Par envie d'écrire

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Nelya87

نلية
VIB
Bonsoir,

J'arrive ici avec l'envie d'écrire, je ne sais pas vraiment quoi, ni pourquoi, ni pour qui.
J'affectionne les mots, je me laisse volontiers emportée par la mélodie qu'ils produisent.
Je les lis, je les suis, je les aime, ils m'enivrent, ...

Je suis passionnée, dévouée, idéaliste, je veux comprendre, je veux vibrer, je veux croire au meilleur.
Je veux exprimer la mélodie qui fait écho à mon âme, je veux me faire entendre, je veux vous embarquer, je veux partager ce qui me charme, ce qui me traverse, ce qui fait que je sens mon cœur battre.

Je ne connais pas la valeur de mon écriture, elle est peut-être de piètre qualité.
Je présente d'avance mes excuses si elle se révélera médiocre.
Mais le besoin imminent d'écrire fait rage en moi.
Je dois évacuer. Quoi? J'en ai aucune idée.
Cependant, j'ai décidé de me lancer sur ce forum, constitué d'individus que je n'ai surement jamais rencontrés, mais qui contrairement à ceux que je connais, une part de mon intimité leur sera dévoilée.

La vie dure le temps d'une histoire, un laps de temps qui est minutieusement chronométré.
Et pourtant, on cherche désespérément à lui donner un sens, à l'affectionner, à l'apprivoiser, à en contourner les travers et à en célébrer les beautés.

La vie est illusion, on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas l'éducation qu'elle nous soumet, on ne choisit pas la nature des relations qui s'impose entre chaque membre qui la constitue. On ne choisit pas l'environnement social dans lequel on prend forme.
On est (naît) naturellement embarqué, on avance à tâtons, on doit composer un ensemble, tout en conservant sa singularité.
Chacun soumet ce qui lui semble être la voie à suivre, la méthode infaillible, guidé par son émotion ou par sa raison.
Parfois, cette démarche s'articule par la contrainte.
Parfois, par le respect des aspirations de tout à chacun.

On croit en ses rêves, ses ambitions, on tente de faire triompher ce qui nous définit.
On tente d'avancer, parfois, on se retrouve encourager et d'autres fois, on se heurte à des obstacles.

Il s'agit du premier univers qui peut soit être source de quiétude ou soit être un véritable calvaire.

Il y a donc soi et il y a les autres qui nous sont proches. Et puis, il y a la réalité extérieure.

Il y a ce monde auquel on aspire et puis, il y a le monde dont la réalité nous fait grâce.

Second univers.

Il y a toute une vie, comme une envie de s'évader, de s'extirper, de crier que ce n'est pas le son qu'on souhaite écouter.
Et pourtant, les jours se succèdent.

La rébellion, le sentiment d'injustice, de tristesse en général, plus singulièrement, le manque de reconnaissance ne se sont jamais fait entendre.
Le temps s'est beaucoup écoulé.
Et puis, on se résigne.
Autour de soi, chacun tente de trouver sa place, de composer avec le quotidien.
On court, on bâtit une carrière, on constitue une famille, on fait bonne figure, on a des amis, un réseau et la vie semble aller.
On s'est conformé - n'y voyez aucune connotation péjorative -.

Et puis, il y a ceux qui se sont posés des questions, qui ont été tourmentés.
Ce qu'on leur a proposé apparaît si défait, si fragile, si incomplet. Ils ont essayé, ils ont tant essayé de se relever.
Mais pourquoi ces démons?
Pourquoi, chercher ce qui n'existe que dans son imaginaire qui parait tel un rêve magique mais dans la réalité, il ne s'agit que de pure obscurité. Peu l'accueille.

Prisonnière de ce qui ne trouve siège que dans son esprit et pourtant la vie suit LE COURS qu'elle a décidé.
Comment résoudre cette équation?
Tel un pantin désarçonné, faudra-t-il se convaincre de se conformer?
Comment se délivrer de son passé?
Comment oublier, ce qui pour certains relèvent d'une épreuve à dépasser, alors que pour soi, il s'agit d'une écorchure mortifiante de l'âme?

La vie n'est-elle qu'illusion? Ne faut-il rien en espérer?
Certes, il y a tout ce qui brille mais que faire quand cette surface bien que polie et soignée, ne suffit pas à résoudre ce qui, au plus profond de soi, ne parvient pas à s'équilibrer?
 
