La secte de zemmour et les lêches bottes sont la comme d'habitude pour protester
afin de soutnier l'entité illégale qui génocide en Palestine occupée
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L'eurodéputée de La France insoumise dénonce une "fake news". S'il y avait bien des pancartes pro-Hamas lors d'une manifestation à Amman vendredi, elle assure que l'objectif de départ du rassemblement était de soutenir la population gazaouie.
Rima Hassan, juriste franco-palestinienne et eurodéputée LFI, régulièrement ciblée ces derniers mois, est de nouveau au centre d'une polémique pour son engagement en faveur de la Palestine. L'hebdomadaire Le Point a publié, vendredi 16 août, un article au titre sans équivoque : "Rima Hassan s'affiche pro-Hamas sans réserve en Jordanie", en référence à une story Instagram qu'elle avait publiée la veille. "Dans la manifestation qu'elle met en avant ce jour-là, de nombreuses pancartes brandies par la foule rendent hommage à Ismaïl Haniyeh, chef du Hamas [tué le 31 juillet en Iran]", pointe l'article.
Le chef politique du mouvement islamiste palestinien a été tué à Téhéran fin juillet dans une frappe imputée à Israël. Le Point évoque aussi des slogans scandés dans une vidéo Instagram postée par le journaliste et militant Taha Bouhafs, également présent ce jour-là à Amman, la capitale jordanienne : "Les manifestants scandent 'Labaika y a Aqsa', ce qui veut dire : 'On arrive, ô Aqsa' (...) Les deux Français ont participé à un rassemblement d'extrémistes", tranche l'hebdomadaire, estimant que Rima Hassan, arabophone, a compris ce contexte.
"Fake news, je n'ai pas participé à un hommage à des dirigeants du Hamas", s'est défendue Rima Hassan mardi sur X. "Utiliser de façon grossière des photos de quelques manifestants qui affichaient leur soutien au Hamas en me les imputant, c'est profondément malhonnête", s'est-elle indignée, dénonçant "un acharnement médiatique".
afin de soutnier l'entité illégale qui génocide en Palestine occupée
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L'eurodéputée de La France insoumise dénonce une "fake news". S'il y avait bien des pancartes pro-Hamas lors d'une manifestation à Amman vendredi, elle assure que l'objectif de départ du rassemblement était de soutenir la population gazaouie.
Rima Hassan, juriste franco-palestinienne et eurodéputée LFI, régulièrement ciblée ces derniers mois, est de nouveau au centre d'une polémique pour son engagement en faveur de la Palestine. L'hebdomadaire Le Point a publié, vendredi 16 août, un article au titre sans équivoque : "Rima Hassan s'affiche pro-Hamas sans réserve en Jordanie", en référence à une story Instagram qu'elle avait publiée la veille. "Dans la manifestation qu'elle met en avant ce jour-là, de nombreuses pancartes brandies par la foule rendent hommage à Ismaïl Haniyeh, chef du Hamas [tué le 31 juillet en Iran]", pointe l'article.
Le chef politique du mouvement islamiste palestinien a été tué à Téhéran fin juillet dans une frappe imputée à Israël. Le Point évoque aussi des slogans scandés dans une vidéo Instagram postée par le journaliste et militant Taha Bouhafs, également présent ce jour-là à Amman, la capitale jordanienne : "Les manifestants scandent 'Labaika y a Aqsa', ce qui veut dire : 'On arrive, ô Aqsa' (...) Les deux Français ont participé à un rassemblement d'extrémistes", tranche l'hebdomadaire, estimant que Rima Hassan, arabophone, a compris ce contexte.
"C'est profondément malhonnête"
Dès dimanche, la députée Renaissance Caroline Yadan a exprimé sur X sa volonté de faire un signalement au procureur de la République pour "provocation à la haine raciale et apologie du terrorisme" ainsi qu'une "demande de levée de l'immunité et de sanctions (...) auprès du Parlement européen". L'ex-député apparenté LR Meyer Habib, proche du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, lui a emboîté le pas, annonçant mardi sur X avoir saisi le procureur, en raison de la participation de Rima Hassan "à une manifestation explicitement de soutien au mouvement terroriste Hamas"."Fake news, je n'ai pas participé à un hommage à des dirigeants du Hamas", s'est défendue Rima Hassan mardi sur X. "Utiliser de façon grossière des photos de quelques manifestants qui affichaient leur soutien au Hamas en me les imputant, c'est profondément malhonnête", s'est-elle indignée, dénonçant "un acharnement médiatique".
"Je ne suis pas responsable de qui participe à la manif."
Rima Hassan, eurodéputée LFI
sur le réseau social X