Comme beaucoup de Belges, je suis un parent, une travailleuse, une consommatrice de première nécessité.
Je me lève chaque matin pour déposer mon fils à l’école et aller travailler, je consomme donc du carburant pour m’y rendre, carburant qui ne cesse d’augmenter, je dois également payer des taxes et assurances pour mon véhicule.
Lorsque je vais faire mes courses, le montant du ticket et parfois démesuré face à la quantité de nourriture qui se trouve dans mon chariot, ne parlons pas du montant de l’électricité qui ne cesse d’augmenter et dont c’est parfois incompréhensible lorsque les fournisseurs nous parlent d’éoliennes pour privilégier l’énergie verte et le coût moins élevé.
Je débranche tous les jours mes appareils électriques lorsque je quitte mon domicile pour éviter de consommer de l’énergie inutilement tout comme mon chauffage.
Et quand je vois que malgré tout ces efforts, il est quand même difficile de joindre les deux bouts, cela me dépasse.
C’est pourquoi, lorsqu’il y a eu la réunion du mouvement des gilets jaunes à Mons, j’ai assisté à celle-ci afin de savoir ce qu’ils proposaient comme action.
Je suis arrivée là-bas, accompagnée de mon conjoint et de mon petit garçon de 9 ans, car je voulais qu’il entende pourquoi nous étions là, qu’il comprenne que nous voulions tous bouger pour notre bien mais également pour son futur.
J’y ai fais la rencontre d’Elodie, Antonio, Silvio et d’autres personnes qui nous ont parlé de leur mouvement, stipulant bien que ceux-ci mettaient bien en avant le respect et la non violence.
J’ai tout de suite adhéré car jouer les casseurs, ce n’est pas trop pour moi, j’ai toujours appris à mon fils le respect envers les autres et je m’y tiens.
Je me lève chaque matin pour déposer mon fils à l’école et aller travailler, je consomme donc du carburant pour m’y rendre, carburant qui ne cesse d’augmenter, je dois également payer des taxes et assurances pour mon véhicule.
Lorsque je vais faire mes courses, le montant du ticket et parfois démesuré face à la quantité de nourriture qui se trouve dans mon chariot, ne parlons pas du montant de l’électricité qui ne cesse d’augmenter et dont c’est parfois incompréhensible lorsque les fournisseurs nous parlent d’éoliennes pour privilégier l’énergie verte et le coût moins élevé.
Je débranche tous les jours mes appareils électriques lorsque je quitte mon domicile pour éviter de consommer de l’énergie inutilement tout comme mon chauffage.
Et quand je vois que malgré tout ces efforts, il est quand même difficile de joindre les deux bouts, cela me dépasse.
C’est pourquoi, lorsqu’il y a eu la réunion du mouvement des gilets jaunes à Mons, j’ai assisté à celle-ci afin de savoir ce qu’ils proposaient comme action.
Je suis arrivée là-bas, accompagnée de mon conjoint et de mon petit garçon de 9 ans, car je voulais qu’il entende pourquoi nous étions là, qu’il comprenne que nous voulions tous bouger pour notre bien mais également pour son futur.
J’y ai fais la rencontre d’Elodie, Antonio, Silvio et d’autres personnes qui nous ont parlé de leur mouvement, stipulant bien que ceux-ci mettaient bien en avant le respect et la non violence.
J’ai tout de suite adhéré car jouer les casseurs, ce n’est pas trop pour moi, j’ai toujours appris à mon fils le respect envers les autres et je m’y tiens.