Eh ba o_O
comme premier message ça fait un effet! en espérant que ça t'as fait du bien d'écrire.
Je prends la peine de te répondre sérieusement parce ça a beau être un roman, j'ai aimé certains passages.
Moi aussi avant je me posais des tas de questions avec l'envie de toutes les écrire pour ne pas les oublier tellement ça me semblait important sur le moment mais "te complique la vie " c'est ce qu'on m'a souvent dit.
Je me contentais de ça pour me rassurer puis à nouveau des questions (bêtes ou pas je sais plus), dans la vie tu passes successivement à des états de tension, de paix, tension, paix... et enfin tu rends des comptes. Mais ne me prends pas trop au sérieux, la vie je la connais à peine.
Je doute que tu trouvera des réponses satisfaisantes ici (espérons quand même) en fait je pense que c'est toi qui a les réponses.
Un conseil : si tu donnes plus d'exemples (succinctement) peut être qu'on te comprendra mieux (mais pas des exemples personnels).
Bon tu m'excusera pour les erreurs je suis pas aussi douée que toi en rédaction ;)
 
@Lani8ay,
tu dois être quelqu'un de triste mélancolique écorchée
garde espoir que les choses aillent mieux fais en sorte que ta vie soit meilleur ne sois pas trop en attente par rapport aux autres faut puiser en toi
 
on est parfois trop centré sur nous, on est pas le centre de l'univers et l'univers n'a pas besoin de nous,
personne n'a besoin de nous, pas plus qu'on avait besoin des dinosaures
 
Bonsoir,

J'arrive ici avec l'envie d'écrire, je ne sais pas vraiment quoi, ni pourquoi, ni pour qui.
J'affectionne les mots, je me laisse volontiers emportée par la mélodie qu'ils produisent.
Je les lis, je les suis, je les aime, ils m'enivrent, ...

Je suis passionnée, dévouée, idéaliste, je veux comprendre, je veux vibrer, je veux croire au meilleur.
Je veux exprimer la mélodie qui fait écho à mon âme, je veux me faire entendre, je veux vous embarquer, je veux partager ce qui me charme, ce qui me traverse, ce qui fait que je sens mon cœur battre.

Je ne connais pas la valeur de mon écriture, elle est peut-être de piètre qualité.
Je présente d'avance mes excuses si elle se révélera médiocre.
Mais le besoin imminent d'écrire fait rage en moi.
Je dois évacuer. Quoi? J'en ai aucune idée.
Cependant, j'ai décidé de me lancer sur ce forum, constitué d'individus que je n'ai surement jamais rencontrés, mais qui contrairement à ceux que je connais, une part de mon intimité leur sera dévoilée.

La vie dure le temps d'une histoire, un laps de temps qui est minutieusement chronométré.
Et pourtant, on cherche désespérément à lui donner un sens, à l'affectionner, à l'apprivoiser, à en contourner les travers et à en célébrer les beautés.

La vie est illusion, on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas l'éducation qu'elle nous soumet, on ne choisit pas la nature des relations qui s'impose entre chaque membre qui la constitue. On ne choisit pas l'environnement social dans lequel on prend forme.
On est (naît) naturellement embarqué, on avance à tâtons, on doit composer un ensemble, tout en conservant sa singularité.
Chacun soumet ce qui lui semble être la voie à suivre, la méthode infaillible, guidé par son émotion ou par sa raison.
Parfois, cette démarche s'articule par la contrainte.
Parfois, par le respect des aspirations de tout à chacun.

On croit en ses rêves, ses ambitions, on tente de faire triompher ce qui nous définit.
On tente d'avancer, parfois, on se retrouve encourager et d'autres fois, on se heurte à des obstacles.

Il s'agit du premier univers qui peut soit être source de quiétude ou soit être un véritable calvaire.

Il y a donc soi et il y a les autres qui nous sont proches. Et puis, il y a la réalité extérieure.

Il y a ce monde auquel on aspire et puis, il y a le monde dont la réalité nous fait grâce.

Second univers.

Il y a toute une vie, comme une envie de s'évader, de s'extirper, de crier que ce n'est pas le son qu'on souhaite écouter.
Et pourtant, les jours se succèdent.

