Au Maroc, on trouve actuellement deux catégories de femmes. La première est celle pour qui lor représente la richesse. Et pour sen convaincre et étaler leur fortune, elles optent pour des kilos dor sur les bras, les doigts, le cou, les oreilles, les pieds
Le chapelet de bracelets sur les bras a toujours sa part de succès et attire encore les femmes en quête de passer très aperçue. On remarque que les femmes de cette première catégorie sont de niveau intellectuel médiocre ou moyen. Derrière les vitrines des boutiques dans les quartiers populaires, on peut trouver des modèles qui plaisent à ces dames et qui sont souvent «gros et consistants». Quant à la deuxième catégorie, elle représente des femmes pour qui la quantité daccessoires nest pas capitale pour afficher son niveau social. On est au Maârif à Casablanca chez Si Ahmed, un bijoutier de luxe dont les modèles sarrachent comme des petits pains. Les prix ne sont pas à la portée de tout le monde. Des clientes, il en a une bonne liste. Et ce ne sont pas les prix exorbitants de ses accessoires qui les feraient fuir. La finesse et la discrétion accompagnent ce quil vend et attirent ainsi les adeptes de laccessoire simple mais de marque. «La discrétion de mes modèles fait craquer mes clientes. La simplicité habille mieux les femmes et les rend encore plus belles. Petites boucles doreilles, chaine très fine, simple bague ou un bracelet délicat sont les produits de succès avec les clientes de la bourgeoisie de la ville». Quand on parle de prix, il se dandine sur son siège et nous lance «Celles qui viennent chez moi savent déjà ce qui les attend. Mes prix sont variables; cest entre 1000 et 1 000 000 de dirhams». Du luxe on vous dit!
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http://www.lobservateur.ma/interne.php?reference=1918
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