Où est la pluie ? Pour la Météo, il n'y pas de quoi s'alarmer

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petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Vu les températures de l'été, il n'y a pas lieu de s'alarmer, selon les prévisionnistes. Les pluies d'intersaison sont toujours irrégulières. Encore quelques semaines avant d'entrer pleinement dans la campagne.


Comme chaque début de campagne, les agriculteurs scrutent le ciel et s’interrogent sur la suite. A ce jour, on ne peut pas encore parler d’un véritable démarrage. Depuis le début du mois, le pays est en effet peu arrosé, alors que les premières pluies de la saison 2010-2011 sont tombées dès la première semaine de septembre. Les premières précipitations des 23 et 24 du mois courant n’ont rien de conséquent : Tétouan et Nouaceur 3 mm, Tanger et El Jadida 2 mm, Chefchaouen, Kénitra et Casablanca 1 mm et moins d’un millimètre pour Oujda, Meknès et Marrakech. Il n’y a donc pas de quoi pavoiser.
La question qui revient actuellement est de savoir si on s’achemine ou non vers une bonne campagne, comme pour les trois précédentes campagnes qu’a connues le Maroc, avec des excédents en pluviométrie et un taux de remplissage de barrages jamais enregistrés sur les dix dernières années. Difficile d’être précis à pareille époque. «Les pluies de septembre ne sont jamais significatives et, le plus souvent, elles résultent soit de masses nuageuses provenant des Iles Canaries soit de résidus de perturbations dérivant de l’Europe toute proche», explique Mohamed Belaouchi de la direction de la Météorologie nationale. Cela veut dire que les pluies de l’intersaison sont toujours irrégulières, tout comme les températures de cette partie de l’année. Ces pluies ont un caractère local et sont mal réparties.

http://www.lavieeco.com/news/econom...meteo-il-n-y-pas-de-quoi-s-alarmer-20392.html
 
La question qui revient actuellement est de savoir si on s’achemine ou non vers une bonne campagne, comme pour les trois précédentes campagnes qu’a connues le Maroc, avec des excédents en pluviométrie et un taux de remplissage de barrages jamais enregistrés sur les dix dernières années.

tant qu'Akhanouche est ministre de l'agriculture on aura une bonne année agricole, on raconte qu'il a la baraka , depuis qu'il est ministre on est bien arrosés :prudent:

NB: 30° en octobre du jamais vu a la capitale!
 
Vu les températures de l'été, il n'y a pas lieu de s'alarmer, selon les prévisionnistes. Les pluies d'intersaison sont toujours irrégulières. Encore quelques semaines avant d'entrer pleinement dans la campagne.


Comme chaque début de campagne, les agriculteurs scrutent le ciel et s’interrogent sur la suite. A ce jour, on ne peut pas encore parler d’un véritable démarrage. Depuis le début du mois, le pays est en effet peu arrosé, alors que les premières pluies de la saison 2010-2011 sont tombées dès la première semaine de septembre. Les premières précipitations des 23 et 24 du mois courant n’ont rien de conséquent : Tétouan et Nouaceur 3 mm, Tanger et El Jadida 2 mm, Chefchaouen, Kénitra et Casablanca 1 mm et moins d’un millimètre pour Oujda, Meknès et Marrakech. Il n’y a donc pas de quoi pavoiser.
La question qui revient actuellement est de savoir si on s’achemine ou non vers une bonne campagne, comme pour les trois précédentes campagnes qu’a connues le Maroc, avec des excédents en pluviométrie et un taux de remplissage de barrages jamais enregistrés sur les dix dernières années. Difficile d’être précis à pareille époque. «Les pluies de septembre ne sont jamais significatives et, le plus souvent, elles résultent soit de masses nuageuses provenant des Iles Canaries soit de résidus de perturbations dérivant de l’Europe toute proche», explique Mohamed Belaouchi de la direction de la Météorologie nationale. Cela veut dire que les pluies de l’intersaison sont toujours irrégulières, tout comme les températures de cette partie de l’année. Ces pluies ont un caractère local et sont mal réparties.

http://www.lavieeco.com/news/econom...meteo-il-n-y-pas-de-quoi-s-alarmer-20392.html
D'où l'importance des barrages et d'augmenter nos zones irriguées ,les embouchures des oueds qui se déversent en mer devraient changer d'itinéraires pour irriguer de nouvelles zones.Il s'agit d'un travail titanesque qui nécessite de grands travaux que nous sommes malheureusement incapables de financer ,je ne sais pas si les pouvoirs publics ont mené des études pour réaliser de tels travaux.
 
les changements climatiques sont impressionantes ces dernieres annees on peut s,attendre a tous et on prie et demande le protege du Grand Dieu .sw.
le Maroc a des barrages qui sont plusieurs et pleins pour irriguer et eviter une sechresse et avec le Plan Vert je crois que les precautions sont etudiees et prises pour la goutte vitale.
 
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