La rébellion, le sentiment d'injustice, de tristesse en général, plus singulièrement, le manque de reconnaissance ne se sont jamais fait entendre.
Le temps s'est beaucoup écoulé.
Et puis, on se résigne.
Autour de soi, chacun tente de trouver sa place, de composer avec le quotidien.
On court, on bâtit une carrière, on constitue une famille, on fait bonne figure, on a des amis, un réseau et la vie semble aller.
On s'est conformé - n'y voyez aucune connotation péjorative -.

Et puis, il y a ceux qui se sont posés des questions, qui ont été tourmentés.
Ce qu'on leur a proposé apparaît si défait, si fragile, si incomplet. Ils ont essayé, ils ont tant essayé de se relever.
Mais pourquoi ces démons?
Pourquoi, chercher ce qui n'existe que dans son imaginaire qui parait tel un rêve magique mais dans la réalité, il ne s'agit que de pure obscurité. Peu l'accueille.

Prisonnière de ce qui ne trouve siège que dans son esprit et pourtant la vie suit LE COURS qu'elle a décidé.
Comment résoudre cette équation?
Tel un pantin désarçonné, faudra-t-il se convaincre de se conformer?
Comment se délivrer de son passé?
Comment oublier, ce qui pour certains relèvent d'une épreuve à dépasser, alors que pour soi, il s'agit d'une écorchure mortifiante de l'âme?

La vie n'est-elle qu'illusion? Ne faut-il rien en espérer?
Certes, il y a tout ce qui brille mais que faire quand cette surface bien que polie et soignée, ne suffit pas à résoudre ce qui, au plus profond de soi, ne parvient pas à s'équilibrer?

Tu as une très jolie écriture, c'est simple, fluide et profond. J'ai bien aimé ce que tu as écris.
 
Les écorchures de l'âme sont autant de temps que tu as passé ou passera sur cette terre : ce sont elles qui font que tu es si vivante.

Mais non, la vie ne suis le cours qu'elle a décidé de suivre : c'est toi, qui par tes actes, dessine ta destiné.

Pas de fatalisme, nous sommes les acteurs de notre vie tant que nous décidons de ne pas en être juste les spectateurs.

Enfin, tu en as écrit trop pour pouvoir y répondre d'un seul trait : je suis plus prolixe à l'oral :D
 
Je connais quelqu un ici qui a une bonne philosophie de vie en général @hanibarios
Il va sans doute commenter ta pensée point par point ! Il t aidera à répondre à ta propre question la vie est elle une illusion ?
J espère qu il viendra te lire ici !
 
Fatalisme, fatalisme,fatalisme... tu ne choisis pas ta famille ni ta culture mais tu peux avoir la famille que tu veux en mettant un peu de ton cœur et tu peux créer une nouvelle culture à partir de ce que tu as.

"Je présente des excuses", "on tente"... ne demande pas pardon d'exister et ne tente pas, fais .

Quand on fait, on n'a plus le temps d'espérer car ce qui arrivera sera pour notre bien. Je ne sais pas si tu es croyante mais donne ta vie , ta mort, tes actions à Dieu pas à des objectifs terrestres.

Les objectifs ne sont que des moyens, c'est quand on les prend pour la fin que tout bascule et plus rien n'a aucun sens à notre vie.
 
Fatalisme, fatalisme,fatalisme... tu ne choisis pas ta famille ni ta culture mais tu peux avoir la famille que tu veux en mettant un peu de ton cœur et tu peux créer une nouvelle culture à partir de ce que tu as.

"Je présente des excuses", "on tente"... ne demande pas pardon d'exister et ne tente pas, fais .

Quand on fait, on n'a plus le temps d'espérer car ce qui arrivera sera pour notre bien. Je ne sais pas si tu es croyante mais donne ta vie , ta mort, tes actions à Dieu pas à des objectifs terrestres.

Les objectifs ne sont que des moyens, c'est quand on les prend pour la fin que tout bascule et plus rien n'a aucun sens à notre vie.
Avant de trouver Dieu ,(si), il faut se trouver soi, sinon ça ne veut rien dire " donner tout à Dieu. Mais c'est bien ce que tu as écris, la première étape d'éveil à la réalité des choses. Ça n'est pas de l'adoration pure, c'est de l'idéalisme tant qu'on a pas été au fond de ce qu'il y'a à savoir sur soi. Ce n'est qu'après ça qu'on saura à quel camp on appartient vraiment.
 
