Chouchou_TN
Man U out! dAIGouté
Salam,
http://www.lepoint.fr/monde/proche-...-commerce-jordanien-27-04-2013-1660672_24.php
(Aucun Contenu AFP)
En résumé
-Depuis le début de la guerre en Syrie, la Jordanie, la Turquie et même l'Irak utilisent les routes du nord d'Israël comme "corridor commercial".
- L'article nous dit que c'est le ministre israélien de la Coopération régionale qui a fait pression sur le Shin Bet (serv. de renseign. inter.) pour qu'ils acceptent
- Environ 6400 camions en 2012 ( le double de 2011)
- Profit israélien annuel estimé : 200 Millions NIS ( 40 Millions d'€, une broutille)
Merci Israel! (This was meant to be somehow provocative)
Opinion
On aura bien compris que c'est le geste qui compte. Quoique Israel aurait pu complètement refuser, elle n'avait rien à perdre.
Qu'ont les autres Pays qui passent par Israel à gagner? Est ce qu'il y a un interet général ou est ce que ça ne profite qu'aux quelques commerçants et compagnies qui font une belle économie en prenant ce raccourci?
Doivent-ils se sentir coupable ?
Il ne s'agit pas simplement de s'interroger s'il faut pardonner à Israel, ou essayer de leur faire une place dans son coeur en zone ami. Mais de voir combien la visée politique des pays et leaders arabes a toujours été terriblement pauvre et jamais pragmatique, et ce depuis la déclaration d'indépendance d'Israel et les débuts de l'emmigration massive des Juifs vers cette terre.
Aveuglé par un trop-plein de fierté, alors que Urshalim et les lieux Saint étaient toujours sous le pavillon de la plus-que-chancelante coalition arabe, les stratégies étaient toutes des plus farfelues : s'interdire de conclure un accord avec la nouvelle entité, la Honte Des Six Jours, jusqu'à clamer haut et fort le désir d'une guerre perpétuelle .. censée bouter l’intrus au delà des mers qu'il a emprunté et ramener "justice".
Osons imaginé le calendrier que se sont imposés ces chers leaders arabes pour mener à bien leur bonne et due tâche ..
La terre est rien et tout. Mais il reste le leg des idées, et de la plus insidieuse celle de récupérer immédiatement l’entièreté de ces terres. Des générations s'en allèrent, se sacrifièrent et cette inspiration trop peu rassasiée d'une justice à accomplir persista jusqu'à aujourd'hui.
Peut-être était-il temps de s'interroger sur tout ce paradigme et cet "héritage forcé".
Quand le prophète de l'Islam paix et salut sur lui, se dirigea vers La Mecque pour accomplir son pèlerinage, et qu'il fut proposer 10 ans de trêve, en échange de l'abandon de son pèlerinage pour cette année, il accepta sans hésiter malgré les oppositions de ses compagnons, impatient d'accomplir le pèlerinage. Cette trêve fut l'occasion d'une expansion sans précédent du Message. Plus que toutes les batailles qu'il avait emportées, sa volonté de faire la paix avec des opposants aussi farouches que les tribus mecquoises régnantes, y compris de sa famille, étaient connues pour lui avoir fait subir, lui a procuré la plus divine occasion pour prospérer. De la plus brillante des écoles et de la plus éblouissante des éducations, inspirons-nous.
http://www.lepoint.fr/monde/proche-...-commerce-jordanien-27-04-2013-1660672_24.php
(Aucun Contenu AFP)
En résumé
-Depuis le début de la guerre en Syrie, la Jordanie, la Turquie et même l'Irak utilisent les routes du nord d'Israël comme "corridor commercial".
- L'article nous dit que c'est le ministre israélien de la Coopération régionale qui a fait pression sur le Shin Bet (serv. de renseign. inter.) pour qu'ils acceptent
- Environ 6400 camions en 2012 ( le double de 2011)
- Profit israélien annuel estimé : 200 Millions NIS ( 40 Millions d'€, une broutille)
Merci Israel! (This was meant to be somehow provocative)
Opinion
On aura bien compris que c'est le geste qui compte. Quoique Israel aurait pu complètement refuser, elle n'avait rien à perdre.
Qu'ont les autres Pays qui passent par Israel à gagner? Est ce qu'il y a un interet général ou est ce que ça ne profite qu'aux quelques commerçants et compagnies qui font une belle économie en prenant ce raccourci?
Doivent-ils se sentir coupable ?
Il ne s'agit pas simplement de s'interroger s'il faut pardonner à Israel, ou essayer de leur faire une place dans son coeur en zone ami. Mais de voir combien la visée politique des pays et leaders arabes a toujours été terriblement pauvre et jamais pragmatique, et ce depuis la déclaration d'indépendance d'Israel et les débuts de l'emmigration massive des Juifs vers cette terre.
Aveuglé par un trop-plein de fierté, alors que Urshalim et les lieux Saint étaient toujours sous le pavillon de la plus-que-chancelante coalition arabe, les stratégies étaient toutes des plus farfelues : s'interdire de conclure un accord avec la nouvelle entité, la Honte Des Six Jours, jusqu'à clamer haut et fort le désir d'une guerre perpétuelle .. censée bouter l’intrus au delà des mers qu'il a emprunté et ramener "justice".
Osons imaginé le calendrier que se sont imposés ces chers leaders arabes pour mener à bien leur bonne et due tâche ..
La terre est rien et tout. Mais il reste le leg des idées, et de la plus insidieuse celle de récupérer immédiatement l’entièreté de ces terres. Des générations s'en allèrent, se sacrifièrent et cette inspiration trop peu rassasiée d'une justice à accomplir persista jusqu'à aujourd'hui.
Peut-être était-il temps de s'interroger sur tout ce paradigme et cet "héritage forcé".
Quand le prophète de l'Islam paix et salut sur lui, se dirigea vers La Mecque pour accomplir son pèlerinage, et qu'il fut proposer 10 ans de trêve, en échange de l'abandon de son pèlerinage pour cette année, il accepta sans hésiter malgré les oppositions de ses compagnons, impatient d'accomplir le pèlerinage. Cette trêve fut l'occasion d'une expansion sans précédent du Message. Plus que toutes les batailles qu'il avait emportées, sa volonté de faire la paix avec des opposants aussi farouches que les tribus mecquoises régnantes, y compris de sa famille, étaient connues pour lui avoir fait subir, lui a procuré la plus divine occasion pour prospérer. De la plus brillante des écoles et de la plus éblouissante des éducations, inspirons-nous.
