Décidément, on se demande si l'en même temps si cher à Emmanuel Macron n'est pas une forme de schizophrénie atténuée.
Créant la surprise, jeudi 24 juillet Macron annonce que la France s’apprêtait à reconnaître l’Etat de Palestine, en septembre, à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations unies (ONU). Ira t il jusqu'au bout ? Wait and see ... il essaye d'exister face au géant américain qui est le véritable ordonnanceur au Proche et Moyen Orient.
Macron, il cherche à plaire à tous. L'objectif, faire plaisir à tous et ne se fâcher avec personne. Pour ensuite être aimé dans le monde arabe. Les présidents français aiment plaire aux Arabes mais les vrais et chez eux. Cela permet, il faut l'avouer, d'ensuite signer de mirobolants contrats d'armement.
Dans un tribune dans le journal du soir le Monde, Huber Védrine, ancien ministre des affaires étrangères et connu pour sa critique acerbe de l'entité sioniste, applaudit et précise. "C'est Is-raël qui est isolée ; pas la France" considérant qu'"il devenait déshonorant de ne rien faire". Au moins, il avoue en filigrane que jusqu'à présent, rien n'a été fait.
Revient-on à la politique arabe de la France chère à Chirac et, dans une moindre mesure, gaulliste (De Gaulle souhaitait bien deux états côte à côte) ?
Mais à quoi bon ?
Après plus de 60.000 morts (dont > 70% de femmes et enfants) à Gaza, Jérusalem reconnue - unilatéralement -, capitale de l'entité sioniste par les EUA et d'autres, une Cisjordanie mise à sac par une horde de colons sionistes enragée et galvanisée par les Smotritch & Ben Gvir (partisan du Grand Is-rael @Quovadis) de parfaits colons sauce étasunienne au XIXème avec les "native americans", un territoire discontinu et morcelé découpé méticuleusement en tranches, etc... autant dire qu'il s'agirait d'une reconnaissance symbolique. Mais les symboles ont leur importance à l'heure où le mandat de Macron est à son crépuscule.
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Créant la surprise, jeudi 24 juillet Macron annonce que la France s’apprêtait à reconnaître l’Etat de Palestine, en septembre, à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations unies (ONU). Ira t il jusqu'au bout ? Wait and see ... il essaye d'exister face au géant américain qui est le véritable ordonnanceur au Proche et Moyen Orient.
Macron, il cherche à plaire à tous. L'objectif, faire plaisir à tous et ne se fâcher avec personne. Pour ensuite être aimé dans le monde arabe. Les présidents français aiment plaire aux Arabes mais les vrais et chez eux. Cela permet, il faut l'avouer, d'ensuite signer de mirobolants contrats d'armement.
- Un jour, il défend le droit à la sécurité de l'entité sioniste coloniale.
- Un autre, il appelle et rappelle à la reconnaissance d'un Etat (lequel ?) de Palestine.
Dans un tribune dans le journal du soir le Monde, Huber Védrine, ancien ministre des affaires étrangères et connu pour sa critique acerbe de l'entité sioniste, applaudit et précise. "C'est Is-raël qui est isolée ; pas la France" considérant qu'"il devenait déshonorant de ne rien faire". Au moins, il avoue en filigrane que jusqu'à présent, rien n'a été fait.
Revient-on à la politique arabe de la France chère à Chirac et, dans une moindre mesure, gaulliste (De Gaulle souhaitait bien deux états côte à côte) ?
Mais à quoi bon ?
Après plus de 60.000 morts (dont > 70% de femmes et enfants) à Gaza, Jérusalem reconnue - unilatéralement -, capitale de l'entité sioniste par les EUA et d'autres, une Cisjordanie mise à sac par une horde de colons sionistes enragée et galvanisée par les Smotritch & Ben Gvir (partisan du Grand Is-rael @Quovadis) de parfaits colons sauce étasunienne au XIXème avec les "native americans", un territoire discontinu et morcelé découpé méticuleusement en tranches, etc... autant dire qu'il s'agirait d'une reconnaissance symbolique. Mais les symboles ont leur importance à l'heure où le mandat de Macron est à son crépuscule.
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