Je ne connais pas la valeur de mon écriture, elle est peut-être de piètre qualité.
Je présente d'avance mes excuses si elle se révélera médiocre.

Et la concordance des temps hein !!! :D

Donne ton âge, ta ville et une photo... Sur bladi.net il y a des milliers de couturiers qui n'attendent que ça, t'aiguiller sur le fil de la vie :ange:
 
Avant de trouver Dieu ,(si), il faut se trouver soi, sinon ça ne veut rien dire " donner tout à Dieu. Mais c'est bien ce que tu as écris, la première étape d'éveil à la réalité des choses. Ça n'est pas de l'adoration pure, c'est de l'idéalisme tant qu'on a pas été au fond de ce qu'il y'a à savoir sur soi. Ce n'est qu'après ça qu'on saura à quel camp on appartient vraiment.

Tu as raison sur ce point! :cool:
 
Bonsoir,

J'arrive ici avec l'envie d'écrire, je ne sais pas vraiment quoi, ni pourquoi, ni pour qui.
J'affectionne les mots, je me laisse volontiers emportée par la mélodie qu'ils produisent.
Je les lis, je les suis, je les aime, ils m'enivrent, ...

Je suis passionnée, dévouée, idéaliste, je veux comprendre, je veux vibrer, je veux croire au meilleur.
Je veux exprimer la mélodie qui fait écho à mon âme, je veux me faire entendre, je veux vous embarquer, je veux partager ce qui me charme, ce qui me traverse, ce qui fait que je sens mon cœur battre.

Je ne connais pas la valeur de mon écriture, elle est peut-être de piètre qualité.
Je présente d'avance mes excuses si elle se révélera médiocre.
Mais le besoin imminent d'écrire fait rage en moi.
Je dois évacuer. Quoi? J'en ai aucune idée.
Cependant, j'ai décidé de me lancer sur ce forum, constitué d'individus que je n'ai surement jamais rencontrés, mais qui contrairement à ceux que je connais, une part de mon intimité leur sera dévoilée.

La vie dure le temps d'une histoire, un laps de temps qui est minutieusement chronométré.
Et pourtant, on cherche désespérément à lui donner un sens, à l'affectionner, à l'apprivoiser, à en contourner les travers et à en célébrer les beautés.

La vie est illusion, on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas l'éducation qu'elle nous soumet, on ne choisit pas la nature des relations qui s'impose entre chaque membre qui la constitue. On ne choisit pas l'environnement social dans lequel on prend forme.
On est (naît) naturellement embarqué, on avance à tâtons, on doit composer un ensemble, tout en conservant sa singularité.
Chacun soumet ce qui lui semble être la voie à suivre, la méthode infaillible, guidé par son émotion ou par sa raison.
Parfois, cette démarche s'articule par la contrainte.
Parfois, par le respect des aspirations de tout à chacun.

On croit en ses rêves, ses ambitions, on tente de faire triompher ce qui nous définit.
On tente d'avancer, parfois, on se retrouve encourager et d'autres fois, on se heurte à des obstacles.

Il s'agit du premier univers qui peut soit être source de quiétude ou soit être un véritable calvaire.

Il y a donc soi et il y a les autres qui nous sont proches. Et puis, il y a la réalité extérieure.

Il y a ce monde auquel on aspire et puis, il y a le monde dont la réalité nous fait grâce.

Second univers.

Il y a toute une vie, comme une envie de s'évader, de s'extirper, de crier que ce n'est pas le son qu'on souhaite écouter.
Et pourtant, les jours se succèdent.

La rébellion, le sentiment d'injustice, de tristesse en général, plus singulièrement, le manque de reconnaissance ne se sont jamais fait entendre.
Le temps s'est beaucoup écoulé.
Et puis, on se résigne.
Autour de soi, chacun tente de trouver sa place, de composer avec le quotidien.
On court, on bâtit une carrière, on constitue une famille, on fait bonne figure, on a des amis, un réseau et la vie semble aller.
On s'est conformé - n'y voyez aucune connotation péjorative -.

