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PLD (Peace, Love and Diversity)
https://www.lemonde.fr/internationa...te-de-la-migration-de-l-onu_5394711_3210.html
Crise politique ouverte en Belgique sur le pacte de la migration de l’ONU
Le premier ministre Charles Michel a « pris acte », samedi soir, du départ des ministres de l’Alliance néoflamande N-VA et va diriger une coalition minoritaire.
La crise politique qui couvait depuis des jours en Belgique a connu son dénouement, samedi 8 décembre : les ministres de l’Alliance néoflamande (N-VA, nationaliste) quittent la coalition dirigée par le libéral francophone Charles Michel, à la suite d’un désaccord sur l’approbation par la Belgique du pacte sur la migration des Nations unies. La N-VA demandait, au minimum, que la Belgique s’abstienne sur ce texte et menaçait de provoquer une crise gouvernementale s’il en allait autrement.
M. Michel devrait donc être, durant quelques mois, à la tête d’un gouvernement minoritaire, une situation inédite pour le royaume. Les élections législatives sont prévues fin mai 2019. Dimanche matin, la situation restait cependant confuse : les ministres nationalistes flamands n’avaient pas encore formellement démissionné et le premier ministre ne les avait pas officiellement révoqués.
Redistribution des portefeuilles
Selon Olivier Chastel, président du Mouvement réformateur – le parti de M. Michel –, leur départ ne sera effectif que lorsque le chef du gouvernement s’envolera, dimanche soir, pour Marrakech (Maroc) où doit être avalisé, lundi, le Pacte mondial sur la migration par les pays membres de l’ONU. Avant cela, M. Michel devait avoir un round de discussions avec ses partenaires, les libéraux et chrétiens démocrates flamands. Ceux-ci vont récupérer les portefeuilles détenus par la N-VA afin de respecter l’indispensable équilibre linguistique au sein de la coalition.
Crise politique ouverte en Belgique sur le pacte de la migration de l’ONU
Le premier ministre Charles Michel a « pris acte », samedi soir, du départ des ministres de l’Alliance néoflamande N-VA et va diriger une coalition minoritaire.
La crise politique qui couvait depuis des jours en Belgique a connu son dénouement, samedi 8 décembre : les ministres de l’Alliance néoflamande (N-VA, nationaliste) quittent la coalition dirigée par le libéral francophone Charles Michel, à la suite d’un désaccord sur l’approbation par la Belgique du pacte sur la migration des Nations unies. La N-VA demandait, au minimum, que la Belgique s’abstienne sur ce texte et menaçait de provoquer une crise gouvernementale s’il en allait autrement.
M. Michel devrait donc être, durant quelques mois, à la tête d’un gouvernement minoritaire, une situation inédite pour le royaume. Les élections législatives sont prévues fin mai 2019. Dimanche matin, la situation restait cependant confuse : les ministres nationalistes flamands n’avaient pas encore formellement démissionné et le premier ministre ne les avait pas officiellement révoqués.
Redistribution des portefeuilles
Selon Olivier Chastel, président du Mouvement réformateur – le parti de M. Michel –, leur départ ne sera effectif que lorsque le chef du gouvernement s’envolera, dimanche soir, pour Marrakech (Maroc) où doit être avalisé, lundi, le Pacte mondial sur la migration par les pays membres de l’ONU. Avant cela, M. Michel devait avoir un round de discussions avec ses partenaires, les libéraux et chrétiens démocrates flamands. Ceux-ci vont récupérer les portefeuilles détenus par la N-VA afin de respecter l’indispensable équilibre linguistique au sein de la coalition.
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