur les lieux et un négociateur a tenté de le faire sortir de son domicile.
L’homme, qui exerce en région parisienne, était dans un premier temps accompagné de son épouse, qu’il a ensuite laissée sortir. « Il est manifestement armé et nous supposons qu’il s’agit de son arme de service » explique Florent Boura, procureur de la République de Beauvais au Courrier Picard. Mercredi soir, la prise d’otage n’était pas confirmée. « A priori, il n’a pas exercé de violence à l’encontre de son épouse et si nous avons la certitude qu’elle se trouvait bien au début avec lui, nous ne pouvons pas encore dire s’il la retenait de force ou non. »
La négociation avec le GIGN commence
Le fonctionnaire de police aurait craqué suite à des problèmes d’ordre personnel. « Le GIGN va désormais prendre le relais et tenter de le convaincre de sortir. Nous avons l’assurance qu’il n’y a plus personne d’autre dans la maison ; la situation est donc moins urgente. » Un périmètre de sécurité a été établi autour de l’habitation par la gendarmerie afin de permettre au négociateur de travailler en toute tranquillité. Selon Le Parisien, le parquet de Beauvais parle d’«un homme qui menace sa propre personne ».
VDN
L’homme, qui exerce en région parisienne, était dans un premier temps accompagné de son épouse, qu’il a ensuite laissée sortir. « Il est manifestement armé et nous supposons qu’il s’agit de son arme de service » explique Florent Boura, procureur de la République de Beauvais au Courrier Picard. Mercredi soir, la prise d’otage n’était pas confirmée. « A priori, il n’a pas exercé de violence à l’encontre de son épouse et si nous avons la certitude qu’elle se trouvait bien au début avec lui, nous ne pouvons pas encore dire s’il la retenait de force ou non. »
La négociation avec le GIGN commence
Le fonctionnaire de police aurait craqué suite à des problèmes d’ordre personnel. « Le GIGN va désormais prendre le relais et tenter de le convaincre de sortir. Nous avons l’assurance qu’il n’y a plus personne d’autre dans la maison ; la situation est donc moins urgente. » Un périmètre de sécurité a été établi autour de l’habitation par la gendarmerie afin de permettre au négociateur de travailler en toute tranquillité. Selon Le Parisien, le parquet de Beauvais parle d’«un homme qui menace sa propre personne ».
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