Et puis, il y a ceux qui se sont posés des questions, qui ont été tourmentés.
Ce qu'on leur a proposé apparaît si défait, si fragile, si incomplet. Ils ont essayé, ils ont tant essayé de se relever.
Mais pourquoi ces démons?
Pourquoi, chercher ce qui n'existe que dans son imaginaire qui parait tel un rêve magique mais dans la réalité, il ne s'agit que de pure obscurité. Peu l'accueille.

Prisonnière de ce qui ne trouve siège que dans son esprit et pourtant la vie suit LE COURS qu'elle a décidé.
Comment résoudre cette équation?
Tel un pantin désarçonné, faudra-t-il se convaincre de se conformer?
Comment se délivrer de son passé?
Comment oublier, ce qui pour certains relèvent d'une épreuve à dépasser, alors que pour soi, il s'agit d'une écorchure mortifiante de l'âme?

La vie n'est-elle qu'illusion? Ne faut-il rien en espérer?
Certes, il y a tout ce qui brille mais que faire quand cette surface bien que polie et soignée, ne suffit pas à résoudre ce qui, au plus profond de soi, ne parvient pas à s'équilibrer?

L'etre humain est un eternel insatisfait ,tu te fixe des objectifs et une fois ceci atteind tu place la barre plus haute et t'en fixe d'autre , ainsi de suite , pensant que tu as donner un sens a ta vie , ta vie se resume donc a atteindre des objectifs
la difficulté a atteindre nos objectifs renforce cette volonté de les atteindres, on se donne corps et ame dans cette bataille
parrellement le temps passe et tu cours derriére sans avoir pris le temps de savoir qu'elle etait le véritable objectif de savourer le temps présent sans pensez au future, tout cela tu le sais inconsciement , c'est peut etre cela qui te tourmente .....le veritable objectif sur terre que l'on l'accepte ou non est d'adorer ALLAH.....

Sans cette adoration tu passera ta vie a etre tourmenté malgrés que tu atteingnes ou non tes objectifs car ceuci ne sont qu'un leurre
 
Bonsoir,

J'arrive ici avec l'envie d'écrire, je ne sais pas vraiment quoi, ni pourquoi, ni pour qui.
J'affectionne les mots, je me laisse volontiers emportée par la mélodie qu'ils produisent.
Je les lis, je les suis, je les aime, ils m'enivrent, ...

Je suis passionnée, dévouée, idéaliste, je veux comprendre, je veux vibrer, je veux croire au meilleur.
Je veux exprimer la mélodie qui fait écho à mon âme, je veux me faire entendre, je veux vous embarquer, je veux partager ce qui me charme, ce qui me traverse, ce qui fait que je sens mon cœur battre.

Je ne connais pas la valeur de mon écriture, elle est peut-être de piètre qualité.
Je présente d'avance mes excuses si elle se révélera médiocre.
Mais le besoin imminent d'écrire fait rage en moi.
Je dois évacuer. Quoi? J'en ai aucune idée.
Cependant, j'ai décidé de me lancer sur ce forum, constitué d'individus que je n'ai surement jamais rencontrés, mais qui contrairement à ceux que je connais, une part de mon intimité leur sera dévoilée.
Bonsoir ,
Tout d'abord je tiens à te féliciter pour ton écriture fluide, ordonnée et imagée. Tu serais une bonne poète si ce n'est pas encore le cas . Bravo !
 
Bonsoir,

J'arrive ici avec l'envie d'écrire, je ne sais pas vraiment quoi, ni pourquoi, ni pour qui.
J'affectionne les mots, je me laisse volontiers emportée par la mélodie qu'ils produisent.
Je les lis, je les suis, je les aime, ils m'enivrent, ...

Je suis passionnée, dévouée, idéaliste, je veux comprendre, je veux vibrer, je veux croire au meilleur.
Je veux exprimer la mélodie qui fait écho à mon âme, je veux me faire entendre, je veux vous embarquer, je veux partager ce qui me charme, ce qui me traverse, ce qui fait que je sens mon cœur battre.

