Orne : l'hôpital de flers supprime une prime mensuelle à ses aides-soignants

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Près d'une centaine d'aides-soignants contractuels de l’hôpital de Flers, dans l'Orne, ont découvert dans leur courrier, juste avant Noël, que leur prime de sujétion a été supprimée. C'est une prime mensuelle de 120 à 140 euros pour compenser certaines conditions de travail.

Les aides-soignants contractuels de l’hôpital de Flers ont eu une mauvaise surprise en ouvrant leur courrier, à la veille de Noël. Alors qu'Emmanuel Macron encourage les entreprises privées qui le peuvent à donner une prime défiscalisée à leurs employés, la direction de l’hôpital de l'Orne a décidé d'en supprimer une.


Cette prime mensuelle de 120 à 140 euros concerne près d'une centaine d'aides-soignants contractuels. Elle n'est pas obligatoire, mais compense les difficultés du métier. Ce que les organisations syndicales reprochent particulièrement, c'est la brutalité de l'annonce.

Du jour au lendemain, le jour de Noël, certains ont reçu un courrier et ça c'est inadmissible

Dominic Gallet, de la CFTC : "Le directeur a envoyé des courriers à tous les contractuels dont le contrat se terminait. Le renouvellement de contrat s'est fait sans la prime d'aide-soignant. Il avait parlé de pistes pour faire des économies sur notre établissement mais on n'a jamais débattu de ça dans nos instances. Du jour au lendemain, le jour de Noël, certains ont reçu un courrier et ça c'est inadmissible. Les aides-soignants vont perdre 120 à 140 euros de pouvoir d'achat. _Ils ont été mis devant le fait accompli_."

La direction de l’hôpital de Flers n'a pas répondu à nos sollicitations.

France bleue
 
la réforme du code du travail a complètement rendu les salariés vulnérables
Près d'une centaine d'aides-soignants contractuels de l’hôpital de Flers, dans l'Orne, ont découvert dans leur courrier, juste avant Noël, que leur prime de sujétion a été supprimée. C'est une prime mensuelle de 120 à 140 euros pour compenser certaines conditions de travail.

Les aides-soignants contractuels de l’hôpital de Flers ont eu une mauvaise surprise en ouvrant leur courrier, à la veille de Noël. Alors qu'Emmanuel Macron encourage les entreprises privées qui le peuvent à donner une prime défiscalisée à leurs employés, la direction de l’hôpital de l'Orne a décidé d'en supprimer une.


Cette prime mensuelle de 120 à 140 euros concerne près d'une centaine d'aides-soignants contractuels. Elle n'est pas obligatoire, mais compense les difficultés du métier. Ce que les organisations syndicales reprochent particulièrement, c'est la brutalité de l'annonce.

Du jour au lendemain, le jour de Noël, certains ont reçu un courrier et ça c'est inadmissible

Dominic Gallet, de la CFTC : "Le directeur a envoyé des courriers à tous les contractuels dont le contrat se terminait. Le renouvellement de contrat s'est fait sans la prime d'aide-soignant. Il avait parlé de pistes pour faire des économies sur notre établissement mais on n'a jamais débattu de ça dans nos instances. Du jour au lendemain, le jour de Noël, certains ont reçu un courrier et ça c'est inadmissible. Les aides-soignants vont perdre 120 à 140 euros de pouvoir d'achat. _Ils ont été mis devant le fait accompli_."

La direction de l’hôpital de Flers n'a pas répondu à nos sollicitations.

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