Je ne connais pas la valeur de mon écriture, elle est peut-être de piètre qualité.
Je présente d'avance mes excuses si elle se révélera médiocre.
Mais le besoin imminent d'écrire fait rage en moi.
Je dois évacuer. Quoi? J'en ai aucune idée.
Cependant, j'ai décidé de me lancer sur ce forum, constitué d'individus que je n'ai surement jamais rencontrés, mais qui contrairement à ceux que je connais, une part de mon intimité leur sera dévoilée.

La vie dure le temps d'une histoire, un laps de temps qui est minutieusement chronométré.
Et pourtant, on cherche désespérément à lui donner un sens, à l'affectionner, à l'apprivoiser, à en contourner les travers et à en célébrer les beautés.

La vie est illusion, on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas l'éducation qu'elle nous soumet, on ne choisit pas la nature des relations qui s'impose entre chaque membre qui la constitue. On ne choisit pas l'environnement social dans lequel on prend forme.
On est (naît) naturellement embarqué, on avance à tâtons, on doit composer un ensemble, tout en conservant sa singularité.
Chacun soumet ce qui lui semble être la voie à suivre, la méthode infaillible, guidé par son émotion ou par sa raison.
Parfois, cette démarche s'articule par la contrainte.
Parfois, par le respect des aspirations de tout à chacun.

On croit en ses rêves, ses ambitions, on tente de faire triompher ce qui nous définit.
On tente d'avancer, parfois, on se retrouve encourager et d'autres fois, on se heurte à des obstacles.

Il s'agit du premier univers qui peut soit être source de quiétude ou soit être un véritable calvaire.

Il y a donc soi et il y a les autres qui nous sont proches. Et puis, il y a la réalité extérieure.

Il y a ce monde auquel on aspire et puis, il y a le monde dont la réalité nous fait grâce.

Second univers.

Il y a toute une vie, comme une envie de s'évader, de s'extirper, de crier que ce n'est pas le son qu'on souhaite écouter.
Et pourtant, les jours se succèdent.

La rébellion, le sentiment d'injustice, de tristesse en général, plus singulièrement, le manque de reconnaissance ne se sont jamais fait entendre.
Le temps s'est beaucoup écoulé.
Et puis, on se résigne.
Autour de soi, chacun tente de trouver sa place, de composer avec le quotidien.
On court, on bâtit une carrière, on constitue une famille, on fait bonne figure, on a des amis, un réseau et la vie semble aller.
On s'est conformé - n'y voyez aucune connotation péjorative -.

Et puis, il y a ceux qui se sont posés des questions, qui ont été tourmentés.
Ce qu'on leur a proposé apparaît si défait, si fragile, si incomplet. Ils ont essayé, ils ont tant essayé de se relever.
Mais pourquoi ces démons?
Pourquoi, chercher ce qui n'existe que dans son imaginaire qui parait tel un rêve magique mais dans la réalité, il ne s'agit que de pure obscurité. Peu l'accueille.

Prisonnière de ce qui ne trouve siège que dans son esprit et pourtant la vie suit LE COURS qu'elle a décidé.
Comment résoudre cette équation?
Tel un pantin désarçonné, faudra-t-il se convaincre de se conformer?
Comment se délivrer de son passé?
Comment oublier, ce qui pour certains relèvent d'une épreuve à dépasser, alors que pour soi, il s'agit d'une écorchure mortifiante de l'âme?

La vie n'est-elle qu'illusion? Ne faut-il rien en espérer?
Certes, il y a tout ce qui brille mais que faire quand cette surface bien que polie et soignée, ne suffit pas à résoudre ce qui, au plus profond de soi, ne parvient pas à s'équilibrer?
Salam Lani8ay,
Quand tu as envie d’écrire tu ponds un "Guerre et paix" !!!
 
La vie dure le temps d'une histoire, un laps de temps qui est minutieusement chronométré.
Et pourtant, on cherche désespérément à lui donner un sens, à l'affectionner, à l'apprivoiser, à en contourner les travers et à en célébrer les beautés.
La vie dure le temps de plusieurs histoires , une periode de temps certes limitée par la matière mais non pas par le temps . ( à méditer ).
On cherche à la vivre , à apprendre et après on la comprendrait. Apprivoiser la vie et contourner ses travers est synonyme de fuir ,de délaisser ses rêves et ses espérances .
Le mot juste serait d'affronter , de se réaliser dans les défaites et les échecs comme dans les réussites, pour finalement apprécier ces beautés.
/ à suivre /
 
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